Aucune langue trouvée. Chapter 9 – A Universe of Vibrations | The True Self Training

Chapter 9:
A universe of vibrations

vibrational world, energy and frequency, raising vibration, law of attraction

Duration : 2h 30

Content

Bienvenue dans la face cachée de la réalité.
Celle qu’on ne voit pas, mais qu’on ressent.
Celle qui nous traverse, nous anime, nous relie aux étoiles.

L’Univers n’est pas silencieux, il vibre, il pulse, il chante.
Et nous avec lui.

Notre corps n’est qu’un orchestre invisible d’atomes en mouvement.
Nos pensées sont des ondes.
Nos émotions, des fréquences.
v Et nos intentions, des commandes envoyées au grand serveur cosmique.

Alors… quelle musique vibres-tu aujourd'hui ?

tout est vibration  |  fréquences et énergie de vie  |  synchronicités et alignement universel  |  sons et guérison vibratoire  |  couleurs et fréquences spirituelles  |  loi de résonance  |  intention et création vibratoire  |  vibrations célestes et astrologie  |  énergie subtile et corps de lumière  |  géométrie sacrée et mandalas  |  univers quantique et conscience  |  spiritualité vibratoire

Chapter content 9

Tout est vibration, nous compris

Prenez une main.
La vôtre, si possible.
Si l’on pouvait zoomer dedans jusqu’à l’infiniment petit, qu’y verrait-on ?
Des cellules ? Oui.
Des molécules ? Toujours.
Mais encore plus profond : des atomes.
Et ces atomes ? Ils ne sont pas figés comme sur les vieux schémas de nos livres de sciences.
Non, ils tournent, ils vibrent, ils pulsent.
À la vitesse de la lumière, presque.

Eh oui : tout tourne, tout vibre, tout est en mouvement.

Même ce qui nous paraît solide n’est qu’un nuage de particules excitées par une énergie invisible.
Vous, moi, cette page, ce texte… on est tous faits d’atomes qui dansent, en équilibre entre attraction et répulsion, comme dans une gigantesque chorégraphie quantique.

Et ces charges (+) ou (-), ce magnétisme microscopique, ce n’est pas de la science-fiction.
C’est ce qui fait qu’on peut ressentir un frisson quand quelqu’un entre dans une pièce.
Qu’on se sent repoussé par certaines personnes sans raison apparente, ou au contraire, magnétisé.
On appelle ça des “vibrations”.
Ou des “ondes”.
Ou “l’aura”.
Peu importe le mot.

Ce qui est sûr, c’est que notre corps rayonne.

La science commence à peine à le comprendre.
Les animaux, eux, l’ont toujours su.
Ils sentent nos émotions.
Ils flairent nos peurs.
Ils captent ce que nous, humains, avons appris à ignorer : que nous sommes des antennes vivantes.

Et comme toute antenne, nous émettons et nous recevons.
En fonction de notre état intérieur, de nos émotions, de nos intentions, notre champ électromagnétique change.

Quand on est amoureux, il s’élargit.
Quand on est en colère, il se contracte et vire au rouge.

Alors oui, tout ce que l’on est, tout ce que l’on pense, tout ce que l’on ingère (y compris le McDo à 23h...) entre dans cette immense mécanique vibratoire.
Même la pire crasse chimique a une vibration.

Reste à voir si notre corps est assez aligné pour la transformer, la recycler, ou s’en débarrasser…

Et c’est là que ça devient intéressant : si tout vibre, alors nos pensées aussi vibrent.
Nos intentions sont des fréquences.
Nos choix sont des actes magnétiques.
On attire à nous ce que l’on est, pas ce que l’on veut.

Alors, si vous cherchez à “élever votre vibration”, sachez qu’il ne s’agit pas de devenir un moine tibétain ou de s’enduire de cristaux à la pleine lune.
Il suffit parfois… de s’écouter, de s’aligner, et d’envoyer la bonne fréquence.

