Le miracle incarné
Le corps humain n’est pas une simple mécanique de chair et d’os.
C’est une œuvre d’ingénierie divine, une fusion parfaite entre matière et énergie. Il ne requiert ni artifices, ni accessoires pour révéler sa beauté.
Son harmonie naturelle se suffit à elle-même.
Sans maquillage, sans modification, sans protection inutile : il suffit d’être, dans la pleine acceptation de ce que nous sommes.
Le corps est un temple.
Et comme tout temple sacré, il mérite respect, attention, amour.
Et c’est le seul qu’on a !
L'eau, la pensée, et l'intention
On sous-estime souvent le pouvoir de nos pensées.
Elles nous semblent immatérielles, invisibles, comme de simples échos mentaux.
Pourtant, leur portée est bien plus vaste.
Si vous doutez encore de leur influence, laissez-moi vous parler d’un chercheur qui a bousculé bien des certitudes : le professeur Masaru Emoto.
Ce scientifique japonais s’est intéressé à un sujet aussi simple que vital : l’eau.
Mais ce qu’il en a révélé va bien au-delà de la chimie ou de la physique.
Dans ses expériences, il a exposé de l’eau à différentes intentions humaines, des mots, des pensées, de la musique, puis a figé cette eau pour en observer les cristaux formés.
Le résultat ?
Stupéfiant.
Lorsque l’eau recevait des intentions de gratitude, d’amour ou de paix, elle formait des cristaux magnifiquement harmonieux, presque géométriques dans leur beauté.
Mais lorsqu’on exposait cette même eau à des mots comme « haine », « guerre », ou « je vais te tuer », les cristaux devenaient désorganisés, difformes, presque douloureux à regarder.
Une image valant mille mots, les photos de ces cristaux parlent d’elles-mêmes.
(à trouver et voir sur Internet).
Elles nous chuchotent quelque chose de fondamental : nos pensées et nos intentions ne sont pas neutres.
Elles structurent, ou désorganisent, ce qui est autour de nous.
Et maintenant, posez-vous cette question : si notre corps est composé de près de 78% d’eau - comme le confirme la biologie moderne - que font nos pensées à notre propre structure intérieure ?
Chaque émotion que vous ressentez, chaque mot que vous prononcez, chaque regard que vous portez sur vous-même ou sur les autres, modifie quelque chose dans votre corps, dans vos cellules, dans votre vibration.
Ce n’est plus simplement une vision ésotérique : c’est de la physique subtile.
Alors, que choisissez-vous de nourrir en vous aujourd'hui ?
Des mots d'amour, de reconnaissance, de lumière ?
Ou bien des jugements, des regrets, des colères ravalées qui stagnent comme une eau croupie dans la boue de vos viscères ?
Nous sommes des océans conscients.
Et si l’eau en nous réagit, alors c’est toute notre santé, toute notre énergie, qui est influencée.
Prenez soin de vos pensées.
Elles façonnent votre monde intérieur bien plus que vous ne l’imaginez.
Valorisez le positif !

Le protocole consiste à placer deux récipients contenant du riz cuit et de l’eau.
Chaque jour, pendant environ un mois, on adresse au premier récipient des paroles négatives et des émotions de rejet, tandis qu’au second, on exprime des mots positifs et bienveillants.
Chaque jour, l’un a reçu des paroles de haine et de rejet, tandis que l’autre baignait dans des mots d’amour et de gratitude.
Le résultat est frappant : le premier est devenu noir et pourri, alors que le second est resté intact et pur.
C’est comme si le riz avait absorbé l’énergie qu’on lui envoyait, nous rappelant que chaque vibration compte et que l’amour préserve, même au niveau le plus subtil.

Elle démontre que les photons, ces particules élémentaires de lumière, ne se comportent pas de la même manière lorsqu’ils sont observés.
L’observateur modifie le résultat.
Et si l’on transpose cela à notre vie, on comprend que la pensée elle-même est une forme d’observation.
Chaque regard posé sur notre réalité, chaque pensée dirigée vers elle, en influence le déroulement.
Que nous en soyons conscients ou non, nous participons activement à façonner la continuité de ce que nous vivons.
Alors oui, mieux vaut apprendre à structurer ses pensées plutôt que de les laisser nous contrôler.
Car si l’eau réagit, si la lumière réagit, notre vie entière réagit.
Nos pensées ne sont pas de simples échos intérieurs : elles sont des forces créatrices.
Ce que nous y mettons : conscience alimentaire
Notre époque déborde d’aliments transformés, industriels, vidés de toute vitalité.
Fast-foods, sodas, produits ultra-transformés saturent les organismes et brouillent les signaux internes.
Et pourtant, le corps encaisse.
Il élimine, neutralise, compense.
Pendant longtemps.
Mais tôt ou tard, le trop-plein se manifeste.
Fatigue, inflammation, douleurs chroniques, maladies plus graves.
Toutefois, l’intention reste primordiale.
Une nourriture partagée dans la joie, même imparfaite, sera mieux assimilée qu’un repas biologique ingéré dans la peur ou la culpabilité.
L’alchimie du corps est fine.
Il reconnaît l’énergie plus que la molécule.
Repensons notre rapport à la nourriture
Aujourd’hui, nous sommes littéralement assaillis par une avalanche d’informations contradictoires sur l’alimentation.Chaque semaine, une vidéo ou un article prétend détenir la vérité : tel aliment serait miraculeux, tel autre dangereux…
Qui croire ?
Comment distinguer le vrai du faux dans ce brouhaha médiatique ?
Et si nous cessions d’écouter les discours extérieurs pour nous tourner vers l’intérieur ?
Car, en réalité, notre corps sait.
Nos cellules, notre système digestif, nos organes possèdent une intelligence silencieuse, bien plus subtile que les prescriptions dictées par les modes ou les régimes.
Prenons un exemple : l’aromathérapie alimentaire.
On bande les yeux, on sent des aliments, et notre corps réagit instantanément. Certaines odeurs nous attirent, d’autres nous rebutent.
C’est un signe clair : notre organisme sait de quoi il a besoin, à cet instant précis.
Plutôt que de céder à l’automatisme des horaires imposés — déjeuner à midi parce que « c’est l’heure », manger un steak-frites parce que c’est rapide — pourquoi ne pas poser la question à l’organe le plus concerné ?
Demander à son estomac :
- As-tu besoin de quelque chose de lourd ou de léger ?
- Du chaud ou du froid ?
- De la viande ou plutôt des légumes ?
- De l’énergie dense ou d’une nourriture rafraîchissante ?
Vous seriez surpris(e) des réponses.
Car, bien souvent, l’estomac dit qu’il n’a pas faim… alors que le mental, lui, crie « mange ! ».
Et c’est là le décalage : ce n’est pas toujours le corps qui commande, mais bien le cerveau, saturé de conditionnements, de pubs, de croyances et d’habitudes sociales.
Fun fact:
La graisse ne fait pas grossir, le sucre oui !
Votre cerveau est gras.
Vos cellules sont grasses.
Vos hormones sont grasses.
ILS ont éliminé les graisses de votre alimentation, puis les ont remplacées par du sucre.
Résultat : une épidémie d'obésité qui coûte et rapporte des milliards en traitements.
Depuis des millénaires, l'homme mange de la viande.
Sans cancer, diabète, problèmes de cœur ou obésité.

