Aucune langue trouvée. Chapter 5 – Family: A Sacred Karmic Stage | The True Self

Chapter 5:
Family, a sacred karmic stage

past lives, karma, soul groups, reincarnation, karmic debts

Duration : 45 min.

Content

Maintenant que tu as fait la paix avec certaines de tes ombres…

Tu vas pouvoir regarder avec plus de clarté ce terrain de jeu si particulier qu’est la famille.

Car si tu crois que c’est un hasard d’être tombé sur ton père, ta sœur ou ta grand-mère acariâtre…
Détrompe-toi.

La famille, ce n’est pas seulement un accident biologique.
C’est un rendez-vous d’âmes, souvent prévu depuis longtemps.
Un lieu de retrouvailles karmiques.
Les groupes d’âmes se retrouvent.
D’anciens comptes à solder.
D’amour à guérir.
De pardons à oser.

Tu verras, c’est à la fois bouleversant… et libérateur.

Alors, respire profondément.
Et ouvre cette nouvelle porte avec le cœur un peu plus léger.

famille et karma  |  héritages transgénérationnels  |  blessures de l’enfance et guérison  |  pardonner ses parents  |  libération des schémas familiaux  |  groupes d’âmes et contrats karmiques  |  réconciliation intérieure  |  transmission consciente  |  comprendre son rôle dans la famille  |  spiritualité et filiation  |  trauma familial et pardon  |  guérison des lignées ancestrales

Chapter content 5

Nos parents ne savaient pas…

Ils ne pouvaient pas savoir.
Ils n’avaient pas Internet, ni cet accès instantané à la connaissance sur tout.
Ils ont fait ce qu’ils ont pu, avec leurs moyens limités, avec leurs maigres connaissances sur la psyché humaine, les émotions et la façon de les gérer.

N’oublions pas : beaucoup venaient de vivre la guerre, ou de la subir (en Europe).
Après ces années dures, il fallait reconstruire un pays, ou simplement survivre à la pénurie.
Bref, c’étaient des temps rudes…
Et nous, leurs enfants, nous avons payé le prix fort.

Comment éliminer les scories émotionnelles d’une époque si dure, sans aide, sans repères, sans outils ?
Résultat : à la maison, ce sont souvent les enfants qui ont servi de défouloir.
Coups, violences verbales, corrections physiques, blessures psychologiques…
Nos parents n’avaient que nous pour libérer leurs tensions, leurs colères, leurs peurs.
Pas par cruauté pure, mais parce qu’ils ne savaient pas faire autrement.

C’est un peu comme quand des parents laissent leurs enfants chez les grands-parents ou les voisins :
on leur dit qu’ils ont été sages comme des images… et, une fois rentrés à la maison, ils deviennent de petits monstres.
Simplement parce qu’ils peuvent enfin relâcher les tensions retenues ailleurs.
Un réflexe normal.
Nos parents faisaient pareil… sauf que nous étions les réceptacles de cette décompression émotionnelle.
Et quand ce n’était pas sur nous, c’était sur eux-mêmes, via des médicaments pour oublier, pour dormir, pour continuer à tenir.


/
Abandonnée au début de la guerre par sa propre mère, ma mère a été recueillie par une famille de montagnards qui avait déjà trois enfants.
Sa « nouvelle maman » paysanne n’avait ni le temps, ni l’énergie, ni même les codes pour accueillir une petite fille brisée par l’abandon.

Ma mère, elle, avait besoin d’amour comme on a besoin d’air.
Et elle a reçu… une distance froide.
Pas de coups, mais pas d’étreintes non plus.

Alors, une fois adulte, comment aurait-elle pu donner cet amour qu’elle n’avait jamais reçu ?

Et qui a payé l’addition ?
C’est bibi.

La seule femme de la famille qui m’a offert quelques brins de tendresse, c’était ma mémé adorée…

Ma pauvre maman passait plus de temps à imaginer comment elle pourrait enfin en finir qu’à rêver de vacances.
Ou à chercher le médicament miracle qui calmerait cet océan de tristesse et d’angoisse.
Dépression aiguë dès la trentaine.

Le soir, quand la porte s’ouvrait et qu’elle rentrait du boulot, ma sœur et moi nous nous figeions…
Car la gifle pouvait tomber à tout moment.
Le ménage pas assez bien fait ? PAM.
La table pas dressée assez vite ? BOUM.
Ça partait sans prévenir.

Pauvre maman.
Elle n’a jamais eu accès à un vrai savoir, malgré des centaines de rendez-vous parlés chez un psy.
Son âme souffrait.
Pas seulement sa psyché.