Et qui sait ?
Le monde vibrera en retour.


/
Je connais une femme, authentique, je vous jure, qui, à plus de 40 ans, n’a jamais bu une seule goutte d’eau de sa vie.
Jamais. Nada. Niet.
Pas un demi-verre, pas une gorgée après le sport, même pas pour accompagner un médicament.

Non, cette femme carbure exclusivement au Coca-Cola.

Oui, vous avez bien lu.
Son sang doit pétiller.
Horreur !
Et pourtant ? Elle est cool.
En forme.
Pas de boutons, pas de tremblements, pas de troisième bras qui lui pousse dans le dos.
Une mutante, je vous dis.
À croire que son corps a fini par se dire : « Bon, ben… on fera avec ce qu’on a, hein. »

Comme quoi, le corps s’adapte à tout, absolument tout, à condition qu’on le fasse avec joie, avec conscience, et sans culpabilité.
Si elle culpabilisait à chaque gorgée, elle serait sûrement malade depuis longtemps.
Mais non, elle kiffe, elle assume, elle jubile.
Et son corps a suivi.

C’est un exemple extrême, bien sûr.

Mais il soulève une vraie question : et si ce n’était pas tant ce qu’on ingère qui fait le plus de mal… mais la manière dont on le fait ?
La peur, la honte, la tension mentale créent plus d’acidité qu’un soda tiède.
Conclusion : si vous décidez de vous faire un Big Mac ou une pizza industrielle, aimez-la, bénissez-la, savourez-la comme un mets sacré, et digérez-la dans la gratitude.
Au moins, vous enverrez un signal clair à vos cellules : « Tout va bien. Je suis en paix.
Vous pouvez bosser tranquille.

/
Pour rebondir sur ton commentaire, papa, j’ai moi aussi réalisé à quel point notre état émotionnel influence directement notre corps.
Depuis très jeune, je me suis passionnée pour la santé et le bien-être, parfois jusqu’à l’obsession, surtout en ce qui concernait mon corps et son reflet dans le miroir.

J’ai toujours été fine, mais autour de mes 18-19 ans, mon corps a changé : j’ai pris quelques kilos, et très vite cela s’est transformé en complexe.
J’ai alors enchaîné les régimes, intensifié le sport, parfois à outrance.
J’ai perdu ce poids rapidement, mais l’impact psychologique, lui, est resté. Pendant des années, la peur de « reprendre » m’a hantée.
Je passais sans cesse de la restriction à l’indulgence, comme un balancier épuisant.

Le vrai basculement est arrivé lorsque j’ai compris que ce n’était pas seulement ce que je mangeais qui comptait, mais comment je le vivais. Pendant longtemps, chaque repas était accompagné de culpabilité, de honte, ou de peur.
Mon système digestif était constamment acide, mon taux de cortisol s’envolait, et mon corps entier se mettait en état de stress, comme s’il devait survivre à une menace.
Dans ces moments-là, peu importait ce que je mangeais : mon corps stockait tout, convaincu qu’un danger rôdait.

Et puis, j’ai appris à relâcher.
À conscientiser mes repas, à savourer chaque bouchée, à développer du plaisir et de la gratitude.
Quand j’ai commencé à envoyer des signaux de paix à mon organisme, tout s’est dénoué : ma digestion s’est apaisée, mes organes ont repris leur rythme naturel, et surtout, j’ai renoué une relation saine avec l’alimentation.

Aujourd’hui, je vois clairement que la vibration avec laquelle on mange est aussi importante, voire plus, que le contenu de l’assiette.
Ce n’est pas seulement une question de calories ou de macros, c’est une question d’énergie, de conscience, et d’amour de soi.

Corps, émotions et fréquences

On pourrait croire qu’un corps, c’est juste un truc biologique avec des organes, des fluides et des muscles qui bougent.
Faux ! Enfin… pas complètement faux, mais très incomplet.