Oui, des dents de carnivores.
Pas uniquement des molaires comme les vaches.
Alors, pourquoi faudrait-il arrêter de manger de la viande, juste pour suivre la vague des bien-pensants mi-écolos, mi-vegan, mi-super-sauveurs-de-la-planète ?
Attention, je ne crache pas sur l’idée.
C’est noble, c’est sain, ça part souvent d’une belle intention.
Mais parfois, on tombe dans le dogme.
Et là, ça coince.
Parce que j’en ai vu, des vegans épuisés, dénutris, qui n’osaient même plus s’avouer à eux-mêmes qu’ils rêvaient d’un steak.
Ils se refusaient ce que leur corps réclamait, persuadés qu’ils allaient sauver le monde à coups de brocolis vapeur.
Mes filles, par exemple.
Elles ont testé.
D’abord végétariennes, puis vegan.
Dix ans de légumes, de tofu, de croyances, et un jour : révélation.
Elles ont lâché un grand « Fuck off ! » aux dogmes.
Leur corps leur disait autre chose : « Hé, j’ai besoin de viande de temps en temps.
Pour mes hormones.
Pour mon sang.
Pour mon énergie. »
Et elles ont écouté.
Aujourd’hui, elles mangent de tout, mais avec conscience.
Résultat : jamais malades, toujours en forme, mes chéries.
Moralité : il ne s’agit pas de suivre une tendance, mais d’écouter son corps.
C’est lui, le vrai maître.
Pas les gourous ni les hashtags.
Alors, pourquoi ne pas essayer autrement ?
Écouter le corps, écouter l’estomac, écouter ce ressenti simple et brut.
Faites le test : à force de pratique, vous découvrirez que votre organisme vous guide avec une précision remarquable.
C’est peut-être cela, la vraie révolution alimentaire : retrouver le dialogue avec soi-même, plutôt que de se perdre dans les discours des autres.

Car avant, comme tout le monde je mangeais 3 fois par jour, en suivant la norme.
Du coup, je loupais un repas, j’avais peur de perdre du poids (mes muscles d’homme fort devaient être toujours au top et bien visibles) ou peur de m’affaiblir.
Et bien souvent - je m’en rendais compte mais j’avais encore mes œillères - je mangeais sans appétit, juste pour le plaisir de me remplir, de compenser un manque que je ne connaissais pas encore…
Maintenant c’est totalement différent.
Je mange quand j’ai faim, plus quand je m’ennuie.
Je n’ai plus besoin de me remplir pour me sentir bien.
Et surtout après avoir expérimenté plusieurs jeûnes assez longs, je sais maintenant que mon corps va très bien quand je le laisse respirer un peu, lorsqu’il ne métabolise plus à longueur de journée les substances que je lui envoie.
Du coup, je mange plutôt 2 fois par jour.
Et je fais toujours du sport tous les jours, je m’affine… en bien, en mieux (qu’avant).

Je me débattais sans cesse entre restriction et indulgence, dans l’espoir que mon corps corresponde aux normes de beauté imposées.
Cela me faisait osciller comme un yo-yo : régimes stricts, séances de sport intenses… puis, incapable de maintenir ce rythme, je sombrais dans la gourmandise jusqu’à perdre tout contrôle.
Avec le recul, je comprends que je n’avais jamais réellement fait confiance à mon corps.
Je ne lui laissais pas la parole, je ne lui donnais pas d’espace.
Pire : je le jugeais sans cesse, avec dédain, toujours déçue. Jamais assez bien, jamais assez beau.
Ce n’est que ces dernières années que j’ai commencé à redécouvrir sa sagesse.
En lui redonnant la parole, j’ai pu me reconnecter petit à petit à mes signaux internes, à mes organes, à ces sensations subtiles qui rythment la journée, et en particulier à la faim.
J’ai observé que lorsque je me restreignais, je transformais la nourriture en ennemie, et je finissais par en être obsédée.
Alors j’ai appris à tempérer : manger ce dont j’avais envie, mais en étant présente à chaque bouchée, en savourant la qualité plutôt que la quantité.
J’ai aussi constaté que lorsque j’avais peur de prendre du poids, mon niveau de stress grimpait aussitôt. Mon système nerveux passait alors en mode fight or flight, et mon corps, croyant devoir se protéger, stockait davantage la nourriture. Transformer mon approche face aux repas a donc été primordial : apprendre à me détendre, à relâcher la pression, à savourer pleinement, tout en restant attentive au moment où mon estomac me disait qu’il était rassasié.
C’est ainsi que j’ai enfin atteint un corps qui me convient, sans privation, sans guerre interne.
Juste en apprenant à manger à ma faim, en m’écoutant vraiment, en réconciliant plaisir et respect de moi-même.
La joie comme remède
Et si on arrêtait deux secondes de se prendre pour des machines biologiques à entretenir comme une bagnole en leasing ?
Et si, au lieu de compter nos calories, nos pas, nos grammes de gluten ou notre niveau d’acidité urinaire, on comptait plutôt nos éclats de rire, nos moments d’extase, nos soirées à danser pieds nus, notre capacité à dire un grand « fuck » libérateur au stress ?
Certains vivent en sainte détox, bio, yoga, jeûne, chakras alignés tous les matins, et tombent malades à 42 ans d’un cancer foudroyant (c’est du vécu).
D’autres, des pirates de la vie, carburent au vin rouge, aux nuits blanches, à la folie douce, et passent les 80 balais avec une clope au bec et une étincelle dans les yeux.

Un homme libre, viscéralement vivant, allergique aux règles, aux cadres et aux petits conforts.
Pour lui, l’expérience directe valait plus que toutes les recommandations de santé.
Chercheur d’or en Amazonie, trafiquant de camions dans les déserts africains, propriétaire de casinos à la frontière du Canada, convoyeur de voitures à travers des zones de non-droit… Sa vie a été un roman d’adrénaline pure, de danger assumé, de transgression jubilatoire.
Des aventures comme on n’en voit plus, comme si le monde avait perdu ce goût-là.
Et pourtant, cet homme a consommé toute sa vie à outrance : cannabis, drogues dures, sans jamais s’en cacher.
Il le disait lui-même : il aimait être « démonté », dans un état d’euphorie permanente, à mille lieues des diktats hygiénistes d’aujourd’hui.
Drogue, sexe, rock and roll… et surtout la liberté, brute et rugissante.
Il est mort à 74 ans, d’un infarctus foudroyant.
Rapide, en 15 minutes.
Sans lente agonie, sans chambre d’hôpital aseptisée.
Une sortie digne d’un homme qui a brûlé la vie par tous les bouts, sans jamais s’excuser.
Ce genre de trajectoire rappelle une vérité inconfortable : la santé ne se résume pas à la médecine ou à la diététique.
Certains vivent longtemps et intensément en piétinant toutes les règles, pendant que d’autres meurent jeunes malgré un mode de vie exemplaire.
Il y a quelque chose de plus grand qui entre en jeu :
L’intensité du vécu, la cohérence avec soi-même, l’alignement avec son feu intérieur.
Et parfois, cela suffit.
Parfois, cela dépasse tout le reste.
Pourquoi et comment est-ce possible ?
Parce qu’ils sont vivants.
Et parce que leur carburant, ce n’est pas une routine de moine tibétain : c’est la joie.
Celle de l’enfant.
Oui, la joie.
Ce truc qu’on oublie, ce truc qu’on sacrifie sur l’autel du sérieux, du raisonnable, du socialement acceptable.
La joie, ce n’est pas juste un bonus du dimanche.
C’est un soin énergétique à spectre large, un élixir cellulaire, un désinfectant émotionnel.
Quand vous vibrez la joie, vos cellules chantent.
Littéralement.
Et elles se réparent.
Ce n’est pas un délire mystique.
De plus en plus d’études le confirment : riez, aimez, jouissez de l’instant, et vous activez des hormones qui boostent votre immunité, réparent votre cœur, nourrissent votre cerveau.
Mais allons au-delà de la science : vous le savez déjà.
Quand vous êtes amoureux, quand vous êtes inspiré, quand vous dansez comme un fou sur un balcon au coucher du soleil… vous vous sentez invincible.
Parce que vous êtes dans votre fréquence juste.
Alors non, ce n’est pas une invitation à vivre comme un rockeur en descente de LSD à Ibiza.
Mais c’est une invitation à vous reconnecter à cette pulsation qui dit : « C’est bon, là. C’est vrai, c’est moi. »
Oubliez le masque du sage zen s’ennuyant en tailleur.
Oubliez le moine sous tension.
Soyez cette explosion de joie consciente.
Ce rire qui fend l’obscurité.
Cette liberté qui électrise l’air.
Car si vous cherchez un médicament universel, il est déjà là.
Il s’appelle la joie.
Et il est prescrit sans modération.