Et je crois que, d’une certaine façon, les enfants servent aussi à ça…

Comme le chat de ma sœur qui, paraît-il, aurait absorbé une partie de son cancer et lui aurait évité d’y rester.

Les enfants prennent parfois sur eux les tensions, la colère, la douleur de leurs parents.

Pas par choix.
Par instinct.
Par amour, aussi tordu soit-il.

/
Mon père, lui, n’a jamais eu de véritable figure paternelle à laquelle se référer.
Alors, comment aurait-il pu savoir comment être père à son tour ?
Il a fait du mieux qu’il a pu, avec ses moyens, son envie sincère de bien faire, mais aussi ses failles.

Il lui arrivait de piquer des crises de colère, de manquer de patience, de se montrer dur.
Puis, l’instant d’après, il pouvait redevenir tendre, avant de se retirer à nouveau pour consacrer toute son attention à ses projets personnels.

Ce va-et-vient d’amour et de retrait a laissé des marques en moi, bien sûr. Mais avec le temps, j’ai appris à reconnaître l’impact que ces comportements avaient eu, à les désamorcer, et surtout à ne pas les reproduire.

J’ai pardonné.
Parce que j’ai compris tout le chemin qu’il avait déjà dû parcourir avec ses propres parents.
J’ai vu l’homme derrière le père : ses manques, ses blessures, ses combats intérieurs.
Et au lieu de nourrir de la rancune, j’ai choisi la gratitude.
Gratitude pour l’effort qu’il avait fait malgré tout, pour l’amour qu’il essayait de donner comme il pouvait.

Aujourd’hui, nous pouvons en parler avec recul, parfois même en riant. Nous nous souvenons de certaines scènes qui, sur le moment, étaient lourdes ou douloureuses, mais qui sont devenues avec le temps presque comiques.
Et je sais qu’il ne les reproduirait plus.

C’est ça, peut-être, la transmission : pas seulement ce qu’on reçoit, mais aussi ce qu’on choisit de transformer.

Aujourd’hui, il est capital, humblement et avec respect, de comprendre cela.

De réaliser qu’ils nous ont donné la vie, et qu’ils n’ont fait que ce qu’ils pouvaient avec ce qu’ils avaient.

Cette compréhension peut être le premier pas vers le pardon.
Et le pardon, c’est parfois la plus grande liberté qu’on puisse s’offrir.

Alors, pardonnons-leur.
Car ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient…


Nos groupes d'âmes, karmas passés


/
Bon, soyons clairs :
si l’idée des vies antérieures, des âmes qui reviennent pour rejouer des scènes cosmiques avec les mêmes partenaires vous donne envie de lever les yeux au ciel, pas de panique. On n’est pas là pour recruter chez les illuminés anonymes.

Mais moi, j’y crois.
Et devinez quoi ?
Ça me rend sacrément responsable.

Parce que si tout ce qui m’arrive, c’est moi qui l’ai (plus ou moins) signé dans une autre vie…
Bon… du coup, j’ai plus trop d’excuses pour râler.

Alors voilà :
Libre à vous d’adhérer ou non.
Mais personnellement, je préfère croire que l’univers a un plan, même un peu tordu parfois, plutôt que de penser que tout ça, c’est juste du hasard en roue libre.

Responsabilité, les amis.
C’est le mot-clé.

Et spoiler :
Ce mot pique un peu au début… mais après, ça fait du bien. 😌
On est responsable de TOUT ce qui nous arrive !

Si l’on accepte que notre âme est éternelle, alors elle ne peut qu’être le témoin de tous nos passages sur cette Terre – et au-delà.

Elle a vu nos débuts, nos chutes, nos révoltes, nos trahisons, nos élans d’amour, nos crimes parfois… et elle en a tout conservé.
Pas comme un juge, mais comme une mémoire vivante, un enregistrement sacré inscrit dans le tissu même de l’Univers.

Chaque vie vécue est une page d’un grand livre cosmique, ou les anales Akhashiques.
Et chaque être rencontré sur notre chemin, un compagnon d’encre, parfois d’épreuve, parfois de grâce.
Certaines âmes se retrouvent à travers les âges, aimantées les unes aux autres par une histoire inachevée.
Ce sont les groupes d’âmes.
Ces tribus de lumière et d’ombre mêlées, liées par des dettes, des promesses, des blessures, ou des pactes d’amour passés.

Rien n’est hasard.
Et surtout pas votre famille.

Vous l’avez choisie.
Oui, aussi difficile que cela puisse paraître.

Parce que c’est là, dans ces liens complexes, que résident souvent vos plus grands défis, vos plus grands karmas… et vos plus grandes opportunités de guérison.