Le corps est un orchestre, et chaque émotion est une note, une vibration.
Une fréquence.

Et cette fréquence… ça résonne.
À l’intérieur.
Partout.
Particulièrement dans nos cellules.

Quand tu as peur, tout se contracte.
Tes épaules montent, ton ventre se serre, ta respiration devient courte.
Ton corps devient plus dense.
C’est de la physique : le stress abaisse ta fréquence.
Il te comprime.
Il te pèse.

Quand tu ressens de la joie, de la gratitude ou de l’amour, c’est l’inverse.
Tout s’ouvre.
Tu respires mieux, tu marches plus droit, ton regard se détend.
C’est l’expansion.
Tu vibres plus haut.
Littéralement.

Et tu sais quoi ?
Tes cellules écoutent.

Oui, les émotions parlent aux cellules.
Elles leur donnent des “ordres vibratoires”.
Elles influencent la chimie du corps.

C’est ce que les neurosciences et l’épigénétique découvrent depuis quelques années : ta manière de penser et de ressentir change le comportement de ton ADN.
Ce n’est pas de la poésie New Age, c’est testé en labo.

La colère chronique ou la tristesse répétée, par exemple, ne sont pas “juste” des états d’âme.
Ce sont des fréquences qui acidifient ton terrain, diminuent ton immunité, fatiguent ton cœur.

Inversement, des émotions hautes comme la gratitude ou l’enthousiasme réparent, régénèrent, revitalisent.
Elles envoient un signal au corps : “Tout va bien. Tu peux te détendre. Tu peux guérir.”

Imagine un instant que chaque émotion soit un DJ qui change la musique de fond dans ton corps.
Tu veux du heavy metal stressant ou de la bossa nova régénérante ?
C’est toi qui choisis la bande-son.

On ne peut pas empêcher toutes les émotions.
On est humains.
Mais on peut choisir de ne plus les subir.
De les ressentir, oui, puis de les transformer.
De ne plus leur donner les rênes du vaisseau.

Et surtout, on peut s’en servir comme d’un GPS vibratoire.
Chaque émotion est un indicateur : je me sens léger ? Je suis aligné.
Je me sens lourd, contracté ?
Peut-être que quelque chose ne vibre pas juste.
Peut-être que mon corps me chuchote que j’ai oublié qui je suis.

Alors, respire.

L’émotion est un message.
Une fréquence.
Et ton corps est une antenne.

Apprends à l’écouter… et à changer de fréquence quand le morceau devient trop lourd.


/
Mon corps me parlait… je l’écoutais pas.

Un jour, alors que je bossais pour une grosse boite, j’avais une réunion importante.
Le genre de truc où t’es censé avoir l’air confiant, classe, presque sérieux.
Sauf que ce matin-là, impossible de me lever du lit.
Pas de fatigue.
Pas de grippe.
Juste un gros nœud dans le ventre.
Comme une alarme silencieuse.

Bon… j’y suis quand même allé, comme un bon soldat mentalisé.
Et bien sûr, la réunion a été un flop monumental.
Mauvais timing, mauvaise personne, mauvaise vibe.

C’est là que j’ai compris : mon corps savait.
Il avait déjà reçu le message d’en-haut.
Il vibrait déjà le “non” avant que mon cerveau décide de le camoufler sous un costume.

Depuis, j’ai appris à l’écouter.

Une gêne dans le ventre ?
Une émotion lourde qui m’envahit ?
Je me pose la question :
Est-ce que je suis à ma place ?
Est-ce que je force ?
Est-ce que je me trahis ?

Et parfois, il suffit de changer une pensée, ou d’ajuster une intention, pour que mon corps se détende, respire, se réaligne.
Comme s’il disait : “Ah merci, tu m’écoutes enfin, vieux !”

L'univers en miroir, loi de résonance

Si tout est vibration, alors il est logique que ce que je vibre, je l’attire.

C’est ce qu’on appelle la loi de résonance.