Mais avec le recul, j’ai compris que ce n’était pas toujours l’élan du cœur : c’était souvent le manque de joie dans mon quotidien.
J’avais cantonné la joie à une récompense, un bonus qui venait après – après que mes tâches soient faites, que tout soit rangé, que ma vie ressemble à l’image « saine » que je voulais donner.
Je croyais que la joie se trouvait dans l’accomplissement et la discipline.
Et pourtant… je m’éteignais.
Il y a trois ans, j’ai pris un virage brutal.
Cela faisait dix ans que j’étais végétarienne, que je méditais chaque jour, que je cherchais l’élévation spirituelle.
J’avais tout pour être alignée.
Mais à l’intérieur, je m’ennuyais à mourir.
Alors j’ai basculé dans l’inverse : j’ai déménagé dans un village de montagne où la fête, la démesure, la drogue et l’adrénaline régnaient.
Et je me suis laissée happer par ce monde que j’avais toujours jugé.
J’ai tout exploré, tout essayé, parfois jusqu’à m’y perdre.
Je me souviens d’un appel à mon père, où je lui racontais mes excès en lui expliquant ma logique : j’avais besoin de retrouver la joie, peu importe où elle se cachait.
Petit à petit, j’ai laissé tomber la drogue, mais je lui garde une étrange gratitude : elle m’a forcée à voir que ce qui me manquait, ce n’était pas plus de rigueur, mais plus de lâcher-prise.
J’avais besoin de laisser mes instincts s’exprimer, de relâcher mon mental trop serré, de laisser mon corps expérimenter sans entrave.
C’est ainsi que j’ai compris que la joie n’est pas une récompense au bout du chemin.
Elle ne se mérite pas.
Elle est déjà là, brute, immédiate, dès qu’on ose lui faire de la place.
La cellule-mère : ce joyau sacré oublié
Et si, au lieu de courir derrière des cachets chimiques à la télé, on se rappelait qu’à l’intérieur de nous… se trouve un trésor cellulaire ?
Oui, une cellule-mère.
La toute première.
Celle qui, un jour, a dit : « On y va ! », et s’est divisée pour créer votre corps.
Cette cellule n’est pas une relique.
Elle n’est pas morte.
Elle est là, quelque part en vous, encore vivante, encore vibrante.
Imaginez-la comme une prêtresse silencieuse, logée dans un sanctuaire secret, au fond de votre cœur ou peut-être nichée dans un repli subtil de votre conscience.
Elle ne parle pas.
Elle attend.
Elle attend que vous vous souveniez d’elle.
Cette cellule contient votre code source.
Votre ADN originel.
Votre information parfaite, non altérée par les peurs, les pollutions, les mensonges du monde.
Elle sait.
Elle se souvient de la perfection de vos poumons avant que vous n’habitiez une ville grise.
Elle se souvient de vos articulations avant les blessures, de votre foie avant les excès, de votre cœur avant les trahisons.
Et elle peut reconstruire.
Mais pour cela… il faut lui parler, lui demander.
Pas comme on récite une prière par habitude.
Non. Il faut lui formuler une intention.
Claire.
Vibrante.
Chargée de conscience.
Dites-lui :
« Ma cellule originelle, je t’appelle. Reproduis-toi. Envoie une copie parfaite de toi-même là où mon corps en a besoin. »
Et visualisez-la.
Sentez-la s’activer.
Sentez-la descendre comme une goutte de lumière vers votre foie, votre rein, votre articulation douloureuse.
Imaginez-la prendre place, fusionner, informer les cellules malades autour d’elle.
C’est de la science vibratoire.
C’est de la physique quantique.
Et surtout, c’est de l’amour intelligent.
Ce n’est pas magique.
C’est organique.
Mais cela demande présence, répétition, et foi.
La médecine moderne vous dira que c’est du délire.
Mais la médecine moderne a oublié l’âme.
Elle ne parle que de taux, de statistiques, de molécules.
Elle ne parle pas de l’intelligence infinie contenue dans chaque brin d’ADN.
Vous, si.
Vous avez cette clé.
Elle ne s’achète pas.
Elle se réveille.
Et si vous décidez d’en faire l’expérience, de jour en jour, vous verrez.
Les douleurs s’atténuent.
Les blocages se desserrent.
Les cellules écoutent.
Elles attendent seulement que vous vous souveniez de votre pouvoir.