Il existe une loi universelle, ancienne comme les étoiles :
la loi de cause à effet.
Ce que vous semez, vous le récolterez.

Pas toujours dans cette vie, pas toujours dans cette forme… mais un jour.
C’est le grand balancier du cosmos, la mécanique juste de la Vie.
Les bouddhistes l’appellent karma.
D'autres y voient simplement la justice divine ou le retour naturel des choses.

Un homme qui inflige de grandes souffrances, comme un tyran ou un bourreau, devra un jour les équilibrer.
Non comme une punition, mais comme un passage.
Peut-être reviendra-t-il pour sauver des vies.
Offrir une invention.
Guérir.
Et ainsi rétablir l’harmonie rompue.

Les relations qui nous font le plus souffrir sont bien souvent les plus riches en vérité.
Parce qu’elles appuient sur une blessure ancienne.
Parce qu’elles réveillent un souvenir d’âme enfoui.
Et si cette compagne qui vous détruit, ce frère avec qui vous êtes en guerre, ce parent qui vous ignore… étaient des âmes retrouvées ?
Des âmes qui, dans une autre vie, vous ont aimé, ou détruit, ou que vous avez blessées ?

C’est là que le pardon prend toute sa puissance.

Car pardonner, ce n’est pas excuser l’acte, mais comprendre la leçon.
C’est sortir du cycle des réactions pour entrer dans l’espace de la conscience.
C’est dire à l’autre : "Je vois ta douleur derrière ton geste. Et j’accepte de ne plus t’en vouloir."

Aucun karma ne dure éternellement.
Tout peut se transformer.
Mais pour cela, il faut oser regarder au-delà des apparences.
Reconnaître que tout ce que nous vivons aujourd’hui est un enseignement.
Un miroir.
Une main tendue – même si elle griffe.

À celui qui comprend cela, la vie devient un terrain d’évolution.
À celui qui refuse… elle devient une boucle sans fin.

Alors pose-toi cette question : que viens-tu réparer ?
Et surtout… avec qui ?


/
Je ne peux que parler de ma propre famille, avec qui j’ai eu d'énormes conflits qui n’ont pas été réglés dans cette vie-là.

Je suppose qu’on se retrouvera sous d’autres relations (père-fille, amants, frères et sœurs, amis…) pour reproduire ce qui a été loupé ou gâché dans cette vie, recréer la situation conflictuelle, et enfin pardonner, accepter, et faire la paix, retrouver du vrai amour entre nous.

La puissance du pardon, la voie royale

On en parle souvent.
On le chante dans les religions, on le glorifie dans les livres de sagesse.
Mais dans la réalité… le pardon est une montagne.
Tellement puissante…

Parce que pardonner, ce n’est pas juste dire « c’est bon, j’ai tourné la page ».
Ce n’est pas un acte mental.
C’est un bouleversement intérieur.
C’est l’âme qui choisit, un jour, de se libérer d’un fardeau devenu trop lourd à porter.

Et pourtant, on s’y accroche, à cette douleur.
Pourquoi ?
Parce qu’elle nous donne une forme d’identité.
Parce que la colère, le ressentiment, la rancune… nous font croire qu’on tient encore quelque chose.
Que l’autre "va payer".
Que notre souffrance mérite réparation.
Et tant que cette réparation n’est pas là… on reste coincé.
Gelé.
Enfermé.


/
Il fut un temps où j’ai décidé de faire « LE grand saut entrepreneurial »… en Afrique.
Ambitieux, visionnaire, ou disons naïvement enthousiaste, j’y ai investi 100 000 euros.
Oui, cent mille.
Quatorze ans d’économies, de travail, de sueur, de projets ajournés et de repas sans dessert.
On crée un business avec mon partenaire de l’époque, je dis mon partenaire, mais j’aurais peut-être dû voir les signaux : il portait des lunettes de soleil même en intérieur et souriait beaucoup trop quand il parlait d’argent.

Quatre ans plus tard… pouf !
Tout envolé.

L’argent, le projet, et un peu de ma foi en l’humanité aussi.
Sur le papier, c’était à cause de lui.

Dans les faits ?
Disons que j’ai aussi ma part de responsabilité, quelque part entre « trop de confiance » et « absence totale de bon sens ».
Alors voilà.
Un matin, je me réveille : plus un rond, un vide sidéral sur mon compte, et la désagréable impression de m’être fait plumer comme un touriste au marché de Marrakech.
Je vous le donne en mille : j’ai eu la rage.
Une colère brûlante.
Des nuits blanches à ruminer, des monologues intérieurs du genre : « Pourquoi MOI ?! », « Qu’est-ce que j’ai bien pu foutre dans une autre vie pour mériter ça ? »

Et puis un jour, j’ai compris.
Le piège, ce n’était pas la perte d’argent.
C’était de rester coincé dans cette boucle mentale, à ressasser, à m’user, à saboter mes jours présents avec un passé que je ne pouvais plus changer.