Pas une croyance fumeuse de gourou déconnecté, mais un principe énergétique universel : deux fréquences similaires s’attirent.
Comme deux diapasons qui, à distance, se mettent à vibrer à l’unisson.
Comme deux âmes qui se reconnaissent sans un mot.

Autrement dit, la vie te montre ce que tu vibres.

Tu vibres la peur ?
Tu rencontres des situations qui vont te la faire vivre.

Tu vibres la confiance ?
Tu attires des gens qui te respectent et t’élèvent.

Tu vibres le rejet ?
Devine quoi… tu vas te sentir rejeté (même si ce n’est pas vrai).

Tu vibres l’amour ?
Bingo ! Tu entres dans une autre dimension de vie.

Ce n’est pas de la magie, c’est de la mécanique quantique subtile.

Quand tu changes ta fréquence intérieure (tes pensées, tes émotions, ton niveau de foi), tu changes les “antennes” que tu déploies dans l’invisible.

Et l’Univers, comme un radar cosmique, capte cela et te renvoie ce qui y ressemble.

Ce que tu crois devient ta réalité.
Pas parce que c’est “vrai”, mais parce que tu y mets ton attention, ton énergie, et donc… ta vibration.


/
Il y a quelque chose que j’ai compris il y a quelques années : lorsque l’on juge la manière dont une autre personne réagit à sa situation — “Moi j’aurais fait autrement, moi je ne serais jamais resté(e) dans cette relation, moi je n’aurais pas dit ça…” — la vie finit toujours par nous confronter à une expérience semblable.

Non pas comme une punition, mais comme un miroir, pour nous apprendre à vivre dans notre propre chair ce que nous pensions si facile à juger chez l’autre…

/
La plus grande leçon que j’ai reçue est aussi la plus simple : je crée ma réalité.
Voilà, c’est tout.
Facile à dire, mais beaucoup plus subtil à appliquer au quotidien.

Car si je crée ma réalité, alors je suis responsable de tout, absolument tout, ce qui m’arrive.
L’augmentation que j’ai obtenue après m’être démenée ?
Facile à l’accepter.
Mais me casser la cheville une semaine avant mes vacances de ski… là, ça devient plus difficile à digérer.

Et pourtant, si tout arrive pour moi et non contre moi, alors chaque événement a un sens. Dans les strates invisibles du quantique, j’ai peut-être émis des pensées, des émotions, des vibrations qui se sont densifiées au moment juste.
Même ce qui semble absurde ou injuste porte un message, une direction, une possibilité de transformation.

Ne pas partir au ski, par exemple, peut m’obliger à une introspection que j’aurais fuie autrement.
Peut-être est-ce l’occasion de rencontrer ma jalousie, de travailler sur mes comparaisons, ou simplement de ralentir.
Peut-être que la vraie leçon n’est pas dans ce que je perds, mais dans ce que je découvre de moi.

Alors oui, vu de l’extérieur, cela peut paraître un peu « simpliste », une façon d’habiller la souffrance en sagesse.
Mais au fond, pourquoi pas ?
Si ce regard me permet de transformer chaque situation en apprentissage, si cela me permet de ne plus être esclave de mes émotions, mais de les laisser passer… alors ce n’est pas une illusion, c’est une libération.

Changer ma vision, c’est changer instantanément mon énergie vibratoire. Et quand mon énergie change, la réalité qui me revient change aussi. Voilà pourquoi la loi de résonance est bien plus qu’un concept : c’est pour moi un art de vivre.

L'effet miroir

Un autre aspect puissant de la loi de résonance, c’est l’effet miroir.

Les autres nous reflètent souvent des parties de nous-mêmes qu’on ne veut pas voir (ou qu’on a oubliées).
Un proche t’agace ?
Et si c’était un trait que tu portes aussi, que tu refuses encore d’aimer en toi ?

Une rencontre te bouleverse ?
Elle réveille peut-être un ancien toi… ou un futur en gestation.