Ça faisait déjà deux bonnes années que la douleur s’était installée, lancinante, agaçante, omniprésente.
Moi qui avais toujours été sportif, dynamique, mobile… voilà que je boitais comme un vieux pirate à la retraite.
Je me suis dit : « Bon, ça y est, j’ai tiré un peu trop sur la corde. »
Alors, comme tout bon citoyen encore un peu naïf, je suis allé consulter un médecin.
Scanner.
IRM.
Radios.
L’artillerie lourde.
Et le verdict tombe, comme un couperet :
« Mon pauvre monsieur, votre genou est foutu. Il n’y a presque plus de liquide synovial entre l’os et le cartilage. »
Merci, au revoir.
Je suis ressorti de là boitant, dépité, et avec l’impression d’avoir plus perdu mon temps et mon élan plutôt que gagné une solution.
Mais voilà, quelque chose en moi n’acceptait pas ce diagnostic.
Impossible d’y croire.
Je suis fait pour bouger, pour danser, pour courir, pour grimper, pour vivre dans un corps fonctionnel.
Alors j’ai changé de méthode.
Chaque jour, je me suis adressé à ma cellule-mère, cette petite sentinelle de lumière logée dans mon cœur, comme un joyau vivant.
Je lui ai parlé.
Honnêtement.
« Envoie-moi des cellules neuves.
Des cellules fortes.
Dirige-les vers ce genou.
Elimine les anciennes cellules mortes.
Aide-le à se réparer.
À se régénérer.
À redevenir lui-même.
stp. »
Et j’ai continué à vivre.
J’ai laissé faire.
J’ai lâché.
C’est une des clés essentielles : faire confiance au corps, sans l’obséder, sans surveiller le moindre micro-signe.
On plante la graine, et on n’ouvre pas la terre tous les matins pour vérifier si ça pousse.
Surtout ne pas faire d’un petit caillou une grosse montagne…
Quelques semaines passent.
Deux, trois mois peut-être.
Et sans y penser… je commence à remarquer un mieux.
Une aisance.
Une mobilité retrouvée.
Un jour, je m’agenouille sans y réfléchir.
Et là : pas de douleur.
C’était revenu.
Naturellement.
Magiquement.
Un an plus tard, je ne me souvenais même plus de ces douleurs.
Elles s’étaient effacées de ma mémoire… comme si elles n’avaient jamais été là.
Mais ce n’est pas tout.
Car derrière tout symptôme physique se cache souvent une cause énergétique ou émotionnelle.
Et le genou, en langage symbolique, parle du « JE-NOUS », notamment dans le couple ou la famille.
Il parle aussi de soumission, de rigidité, du refus de plier.
Et à cette époque… j’étais papa solo.
Élevant mes filles avec une bonne dose de rigueur (trop), essayant de faire de mon mieux mais sans toujours être dans l’écoute ou la souplesse.
Je menais tout ça à la baguette, pensant que c’était la meilleure façon de les guider.
Mais cette rigidité m’est revenue… dans le genou.
Alors oui, il y avait le corps, oui il y avait la conscience, mais il y avait surtout une invitation à m’assouplir, à l’intérieur.
À pardonner. À relâcher. À écouter.
Et aujourd’hui, si je peux courir, danser, m’agenouiller, c’est peut-être parce que j’ai aussi appris à plier intérieurement, sans me briser.

C’est toujours agréable d’entendre ce genre de choses des autres, mais c’est tellement plus puissant lorsque cela vient de nos propres histoires et de notre magie intérieure.
Une amie m’a un jour prêté un livre intitulé « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies ».
Il explore le lien entre nos maux physiques et les conflits intérieurs provoqués par nos pensées, sentiments et émotions.
Mal-à-dire… maladie.
J’ai souvent entendu des gens parler de kystes.
Lorsque j’en ai eu un, j’ai ouvert ce livre, et la définition m’a laissée sans voix :
« Un kyste peut refléter des remords liés à un projet ou un désir inachevé, ainsi qu’une accumulation d’émotions et de pensées non exprimées.
Il symbolise un blocage d’énergie vitale, lié à l’attachement au passé, au refus de pardonner ou à des schémas mentaux rigides qui protègent mais limitent l’ouverture et l’avancement.
Il peut naître d’un sentiment d’impuissance, de rancune ou du besoin de reconnaissance, et s’aggraver lorsqu’on refoule ses émotions ou fuit les conflits.
Dans des situations de peur extrême, il peut évoluer vers une forme plus grave. ».
En lisant cela, j’ai réalisé à quel point cette description collait à une situation que je vivais, et que je n’arrivais pas à surmonter.
Ce jour-là, j’ai lâché prise, accepté cette « injustice » que je ressentais… et j’ai enfin pu passer à autre chose.
Le sport et la sueur : exorcismes modernes
Le mouvement est une clé.
Le corps n’est pas fait pour l’immobilité.
Il est conçu pour l’action, le souffle, la tension libératrice.
On n’est pas né limace ou serpent.
Nous avons 4 membres, faits de segments.
On est fait pour bouger !
Clair.
Le sport, le yoga, les arts martiaux ne sont pas que des disciplines physiques.
Ce sont des voies d’alignement.
Le mental s’apaise, le souffle s’approfondit, l’énergie circule.
Les émotions cristallisées se libèrent.
Combien de larmes silencieuses coulent sur les joues d’un coureur en pleine course ?
Combien de nœuds se défont dans un dojo silencieux, des étoiles de fatigue devant les yeux ?
Combien d’ombres s’éclairent sur un tapis de yoga ?
Les outils à notre disposition : se reconnecter au corps, pacifier l’esprit
Dans cette époque saturée d’informations, de notifications, de « scroll infini » et de stimulations continues, notre mental ressemble souvent à un enfant hyperactif après trois barres chocolatées.
Il court dans tous les sens, saute d’une idée à l’autre, imagine des problèmes, ressasse, rumine, anticipe, panique, tout ça en l’espace de quelques secondes.
Alors que faire ?
Le dompter.
Le remettre à sa juste place.
Et pour cela, nous avons à notre disposition des outils puissants, simples, parfois ancestraux.
Des pratiques capables de calmer le tumulte intérieur, réenclencher la circulation énergétique, et remettre notre temple intérieur en ordre.
Le yoga, par exemple.
Véritable art de la paix intérieure, il ne s’agit pas simplement de toucher ses orteils ou de respirer avec grâce, non, il s’agit surtout de revenir en soi, d’apaiser l’ego, de créer de l’espace entre nos pensées.
Le yoga agit comme un reset énergétique.
On entre stressé, crispé, agité, et on ressort… avec une paix silencieuse, profonde, presque sacrée.
Une addiction saine, en somme.
Et en bonus, pratiquer le yoga donne aussi le sentiment de s’inscrire dans une tradition millénaire, une voie spirituelle ancienne, issue de sages hindous ou tibétains.
Rien que ça, ça aligne déjà un peu les chakras, non ?
Mais ne soyons pas dupes non plus.
Les cours de yoga regorgent parfois d’ego sur tapis : ceux qui marchent au ralenti comme des maîtres zen, avec un sourire trop radieux collé au visage et une voix douce comme une application de méditation guidée…
On les aime bien, mais on les repère vite.
Et au fond, ils nous renvoient un miroir utile : nous aussi, on peut tomber dans ce piège de la spiritualité performative.
Autre joyau dans l’arsenal : les arts martiaux.
Là, on entre dans le vif du sujet.
Rigueur, discipline, précision, ancrage.
Le corps devient un temple en mouvement.
Le mental n’a pas le choix : il doit suivre, ou se taire.
Car un coup mal anticipé, et c’est le tapis.
Les arts martiaux nous apprennent la maîtrise de soi, le respect, l’humilité… et paradoxalement, plus on devient fort physiquement, moins on a besoin de le prouver.
C’est ça, la vraie puissance.