Alors j’ai fait un truc radical : j’ai pardonné.
À lui, bien sûr.
Mais aussi à moi.
À l’Univers, au karma, à ma naïveté exotique, aux lunettes de soleil en intérieur.

Et là, miracle : j’ai recommencé à dormir comme un bébé (bon, un bébé qui avait perdu 100 000 balles, mais un bébé quand même).
J’ai retrouvé la paix.
Légèreté.
Conscience que tout ça… n’était qu’une expérience.
Un peu chère, certes. Mais précieuse.
Peut-être même que je le méritais, ou que mon âme l’avait choisie, pour m’apprendre à lâcher prise, à détacher mon bonheur de mon compte bancaire.

Depuis, je fais plus attention.
Je ne prête plus à ceux qui sourient trop, et je garde mes économies loin des projets avec des noms en majuscule et des promesses de ROI magique.

Mais surtout, je garde ça comme une médaille invisible : « A survécu à un crash financier complet et en est sorti plus libre qu’avant.

Mais ce que l’on ne dit pas assez, c’est que le pardon, c’est d’abord un cadeau qu’on se fait à soi-même.
Ce n’est pas valider ce que l’autre a fait.
Ce n’est pas minimiser l’offense.
C’est choisir de ne plus laisser cette blessure gouverner notre vie.

Car tant qu’on ne pardonne pas, on rumine.
On ressasse.
On rejoue la scène mille fois dans notre tête.
Et à chaque fois, notre système nerveux, nos cellules, nos émotions… revivent l’agression.
C’est comme s’injecter une dose de poison, encore et encore, en espérant que ce soit l’autre qui tombe malade.

Certaines rancunes viennent de cette vie.
D’autres, peut-être, de bien plus loin.
Des blessures anciennes, karmiques, transmises génération après génération.
C’est pourquoi parfois, on ne comprend même pas pourquoi on en veut autant à quelqu’un.
Il n’a "rien fait de si grave", et pourtant… quelque chose coince.

Le pardon véritable est un acte sacré.
Il ne vient pas du mental, mais du cœur.
Il ne peut être forcé.
Il arrive souvent après un long chemin de maturation intérieure.
Il peut prendre des mois, des années, voire des vies.
Mais quand il arrive… il nettoie.
Il guérit.
Il élève.

C’est une bascule énergétique : on ne veut plus se venger, on ne veut plus que justice soit faite… on veut juste la paix.

Et cette paix-là est inestimable.

Le pardon est probablement une des plus hautes fréquences vibratoires que l’humain puisse incarner.
Il est la dissolution d’un nœud karmique.
Une signature d’évolution.
Une preuve que l’âme a grandi.

Alors c’est aussi pour cela que c’est souvent aussi dur…
Alors, ne te force pas à pardonner trop vite.
Mais ne garde pas la haine comme une compagne éternelle.
Car elle finira par t’user de l’intérieur.

Le jour où tu seras prêt à dire : "Je ne veux plus souffrir pour ce qui s’est passé", alors ce jour-là… tu commenceras à guérir.


/
Le pardon le plus difficile, pour moi, a été celui que j’ai dû accorder à moi-même… et aux hommes que j’ai choisi d’aimer, et qui m’ont blessée.

C’est dur de pardonner quelqu’un qui ne fait rien pour le mériter, qui ne demande même pas à l’être, parfois parce qu’il ne se rend même pas compte de ce qu’il a causé.
Et pourtant, la blessure, elle, reste bien réelle.
Alors j’ai nourri de la rancune

Pas sous la forme d’une vengeance frontale, mais sous une forme plus subtile : celle de vouloir prouver ma valeur, de leur montrer ce qu’ils avaient perdu, d’espérer secrètement qu’ils regrettent un jour.
Mais cette quête était un piège.
Elle m’épuisait.
Elle me maintenait enchaînée à ce passé, à ces visages, à ces histoires finies.

Un jour, j’ai compris que tant que je continuerais à vouloir prouver, je resterais enlisée.
Tant que je ne tournais pas la page, je ne pourrais pas avancer.
Et dans l’acte de tourner la page, il y avait ce pas immense : pardonner.
Pardonner l’autre, sans rien attendre en retour.
Sans même le lui dire.