Les rencontres vibratoires, celles qui t’électrisent ou te dérangent, ne sont jamais “par hasard”.
Ce sont des rappels.
Des catalyseurs.
Des opportunités d’évolution déguisées.


Synchronicités et hasard (ou pas)

Et puis il y a ces petits “hasards” qui n’en sont pas…
Tu penses à quelqu’un et il t’écrit.
Tu cherches une réponse, et un livre “tombe” de l’étagère.
Tu changes intérieurement, et soudain, la bonne opportunité se présente.

Coïncidences ?
L’Univers sourit.
Il te dit : “Tu vibres juste. Continue.”


/
Quand l’Univers t’envoie un clin d’œil !

J’ai arrêté de fumer courant 2025.
Assez simplement, en fait.
Un jour, je me suis dit : “Mais pourquoi tu continues à avaler cette saloperie de fumée ?”
Alors j’ai arrêté.

Quelques jours plus tard, je prends l’avion.
Je check-in mon sac à dos, et là, paf, contrôle de sécurité.
On m’embarque dans une petite salle avec cinq gars qui me regardent petit sourire en coin, comme si j’étais Pablo Escobar.
L’un met ses gants en caoutchouc, les autres ouvrent mon sac, sortent chemises, shorts, chaussettes…
Et moi, un peu gêné : “Merde, mon linge sale sent vraiment le rat crevé, ça craint.”

Ils fouillent, ils scannent, ils transpirent.
Moi je commence à rigoler intérieurement.
Et puis, le verdict tombe : ils trouvent enfin l’objet du crime…
Un vieux briquet.
Un pauvre petit briquet oublié au fond du sac.
Rien d’autre.

Et là, j’ai compris le message.
L’Univers me glissait un clin d’œil :
“Tu vois Phil ? Fumer c’est de la merde.
Ça ne t’apporte que des ennuis.
Et ce n’est plus pour toi.”

Message bien reçu. 🙂

Astrologie et vibrations célestes

Si tout vibre, alors les astres aussi.

Et leur mouvement n’est pas juste une jolie chorégraphie céleste pour poètes insomniaques : les planètes émettent des ondes, des champs gravitationnels, des forces symboliques, et même des archétypes puissants qui viennent nous influencer dès notre premier souffle.

Notre carte du ciel de naissance, ce qu’on appelle le thème astral, c’est notre empreinte vibratoire de départ.
Une sorte de code énergétique de l’âme, imprimé au moment de notre arrivée dans ce grand jeu qu’est la vie.

Et franchement, ce serait bien que nos systèmes sociaux s’en souviennent…

Un outil oublié… pour mieux nous placer

Imagine un monde où l’on utiliserait l’astrologie intelligemment :

Un monde où, au lieu d’envoyer un poisson hypersensible gérer des clients en colère, on le placerait dans un espace créatif ou méditatif, là où il ferait des merveilles.

Un monde où on ne ferait pas animer une équipe par un capricorne rigide comme un dossier Excel, mais plutôt par un lion chaleureux ou un bélier motivé.

C’était pourtant le cas dans les anciennes civilisations : l’astrologie servait à placer les bonnes personnes au bon endroit.
Un signe d’air pour la communication, un signe de terre pour la rigueur, un feu pour l’action, un eau pour l’écoute.

Simple.
Efficace.
Humain.

Mais aujourd’hui ?
Interdiction de mettre sa date de naissance sur un CV, “discrimination”, dit-on.

Résultat : on rejette une sagesse millénaire, et on continue à se planter de casting humain dans nos écoles, nos entreprises, nos couples, nos gouvernements…

Une science de l'âme, pas une boule...

L’astrologie n’est pas prédictive comme certains le croient.
Elle ne dit pas ce qui VA arriver.
Elle révèle des tendances, des potentiels, des zones de friction ou d’épanouissement, des mouvements intérieurs.