Je suis passé du petit zombie flippé de 20 ans, en quête obsessionnelle de reconnaissance sociale, celui qui souriait trop fort pour se faire des amis, qui dissimulait un jogging sous son jeans pour paraître plus musclé, à un gars qui a mis un pied sur un tatami, et là… révélation.
L’art de la « voie ».
Marcher pieds nus sur un sol qui sent le respect, entouré de posters de maîtres zen aux regards perçants, avec ce prof japonais au charisme silencieux…
Waouh.
J’ai tout de suite senti une vibration.
Une vraie.
Pas un petit frisson, non : une résonance dans mes tripes
Sept ans plus tard, ceinture noire autour de la taille, je découvrais en moi une force tranquille… et un ego tout fou qui voulait absolument montrer cette ceinture au monde entier.
Ceinture que je portais bien visible, hein, pas cachée au fond d’un sac. C’était mon trophée, mon sésame vers ENFIN un peu de reconnaissance.
Et j’en avais tellement rêvé.
Évidemment, piège classique : l’ego spirituel version tatami.
Je venais à l’entraînement autant pour progresser que pour briller.
Et je le savais.
Mais bon, que c’était bon ce petit shoot de reconnaissance.
Le temps a passé.
Ce besoin s’est doucement tassé.
Un second Dan m’a été offert, comme un clin d’œil de l’univers, mais surtout, un basculement intérieur s’est amorcé.
Un beau jour, je n’ai plus eu besoin de me battre.
Plus besoin de refaire encore et encore ces mêmes mouvements, aussi parfaits soient-ils.
Il y avait autre chose qui m’appelait.
Un nouveau dojo.
Intérieur celui-là.
Et là, sans même m’en rendre compte, j’ai commencé à déposer les armes.
Enfin.
J’ai commencé à me sentir en paix.
Et puis, il y a le sport en général.
Quel qu’il soit.
Transpirer, bouger, activer le métabolisme, réveiller les cellules endormies, évacuer les toxines, relancer la bio-dynamique corporelle.
Pas besoin d’être un athlète.
Ce qui compte, c’est la régularité, la volonté, cette petite flamme intérieure qui nous pousse à ne pas rester englouti dans le canapé, happé par l’appel des séries ou d’Instagram.
Dans cette ère numérique, notre plus grand combat est contre la paresse moderne.
Celle qui se déguise en confort, en divertissement, en facilité.
Mais qui finit, à long terme, par éteindre nos sens, notre énergie, notre feu sacré.
Il est temps de remettre un peu de volonté dans notre quotidien.
Un peu de rigueur.
Un zeste de sueur.
Pas pour devenir un moine shaolin, mais pour reprendre notre souveraineté intérieure.
Bouger son corps, c’est aussi réveiller son âme.
Alors… tapis de yoga ou gants de boxe ?
À chacun sa voie.
L’essentiel, c’est de bouger, de respirer, de se reconnecter à cette joie simple d’exister dans un corps vivant, vibrant et éveillé.

Pas seulement physiquement. Mais émotionnellement, mentalement, existentiellement.
Combien de fois ai-je couru en pleurant, le cœur lourd, le souffle court, sans toujours savoir pourquoi ?
Les larmes coulaient toutes seules, comme une source qui avait attendu trop longtemps pour jaillir.
Et c’est là toute la magie du corps en mouvement.
Le mental se met en veille, ou du moins, il lâche un peu la barre du navire.
Il cesse de tourner en boucle, de tout analyser, de vouloir comprendre, contrôler, retenir.
Il laisse la place à autre chose.
À une sagesse plus profonde.
À l’émotion brute.
Au relâchement.
À la guérison.
Quand je cours, je redeviens cet enfant libre, ce cheval sauvage qui file sur la plage, la crinière au vent, le cœur battant au rythme des vagues.
Courir m’ancre dans le présent.
C’est comme hurler sans faire de bruit.
C’est exprimer ce que je ne sais pas dire autrement.
Et puis vient cette étrange alchimie…
Les pensées se dissipent dans le souffle.
Les tensions fondent dans la chaleur du corps.
Et soudain, une paix inattendue s’installe.
Silencieuse.
Apaisante.
Régénérante.
Ce moment où, une fois l’effort terminé, tu restes là, trempé de sueur, mais léger comme jamais.
Une sensation de victoire intime, de reconnexion avec toi-même.
C’est comme si l’âme avait enfin trouvé un canal pour respirer à travers le corps.
Dans mon cas, avec un passé chargé des blessures que la vie m’a généreusement servies, j’ai toujours ressenti cet appel viscéral à bouger, à transpirer, à me défouler.
Ce n’est pas un caprice, c’est une nécessité.
Un rituel.
Une médecine.
Une prière en mouvement.
Et si je peux courir sur les plus belles plages du monde, alors là, c’est l’extase.
La rencontre du souffle et des éléments.
Ma sueur se mêle au sel de la mer, ma fougue épouse les vibrations du sable, et je redeviens pur mouvement, pur instinct, pur présent.
Aujourd’hui, à plus de 60 ans, je ne peux pas imaginer une journée sans cette bouffée de vie.
(ma nouvelle passion : le padel)
Mon corps la réclame, mon esprit la bénit, mon âme la célèbre.
Je dois transpirer.
Je dois faire circuler cette énergie en moi, pour qu’elle ne stagne pas, ne s’enlise pas, ne s’éteigne pas.
Ce n’est pas une addiction.
C’est une fidélité à moi-même.
À mon besoin de liberté.
À ma joie de vibrer.