Pardonner non pas pour lui, mais pour moi.
Et ce pardon-là m’a rendu ma paix.
Il a recréé une distance entre moi et la blessure.
Il m’a permis de respirer à nouveau, de sentir que ma valeur ne dépendait plus du regard de ceux qui ne savaient pas la voir.

J’ai appris que le pardon n’est pas une absolution donnée à l’autre, mais une libération donnée à soi-même.
Et c’est en cela qu’il est si sacré.

Quand la vibration crée des distances invisibles

Rares sont les personnes avec qui vous avez vraiment envie de passer du temps.

À mesure que vous avancez sur votre chemin intérieur, que votre conscience s’élargit et que votre vibration s’élève, quelque chose change.
Une énergie subtile, invisible, mais bien réelle, commence à redessiner vos relations.

Cela se manifeste de plusieurs manières :

  • vous vous sentez gêné(e) en présence de certaines personnes, comme si leur énergie vous repoussait ;
  • un fossé invisible se creuse entre vous et des proches, parfois même au sein de votre famille ;
  • une soirée remplie de monde vous laisse épuisé(e), vidé(e), comme si votre lumière avait été étouffée ;
  • on vous colle des étiquettes qui vous dérangent : distant, étrange, trop spirituel, décalé…
  • ou tout simplement, vous sentez que vous n’êtes plus à votre place.


La réalité est simple : vous changez, et les autres pas.
Ce décalage vibratoire fait que certains ne vous reconnaissent plus vraiment.
Ils perçoivent autre chose en vous – quelque chose qui les dérange parfois – et projettent leurs jugements.

Et c’est normal.
Ne vous en faites pas.

Ce ne sont pas des « problèmes relationnels », mais des signaux.
Des signes que le moment est venu de réajuster vos fréquentations, de vous entourer différemment.

Un nouvel espace relationnel

À ce stade, vous découvrirez une vérité essentielle :
les personnes avec qui vous souhaitez vraiment être sont rares.

Ce sont celles avec qui le temps s’arrête, celles dont la présence ne fatigue pas, mais nourrit.
Avec elles, il n’y a pas besoin de forcer, d’expliquer, de justifier. Juste être ensemble suffit.

Faites l’expérience :
Prenez un instant et demandez-vous sincèrement :
avec qui ai-je simplement envie d’être, sans notion de durée ni de rôle à jouer ? ”.

Vous verrez que la liste est courte.
Peut-être une poignée de personnes.
Parfois une seule.
Et c’est normal.

Car plus vous vous élevez, plus vos relations se purifient.
Le superflu s’efface, le bruit disparaît, et il ne reste que l’essentiel : des liens vibratoires qui résonnent avec votre être véritable.


/
Personnellement, il n’y a qu’avec mes filles que je me sens vraiment bien.

Peu importe la durée de nos échanges, peu importe le temps passé ensemble : ce n’est jamais intrusif, jamais ennuyeux.

Et ce n’est pas parce que ce sont mes filles.
Non, c’est simplement une question de fréquence.
Nous vibrons sur la même longueur d’onde.

Alors forcément… on se sent bien.
C’est tout.

/
Je t'aime, papa !



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Pour clôturer le chapitre 5, qui devez-vous pardonner ?

Et si votre famille n’était pas là par hasard ?
Et si ces âmes qui vous entourent, parfois si proches, parfois si blessantes, avaient été, dans une autre vie, votre frère, votre amante, votre père, votre enfant ?

Et si ce lien que vous ressentez, cette intensité, cette tension même, n’était que la suite d’une histoire plus vaste que vous n’avez pas encore comprise dans sa totalité ?
Les familles ne sont pas que des constructions sociales.
Ce sont peut-être des regroupements d’âmes, réunies à nouveau pour régler ensemble de vieux chapitres restés ouverts.
Un pardon non donné.
Un amour trahi.
Un départ prématuré.
Un lien jamais vraiment noué.

Alors si vous sentez de la colère, du rejet, de l’injustice… respirez.

C’est peut-être justement là que se trouve votre passage, votre guérison, votre libération.
Le pardon est un chemin.
Il ne se force pas.
Il se laisse mûrir, à la lumière de la conscience.

Prenez votre temps.
Mais n’oubliez pas : ces liens qui vous pèsent parfois sont peut-être les plus beaux cadeaux déguisés de votre vie.
Car ils vous montrent où vous avez encore à aimer.

Alors, avancez avec confiance.
Un pas après l’autre.
Avec le cœur ouvert.

Vous êtes en train de libérer des lignées entières.

Et ça, c’est grand.




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