Un thème astral bien lu, c’est une carte routière de notre énergie, pas une prison.
Et c’est un crime moderne que de le considérer comme une superstition, alors que c’est l’un des outils les plus puissants pour mieux se connaître.

Et toi, que vibres-tu ?

Ton Soleil montre ton énergie vitale.
Ta Lune, ton monde émotionnel.
Ton Ascendant, la manière dont tu entres dans le monde.
Et Mars, Vénus, Mercure et les autres… sont autant de fréquences dans ton orchestre cosmique.

Alors, plutôt que d'attendre que la société s’éveille, commence par explorer ta propre carte vibratoire.
Ce n’est pas ésotérique, c’est profondément logique : tu es né à un moment très précis dans l’Univers… Ce n’est pas un hasard.


/
Il y a quelques années, ma sœur s’est passionnée pour l’astrologie.
À 18 ans, elle a décidé de lire ma carte natale.
Elle m’avait prévenue : j’étais encore jeune, peut-être que je ne comprendrais pas tout, que ce serait trop tôt.
Mais j’ai insisté — et heureusement.

Parce qu’à travers ses mots, elle a su mettre en lumière des émotions que je portais déjà en moi, sans même avoir conscience d’être ainsi.
Pour moi, c’est exactement à ça que sert cet outil merveilleux : à comprendre en profondeur qui tu es, et à t’accompagner pour devenir une meilleure version de toi-même.
Car désormais, tu te connais un peu plus.

/
L’astrologie, comme l’a dit ma sœur, est ma toute première passion.
Le jour où j’ai découvert l’étendue de ce langage, j’ai su que je tenais un outil qui allait marquer ma vie.
Car c’est bien plus qu’un système de signes : c’est une trame qui lie le symbolisme, l’observation anthropologique des mouvements à travers le temps, et la rigueur mathématique.
Et j’en suis tombée amoureuse.

La charte natale, pour moi, n’est pas une prédiction, mais un potentiel à devenir. Elle ne dit pas ce que tu vas vivre, elle ne te dicte rien.
Elle t’invite. Elle t’ouvre une porte vers une version de toi-même que tu pourrais incarner, si tu le choisis.
Un potentiel qui peut bouleverser ton monde, parfois le renverser, mais qui résonne toujours profondément avec ton âme.

Bien sûr, on peut choisir d’ignorer sa charte et de prendre un autre chemin.
Mais dans mon expérience, ce qu’elle révèle, personne ne le reçoit comme une étrangeté.
Au contraire. Le nombre de fois où l’on m’a dit en consultation :
« C’est fou… tout ce que tu viens de dire, je le savais déjà en moi. Mais je n’avais jamais osé l’entendre à voix haute. »

C’est ça la force de l’astrologie : mettre des mots sur ce qui vibrait déjà en silence.
Et quand c’est dit, ça apaise, ça rassure, ça donne une direction.
Ça devient un guide, non pas extérieur, mais intérieur.

Pour moi, c’est l’un des outils les plus précieux pour apprendre à se connaître en profondeur, se rappeler qui l’on est, et avancer avec plus de clarté.
Au fond, la charte n’est pas un destin figé : c’est une carte énergétique qui nous rappelle qu’au moment même de notre naissance, nous étions déjà en résonance avec l’Univers.

Et si vous avez envie d’explorer le vôtre, vous pouvez me retrouver ici :
👉 www.mystikreality.com.

L'intention crée la fréquence

Une pensée, ce n’est pas juste un truc abstrait qui passe dans le cerveau, comme un nuage dans le ciel.
C’est une onde.
Une vibration.
Une fréquence.

Et comme toute fréquence… elle émet quelque chose.
Elle a un impact.
Elle interagit avec ton corps, ton environnement, les autres.
Elle forme ton champ vibratoire, et donc, ta réalité.