À l’époque, je le détestais parfois de vouloir absolument que nous trouvions « notre » discipline, ou au moins que nous en pratiquions une.
Du tennis à la gymnastique, du cirque à l’escalade, du ski à la voile… j’ai exploré presque tous les horizons possibles.
Et aujourd’hui, je lui en suis infiniment reconnaissante.
Le dépassement de soi, la rigueur, l’effort, puis le relâchement après l’entraînement, cette sensation d’accomplissement même dans la douleur… tout cela m’a forgée.
Ce sont des enseignements que j’ai appliqués bien au-delà du sport, dans chaque pan de ma vie
. Je sais désormais que prendre soin de mon corps à travers le mouvement n’est pas une phase, mais un engagement.
Et je continuerai à honorer ce lien, à cultiver cette force, pour le restant de mes jours.
Douleur, souffrance… et le cancer : quand le corps crie ce que l’âme tait
Dans nos sociétés modernes, si promptes à tout "soulager" à coups de chimie, il devient presque impossible d'aller toucher le fond.
De descendre, vraiment, là où ça gratte, là où ça pleure, là où ça hurle à l’intérieur.
À la première douleur, au moindre mal-être, on dégaine la pilule.
À la moindre chute de moral, hop, l’ordonnance magique.
Mais dans ce réflexe si commun, on oublie quelque chose d’essentiel : la douleur a une voix.
Et elle a un message.
On ne nous laisse plus l’espace d’écouter ce message.
Le dépressif ne peut plus descendre au fond de sa nuit pour y trouver son feu sacré.
On lui colle des antidépresseurs qui anesthésient tout, les larmes, mais aussi la lumière.
L’alcoolique, après trois jours sous perf, sort avec un foie nettoyé, mais une âme toujours aussi paumée.
On l’a soigné… en surface.
La douleur n’est pas là pour nous punir.
Elle est un signal d’alarme.
Un appel à l’introspection.
Elle nous dit que quelque chose cloche, dans notre mode de vie, nos choix, nos relations, nos pensées, notre direction.
Elle n’est pas notre ennemie, elle est notre alliée.
Elle nous invite à ralentir.
À écouter.
À changer.
Et si on n’écoute pas ?
Boum ! Le mur à 120 km/h.
Imaginez votre corps comme un vaste réseau ferroviaire.
L’énergie y circule comme des trains : fluide, rythmée.
Sauf que le stress chronique, les émotions refoulées, les croyances toxiques… tout cela crée des nœuds.
Des gares où l’énergie stagne.
Et quand ça sature, ça chauffe.
Ça gonfle.
Ça bloque.
C’est là que les douleurs apparaissent.
Pas au hasard, mais avec un sens.
Le genou, par exemple.
Il symbolise souvent notre rapport au « nous » dans le couple.
« Je-nous. »
Et aussi notre capacité à plier, à faire preuve d’humilité.
Une douleur au genou ?
Peut-être refusez-vous de fléchir face à une situation, ou face à vous-même.
Le dos c’est encore plus simple : on porte trop, c’est tout.
Trop de charges, trop de poids dans notre vie.
Alors la colonne crie et la douleur nous montre quoi.
Mais la médecine conventionnelle, elle, ne voit que l’os, le tendon, l’inflammation.
Elle vous prescrit un anti-douleur.
Et vous voilà soulagé… pour quelques jours.
Le symptôme est masqué, mais la racine est toujours là, bien vivace.
Et si on inversait la logique ?
Et si on accueillait la douleur comme un message sacré ?
On pourrait simplement lui dire : "Merci. J’ai compris que quelque chose en moi appelle à être vu, entendu, aimé. Je t’écoute."
Et puis, on laisserait faire le corps.
Car oui, le corps sait se réparer.
Il suffit souvent de le laisser faire.
« Et le mieux est souvent de jeûner. J’en parle plus loin… »
Mais attention… focaliser sans cesse sur une douleur, c’est l’amplifier.
L’énergie suit l’attention.
Plus vous pensez à ce qui va mal, plus vous l’alimentez.
Alors que si vous orientez vos pensées vers la paix, la fluidité, la guérison… devinez ce qui se passe ?
Vous changez la vibration.
Et le corps suit.
Et les cancers, dans tout ça ?
Parlons-en.
Le cancer est devenu le jackpot de l’industrie pharmaceutique.
Une vache à lait.
Une manne gigantesque pour Big Pharma.
Un patient cancéreux rapporte en moyenne 35 000 euros.
Pas étonnant qu'on lui prescrive à la chaîne des chimiothérapies, même quand l’espoir est mince.
Le médecin touche sa part.
L’industrie aussi.
Et tout le monde s’enrichit, sauf le malade, qui s’appauvrit, s’affaiblit, et meurt souvent dans la souffrance.
Et si on osait dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas : la chimio est un poison.
Le mot lui-même ne s’en cache pas.
Et on continue, encore en 2025, à injecter ces substances hautement toxiques, comme si c’était la seule solution.
Alors qu’on sait aujourd’hui que le cancer n’est pas juste une maladie du corps.
C’est une maladie de l’âme.
Une profonde disharmonie.
Un cri silencieux du « je » qui n’en peut plus de trahir sa vérité.
Trop de compromis, trop de faux-semblants, trop de refoulements.
Depuis trop longtemps.
Et il y a tant de témoignages bouleversants de personnes qui, après avoir frôlé la mort, ont compris.
Qui ont changé.
Qui ont guéri.
Comme Anita Moorjani (cherchez sur Internet), cette femme indo-mauricienne, morte d’un cancer déclaré incurable… et revenue avec un message lumineux. Elle a compris une fois dans la lumière que sa maladie venait de sa peur, de sa soumission à une vie qui n’était pas la sienne, à une religion qui ne la nourrissait pas.
Une fois cette vérité embrassée, elle a guéri de retour dans son corps.
Immédiatement.
Sans chimio.
Juste en se reconnectant à son essence.
Son miracle.
Alors, oui, il y a d’autres forces à l’œuvre.
Des forces qui nous dépassent.
Des forces qu’on ne peut même pas soupçonner tant notre conscience est encore limitée.
Mais elles sont là.
Et elles nous parlent à travers notre corps.
À travers nos douleurs.
À travers nos silences.
Écoutez-les.

Née dans une famille dysfonctionnelle, elle a grandi dans un climat d’abus, d’attouchements, de silences lourds, de regards déplacés.
Plusieurs hommes de son entourage familial ont franchi les limites de l’innocence.
Ses repères masculins, censés la protéger, l’ont successivement abandonnée.
Et sa mère, elle, n’était qu’un écho brisé d’elle-même : instable, blessée, dure, incapable d’aimer sans blesser à son tour.
Cette femme, pour survivre, n’a eu d’autre choix que de construire une muraille intérieure.
Une forteresse froide, solide, presque admirable.
Elle a enfermé ses blessures au plus profond d’elle-même, bien scellées, bien étouffées.
Parler ? Jamais.
Revivre ? Impossible.
Aimer ? Trop dangereux.
Alors elle a appris à vivre sans.
Sans amour, sans confiance, sans ouverture, sans véritable joie.
Sa vie s’est figée à l’aube de sa maturité.
Une existence en apnée.
Les années ont passé, toujours pareilles.
Sans grands éclats, sans rires francs, sans ces élans fous qui font battre le cœur autrement.
Mais les émotions, même bien enfermées, ne disparaissent pas.
Elles stagnent.
Elles fermentent.
Elles deviennent cette boue invisible dans les profondeurs du ventre.
Et un jour, son corps a parlé.
Plus fort qu’elle.
Un cancer.
Bien sûr que c’est logique.
Quand on ne laisse pas sortir la douleur, elle finit par frapper de l’intérieur.
Elle a combattu.
Avec force.
Avec larmes.
Avec traitements de poisons, hospitalisations, isolements.
Elle a vaincu la maladie… en surface.
Elle a été déclarée guérie.
Mais moi, je ne suis pas certain qu’elle le soit vraiment.
Car les mots n’ont toujours pas été posés.
Les larmes, toujours pas versées.
Les fantômes, toujours pas reconnus.
Et tant que les maux n’ont pas trouvé leurs mots, rien n’est vraiment terminé.

Je connais 2 personnes qui ont de gros soucis de santé.
L’une est un « taureau » bien ancré dans la matière et qui a passé sa vie à construire.
Des business, et maintenant des maisons.
Le seul but est bien sûr… l’argent.
Il a maintenant tellement mal au dos qu’il veut se faire bloquer des lombaires, car - devinez quoi - c’est ce que la médecine lui propose.
Oui, ok, cela mettra temporairement fin à ses douleurs aiguës, mais franchement… il porte juste trop.
Sur ses épaules.
Trop de charges, trop de soucis, de préoccupations, et quand c’est trop, le corps crie.
Le second est un parfait « gémeau ».
Depuis 20 ans il crée des sociétés pour les gens, il brasse dans le social et les papiers, monte des structures et s’organise ainsi gaiement entre des dizaines de clients.
Pas de bol pour lui, il a aussi épousé une femme qui lui complique sérieusement la vie.
Du coup il se retrouve maintenant avec des cailloux dans la vésicule biliaire.
Ça vous fait penser à quelque chose ?
Eh bien oui, il se fait de la bile depuis longtemps, ne s’écoute pas, ne freine pas, et son corps n’en peut plus.
Il le reconnaît lui-même, il en souffre depuis longtemps.
Et ne fait rien, ne change rien à sa vie.
Résultat, lui aussi va se faire charcuter.
Mince alors… tout pourrait être tellement plus simple !
Le témoignage d'Amélie : la réincarnation de l'épreuve
Certaines âmes recréent des scénarios oubliés.
Le cancer devient alors un rite.
Une épreuve sacrée.
Une porte vers une transformation.
Amélie – ma première et magnifique femme -, ancienne aspirante prêtresse dans l’Égypte ancienne, n’avait pas réussi son épreuve d’initiation, jadis, il fut un temps...
Revenir dans cette vie avec un haut niveau spirituel l’a poussée, inconsciemment, à rejouer cette scène.
Cette fois, à travers une leucémie.
L’incompréhension du monde médical, l’inconfort des proches, les doutes de l’entourage : tout cela ne pouvait effacer la vérité profonde.
Amélie avait choisi ce passage.
Pour tenter à nouveau l’élévation.
Pour guérir une boucle ancienne.
Elle n’a pas survécu.
Mais elle a compris.
Et dans cette compréhension, elle a semé une lumière.
Laissez-moi vous conter son histoire:
Il était une fois…
Au temps des Pharaons, en Égypte ancienne, une belle jeune femme vêtue de blanc, apprentie vestale, s’apprête à passer un test.
C’est l’épreuve ultime.
Elle y travaille et s’y prépare depuis de nombreuses années.
Elles sont une dizaine à avoir jusqu’à présent réussi leur parcours éliminatoire jonché de défis divers.
Des années de travail et d’apprentissage pour arriver ici.
Le temple cherche une nouvelle divinatrice.
Si elle réussit, elle sera nommée prêtresse.
Si elle échoue, elle mourra.
Le but de cette épreuve est de rester enfermée dans un sarcophage durant quatre jours.
Sans rien.
Sans air, sans nourriture, sans aide.
Elle s’en sort vivante, elle sera prêtresse.
Elle n’en ressort pas, elle aura échoué, morte.
La jeune femme se glisse dans son cercueil de marbre glacé.
Plusieurs assistantes referment ensuite le lourd couvercle de granit au-dessus du corps allongé, elles scellent le sarcophage.
Les quatre jours passent…
Les sarcophages sont rouverts.
Des corps sont retrouvés inanimés, sans souffle.
Mortes pour la plupart, les aspirantes prêtresses.
Amélie en faisait partie.
Amélie, que l’on retrouve en l’an 2005, mariée et mère de deux enfants.
Mon ex-femme bien-aimée.
Elle a eu plusieurs vies depuis ces temps anciens, vies qu’elle a oubliées.
Dans cette vie présente, elle s’est jointe depuis quelques années à un cercle de thérapeutes de lumière.
On les appelle les Esséniens.
Elle suit un guide, elle apprend et elle aime cela puissamment.
Elle brille d’année en année, et devient un phare.
Elle gravit progressivement les marches de lumière au sein du groupe, et se retrouve rapidement assistante de la prêtresse.
C’est alors que sa conscience lui soumet une suggestion puissante, irrésistible, follement attractive.
À son stade ascensionnel, elle aura renoué avec des réminiscences émotionnelles considérables en recréant la même densité d’émotions et de vibrations que celles vécues dans une lointaine autre vie.
Mais elle ne le sait pas encore.
La vie est un grand jeu, va-t-elle oser jouer...
Tous les facteurs sont là, les éléments déclencheurs sont présents, formes-pensées, conscience, âme, tout pousse à rejouer cette partie jadis perdue.
Et son corps recrée son sarcophage de jadis.
Cancer.
Leucémie aigüe.
Boum..
C’est en tout cas le terme des médecin-robots qui auscultèrent son corps.
Elle qui ne buvait pas ni ne fumait, elle qui méditait et pratiquait en conscience l’amour par la lumière, elle qui soignait les autres, qui pratiquait quotidiennement le yoga, la voilà qui avait chopé un cancer ?
Non mais vous y croyez, vous ?
C’est impossible !
Comment cela se pourrait-il ?
Sauf que son destin est tellement plus altier que la somme de toutes nos croyances terrestres.
En vérité, elle se sera recréé son épreuve ultime, jadis échouée.
Tellement importante pour son âme.
Pour jouer.
Ayant à nouveau atteint un haut niveau d’études spirituelles et de vibrations dans la lumière, elle s’offre - dans un défi personnel inconscient - la possibilité d’atteindre enfin son Saint Graal.
Rejoindre le but final qu’elle nourrit secrètement au fond d’elle depuis des vies et des vies…
Devenir enfin une grande prêtresse.
La voilà donc alitée et faible, en proie à ses pires peurs, dont celle de mourir.
Re-mourir.
Avec sa famille, à mille lieues d’imaginer le pourquoi du comment, lui déversant des vagues de peurs, toutes issues de la Matrice.
Et ce Système médical et ces robots-sauveurs de vie qui déversent en elle l’infâme liquide poisonneux, censé changer son sang, comme si la cause résidait là…
Elle lutte.
Longtemps.
Seule avec sa conscience, essayant de savoir pourquoi cela lui arrive.
Se demandant pourquoi les Dieux lui envoient cette épreuve.
Elle ne le comprend que vers sa fin, lors de ses multiples sorties hors de ce corps qui n’en finit plus de se dégrader, lorsqu’elle prend conscience que son enveloppe corporelle ne pourra bientôt plus supporter l’espace vital de son âme essayant de le réintégrer, et qu’elle devra bientôt le quitter à jamais.
Elle est partie en emportant son secret.
Elle avait encore échoué.
Laissant les humains à leurs douleurs, et elle voguant vers un prochain karma, une prochaine vie dans laquelle - cela ne fait nul doute - elle recommencera à créer les conditions pour gagner cet ultime combat personnel qui la poursuit depuis plusieurs tentatives.
Elle est partie là-haut, très haut dans les couches supérieures de la hiérarchie de la lumière, pour aider à la désagrégation de certains égrégores négativement chargés qui alourdissent la Terre.
À bientôt ma chère et tendre Amélie, on se retrouve d'ici peu.
»
Voilà une histoire qui échappe à toute rationalité.
Pourtant, lorsqu’on la lit avec notre cœur, on comprend l’extraordinaire gigantisme de tout cela, comment nos vies sont liées avec un passé oublié, et qu’on ne peut pas s’extraire de certaines lois divines inconnues ou repoussées par la science sur Terre.

Dans ce rêve, un homme, mon partenaire et amour, me poignardait dans le bas du dos.
Exactement à l’endroit où j’ai une grande tâche de naissance, comme une tache de vin écoulé sur une table.
Je n’oublierai jamais son regard : il me fixait avec une intensité douloureuse, puis m’a serrée dans ses bras.
Je savais qu’il ne le faisait pas par cruauté, mais parce qu’il le devait.
Comme si nous avions été démasqués, comme si notre sort était déjà scellé.
J’ai ressenti le choc de l’impact, l’inattendu, la trahison malgré tout… et en même temps cette certitude étrange que son geste me protégeait d’un mal plus grand encore.
Je ne sais pas si ce rêve est une réminiscence d’une mémoire ancienne.
Je ne prétends pas connaître ce qu’il y a après la mort, ni affirmer avec certitude que nous nous réincarnons.
Mais je sais que, dans l’inconnu, se cachent parfois des messages, des fragments qui apaisent et réconfortent l’âme.
Et c’est peut-être cela que l’histoire de ma mère, Amélie nous enseigne aussi : que certaines épreuves qui nous semblent absurdes ou cruelles prennent un autre sens lorsqu’on les replace dans une continuité plus vaste.
Peut-être que nos cicatrices, nos rêves, nos tâches de naissance, nos intuitions… sont les empreintes de ces histoires oubliées qui cherchent encore à se dire à travers nous.