/
Quand l’Univers libère une rangée

Allez, encore une petite histoire sympa :
Je monte dans l’avion, je m’installe tranquille, et trente secondes plus tard… paf ! Trois gars débarquent dans ma rangée.
Deux collés à moi, et le troisième en face.
Le genre “touristes bourrins en goguette” : ça parle fort, ça rigole, ça met le son du téléphone à fond, zéro gêne.
Le cliché quoi (trop fréquent ☹️).

Évidemment, mon mental démarre au quart de tour :
“Mais pourquoi à côté de moi ? J’ai fait quoi pour mériter ça ?
Comment je vais supporter ces boulets pendant des heures ?”
Bref, le blabla habituel qui tourne en boucle.

Et puis je respire.
Je relâche.
Je me dis : “Allez, on s’en fiche. Je garde le sourire et je reste bien quoi qu’il arrive.”
Et là… magie.

Deux minutes plus tard, les gars à côté de moi décident d’aller rejoindre leur pote en face, parce que des places se sont libérées “comme par un hasard qui n’existe pas”, grâce à un petit mouvement de passagers.

Résultat : je me retrouve… seul sur toute ma rangée.
C’est pas beau, ça ?
Juste une preuve de plus que quand tu lâches prise, l’Univers se débrouille pour te récompenser ou pour t’amener ce qu'il te faut.

Une pensée = une onde = une conséquence

Tu penses que tu es nul ?
Tu vibres “nul”.

Tu penses que tu es chanceux ?
Tu vibres “chance”.

Tu penses que tu n’y arriveras jamais ?
Devine ce que tu attires…

Ce qu’on pense, on le projette.
Ce qu’on projette, on le crée.

Et plus cette pensée est nourrie par une émotion intense (joie, peur, colère, amour…), plus elle est vibratoirement puissante.


L'intention, le gps de l'univers

L’intention, ce n’est pas une vague envie.

C’est un ordre clair envoyé à l’Univers.
Un peu comme si tu prenais le volant de ta vie et que tu entrais ta destination dans le GPS cosmique.

Mais attention : si tu écris “je veux bien réussir… sauf si ça me fait peur… mais j’aimerais bien… peut-être…”
=> GPS perdu.
Signal brouillé.

Résultat : demi-tour existentiel.
L’Univers répond à la clarté.
Pas au doute.

Une intention posée, assumée, alignée, c’est une bombe quantique.


Vibrer juste

Tu veux transformer ta vie ?
Commence par choisir consciemment ce que tu veux vibrer.

Pas ce que tu veux “avoir”.
Mais ce que tu veux incarner.

➡ Je choisis la paix.
➡ Je choisis la confiance.
➡ Je choisis d’émettre l’amour.

Et attention, on ne triche pas :
L’Univers lit entre les lignes, il capte ce que tu vibres… pas ce que tu postes sur Instagram.

Les “si” n'existent pas dans l'éther

Ah… les fameux “si”.
Que tout le monde a en bouche.

Si je perds mon boulot ?
Si mon mec me trompe ?
Si ma mère le découvre ?
Et si je tombe malade ?
Et si je ne suis pas assez bon ?
Et si je rate tout ?

Et si… et si… et si…

Vous voyez où je veux en venir ?
Le mental est un producteur hollywoodien de scénarios catastrophes.
Il a un budget illimité pour vous pondre 12 épisodes de “Et si tout foirait”… par jour.

Le conditionnel ne vibre pas

L’éther, l’Univers, la fréquence, ne comprennent pas le conditionnel.

L’Univers ne sait pas ce que tu veux “si jamais”.
Il entend ce que tu vibres ici et maintenant.
Et si tu vibres doute, il t’envoie un miroir : la confusion.

C’est mathématique.
Vibratoire.
Tu vibres “j’ai peur qu’il me quitte”
➜ tu attires la peur, le doute, la jalousie, la méfiance…

et tu risques fort de créer exactement ce que tu redoutais.

Stopper l'absurde dès sa naissance

Première étape : reconnaître la pensée.
“OK, j’ai cette drôle d’idée qui me vient : il me trompe peut-être... et ça me fout le ventre à l’envers.”