Moi je dis: pourquoi pas ?
On a tous vus des films médiévaux dans lesquels des vickings ou des assaillants attaquent un château avec sauvagerie, et pour ne pas finir mutilée, torturée, violée et bafouée, le prince ou le châtelain tue volontairement sa femme épouvantée dans ses bras, au dernier moment, lorsque la porte du donjon vole en éclat sous les coups des assaillants…
Histoire de lui épargner une fin horrible.
Elle me plait ton histoire !
Et ta tache de vin dans ton dos… personne n’a jamais pu nous donner une autre histoire plus “folklorique” et imaginée que celle-ci.
Te sachant en plus tellement “liée à l’Amour” dans cette vie-là, attendant avec pureté et fougue ton vrai amoureux…
Pourquoi pas…
La médecine moderne et ses limites
La médecine d’aujourd’hui est puissante, oui.
Chirurgie de pointe, imagerie de précision, antibiotiques, greffes, traitements d’urgence.
Elle peut sauver une vie en quelques minutes.
Remettre sur pied un accidenté.
Prolonger la vie de manière spectaculaire.
C’est un progrès indéniable… mais incomplet.
Car cette médecine soigne les symptômes.
Elle panse.
Elle calme.
Elle supprime.
Mais elle ne guérit pas toujours au sens profond du terme.
Elle ne va pas, ou rarement, à la racine.
Elle se penche sur le "où ça fait mal", rarement sur le "pourquoi ça fait mal".
Elle nous soulage, souvent… mais elle nous déresponsabilise aussi.
Elle installe dans l’esprit collectif l’idée que le salut viendra de l’extérieur.
D’une pilule magique.
D’un médecin en blouse blanche.
D’un protocole standardisé.
Elle nous pousse à oublier que nous avons en nous une force d’auto-guérison, un savoir inné, une intelligence corporelle et émotionnelle bien plus puissante que nous ne le croyons.
Et il faut dire les choses comme elles sont : la médecine actuelle, c’est aussi et surtout une industrie.
Un empire économique tentaculaire.
Des laboratoires milliardaires, des chaînes d’hôpitaux, des flux financiers colossaux.
Des emplois par millions, des brevets, des lobbys, des parts de marché.
Peut-on sérieusement croire que la priorité, dans ce système, soit de vous guérir rapidement et définitivement ?
Soyons lucides : un patient guéri, c’est un client perdu.
Et au contraire, un patient stabilisé à coups de traitements récurrents, c’est un abonnement longue durée.
Cela ne veut pas dire qu’il faut tout jeter.
Non.
La médecine moderne a des forces incroyables.
Elle excelle dans l’urgence, dans la mécanique, dans l’intervention chirurgicale.
Mais elle oublie le reste : le vivant, l’émotionnel, l’énergétique, le lien entre le corps, l’âme et l’esprit.
Imaginez une médecine qui ne se contenterait plus de vous couper là où ça dépasse ou d’étouffer la douleur, mais qui chercherait à comprendre pourquoi votre dos se bloque, pourquoi votre foie est engorgé, pourquoi votre peau hurle en eczéma.
Une médecine qui écouterait vos mots... pour entendre vos maux.
Imaginez une collaboration humble et fertile entre les technologies d’aujourd’hui et la sagesse des médecines ancestrales.
Entre le scalpel et la prière.
Entre le scanner et l’intuition.
Entre la molécule et la vibration.
Oui, la médecine moderne pourrait devenir magnifique.
Époustouflante même.
Si seulement elle osait reconnaître que le corps est plus qu’une machine.
Que la santé, ce n’est pas seulement l’absence de symptômes, mais un équilibre subtil entre l’intérieur et l’extérieur.
Entre ce que l’on vit, ce que l’on ressent, ce que l’on digère (émotionnellement), ce que l’on pense, et ce que l’on croit.
Nous n’avons pas besoin de choisir entre les approches.
Nous avons besoin de les relier.
De les réconcilier.
De redonner au patient sa souveraineté.
Et à la médecine… son humanité.

J’ai toujours eu ce désir d’aider, de soigner, de sauver.
Mais lorsque ma mère a eu son cancer, j’ai découvert les hôpitaux de l’intérieur.
J’ai suivi les bilans, les protocoles, les diagnostics… et j’ai été frappée par ce manque cruel de couleurs, d’émotions, d’humanité.
Tout semblait froid, stérile, mécanique.
Je ne jette pas la pierre aux médecins, bien au contraire.
Je sais à quel point ils sont souvent débordés, surchargés, épuisés émotionnellement.
Comment offrir une oreille attentive quand on enchaîne les urgences et qu’on porte la souffrance de dizaines de patients chaque jour ?
Là n’est pas mon jugement.
Mais cette expérience m’a fait comprendre une chose essentielle : comme mon père l’a exprimé, médecine moderne et médecines anciennes ne devraient pas s’opposer, mais se compléter.
L’une excelle dans l’urgence, dans la technique, dans le sauvetage immédiat.
L’autre explore les racines profondes du mal, la psyché, l’émotionnel, les causes invisibles.
Vers une médecine intégrative
Un jour viendra où les médecins prescriront des silences, des respirations, des moments de solitude.
Où les hôpitaux accueilleront aussi des thérapeutes énergétiques, des sages-femmes de l’âme, des rebouteux du cœur.
Un jour viendra où la maladie ne sera plus considérée comme une ennemie à abattre, mais comme un message à entendre.
Une opportunité de se réaligner, pas une fatalité à fuir.
Car le corps n’est pas qu’une machine.
C’est un écosystème subtil.
Il a besoin de nutriments, oui, mais aussi de paix intérieure, de rêves nourrissants, de relations saines, de cohérence émotionnelle.
Quand tout cela est en place… il devient capable de régénération.
D’harmonisation.
De miracles.
Conclusion : réapprendre à habiter son corps
Aimer son corps, c’est honorer la vie.
C’est écouter ses messages.
Le respecter.
Le nourrir.
Le faire bouger.
Le reposer.
C’est aussi lui parler.
Lui faire confiance.
Le remercier.
Dans un monde qui nous pousse à sortir de nous-mêmes, à chercher à l’extérieur des solutions, il est temps de revenir à l’intérieur.
Là où tout commence.
Là où tout se soigne.
Le corps n’est pas un obstacle.
C’est un allié.
Un guide.
Un portail vers l’âme.
Et il ne demande qu’à être reconnu pour ce qu’il est : un miracle vivant.
Intégration – un pas à la fois…
Ne cherchez pas à tout comprendre d’un seul coup.
Ce n’est pas un examen.
Ce n’est pas une course.
Les prises de conscience véritables s’installent lentement, parfois silencieusement, comme des graines plantées dans la nuit.
Elles germeront quand ce sera le bon moment.
Offrez-vous la liberté d’être traversé sans vouloir saisir.
Acceptez de ne pas tout « savoir » tout de suite.
C’est dans les zones de flottement que se cachent souvent les plus grandes révélations.
Le mental, lui, voudra ranger, catégoriser, expliquer.
Mais votre être profond a besoin de ressentir, de vibrer, de laisser infuser.
Alors... buvez beaucoup d’eau ces prochains jours…
Fermez les yeux.
Écoutez ce que votre corps murmure.
Et si tout cela vous semble encore brumeux, flou ou même inconfortable… tant mieux.
C’est que quelque chose bouge.
Nous sommes nombreux à nous réveiller, chacun à notre rythme.
Et parfois, laisser reposer… c’est avancer.