Parfait. Tu l’as captée.
Ensuite ?
Choisis.
Donnes-tu du pouvoir à cette pensée ?
Ou bien tu l’arrêtes net ?

“Non. Je ne la veux pas. Je préfère faire confiance.”
“Je ne donne pas de crédit à ce scénario. Merci, au revoir.”

Pas de combat.
Pas de drame. Juste… une redirection.
C’est ton mental.
Ce n’est pas ton maître.
C’est toi qui décide sur quoi tu t’alignes.

On crée ce qu'on vibre

Chaque pensée est une graine vibratoire.
Tu vibres “peur”, tu arroses la mauvaise graine.
Tu vibres “amour”, tu nourris la graine de la joie, de la santé, de la confiance.

Ce n’est pas de la magie, c’est de la mécanique subtile.

Cancer, burn-out, accidents, conflits…
Bien souvent, ce sont nos pensées répétées, nos films intérieurs anxiogènes,
nos vibrations discordantes, qui ouvrent la porte à tout ça.

Le vrai pouvoir : faire confiance

C’est ça, le grand défi :
Faire confiance à la Vie, à Soi, au processus.

Pas toujours facile, on est d’accord.
Mais plus tu pratiques, plus ça devient naturel.

“Non, je refuse de nourrir cette pensée.”
“Je choisis la paix.”
“Je fais confiance. Et j’avance.”

C’est là que tu deviens créateur conscient.
Pas victime du vent… mais sculpteur de ton propre ciel.

S'aligner pour vibrer juste

Tu sais ce que c’est qu’un instrument désaccordé, non ?
Tu joues une note, et… aïe. Ça frotte.
Ça gratte. Ça sonne faux.

Eh bien nous, les humains, on est comme des violons cosmiques.
Et quand on n’est pas accordés entre ce qu’on pense, ce qu’on ressent, ce qu’on dit et ce qu’on fait…

On joue faux.

L'alignement, c'est quoi exactement

C’est quand ton corps, ton cœur, ta tête et ton âme regardent dans la même direction.
Quand tu dis oui mais que ton ventre dit non, il y a dissonance.
Quand tu rigoles avec des gens que tu n’aimes pas vraiment, juste pour faire bonne figure…
Tu vibres mensonge léger.

Et crois-moi, l’Univers, lui, il entend tout.
Il capte la fausse note.

Quand on se ment, on vibre flou

Tu veux avancer, mais tu portes un masque ?
Tu dis que tu es heureux, mais ton regard hurle le contraire ?
Tu affirmes que “tout va bien”, mais ton dos se bloque, ton sommeil fuit, ta gorge se serre ?

Tu n’es pas aligné.
Et donc… tu n’attires pas ce qui est juste pour toi.

Le but s'accorder, pas être parfait

L’alignement ne veut pas dire que tout est nickel, fluide et zen H24.
Ça veut dire que tu te respectes.
Que tu écoutes.
Que tu ajustes.

“Est-ce que ce que je dis correspond à ce que je ressens ?”
“Est-ce que mes choix sont en accord avec mes vraies valeurs ?”
“Est-ce que je m’écoute, ou est-ce que je fais semblant ?”

C’est là que la vibration devient claire, précise, magnétique.

Et c’est là que les synchronicités débarquent, que les portes s’ouvrent.
Parce que tu vibres “justesse”.
Tu vibres “moi, en vrai”.

Tu es un accordéon cosmique

Quand tu vibres juste, le monde joue avec toi.
Quand tu triches avec toi-même, ça crisse, ça freine, ça coince.

Alors accorde-toi.
Ajuste ta note.
Et fais sonner ta vraie musique.

Parce que le monde a besoin de gens qui sonnent vrai, pas qui brillent faux.




Members only content

Log in to your account,
or unlock access to view the training.

Stay in touch

Sign up to know when the next training is coming out.