Chapter 2:
Breaking free from collective hypnosis

veil of illusion, distorted perceptions, unconscious beliefs, personal lies, emotional release

Duration : 2h 30

Content

« À l’heure de l’information, du tous-connectés, l’ignorance est un choix. ».

Le premier chapitre nous a permis d’ôter le voile.

Nous avons vu combien notre construction intérieure repose sur des fondations fragiles, faites d’informations erronées, de croyances imposées, de conditionnements hérités, souvent sans filtre, souvent sans conscience.

Nous vivons, littéralement, dans une illusion.

Mais cette illusion n’est pas une fatalité.
Elle peut être déconstruite.
Dissoute.
Transcendée.

Non pas dans la violence ou la révolte, mais dans la lucidité.
Car c’est en regardant en face les racines de nos peurs, en identifiant nos schémas mentaux répétitifs, que nous reprenons doucement notre pouvoir.

Ce qui nous entrave le plus ne vient pas de l’extérieur : ce sont ces prisons invisibles que nous entretenons à force d’habitudes, de peurs, et de fidélités inconscientes.

Et pourtant, le monde extérieur, les systèmes, les institutions, les structures sociales, n’arrangent rien.
Peu, voire rien, n’est réellement pensé pour notre liberté intérieure.
Tout est construit pour nous maintenir occupés, divisés, distraits… mais rarement éveillés.

Heureusement, des clés existent.

Apprendre à mettre des mots sur nos maux, retrouver le silence, le lien à la nature, à notre souffle, à cette voix intérieure trop longtemps étouffée…
Tout cela fait partie de ce retour vers soi, cette reconnexion à notre essence véritable.

Dans ce deuxième chapitre, nous allons plonger plus profondément encore en vous.

Observer les mécanismes qui, au sein même de nos sociétés, continuent de nous endormir.
Nous interroger sur qui tire les ficelles, quelles forces orientent nos choix, quels intérêts se cachent derrière le décor bien lisse du monde moderne.

Nous parlerons d’argent, cette énergie mal comprise, souvent diabolisée ou idolâtrée, mais rarement saisie dans sa juste vibration.

Nous verrons comment le système entretient le manque, comment il bride notre souveraineté, et comment, pas à pas, nous pouvons nous libérer de ses chaînes subtiles.

Il ne s’agit pas d’un simple éveil intellectuel.

C’est un chemin de déprogrammation, d’observation consciente, de reprise de souveraineté.

Allons-y.
Plus en profondeur
Plus près de la vérité.

Et surtout… plus près de vous-même.

hypnose collective et manipulation  |  chaînes invisibles du système  |  médias et propagande moderne  |  peur comme outil de contrôle social  |  mensonges institutionnels  |  sortir des croyances conditionnées  |  désobéissance consciente  |  reprendre son pouvoir intérieur  |  illusion du temps et du travail  |  éducation et formatage des esprits  |  religion et peur du divin  |  liberté individuelle et souveraineté spirituelle

Chapter content 2

Les chaînes invisibles

L’humanité ne vit pas seulement dans un monde physique.
Elle évolue dans une matrice psychologique, émotionnelle, idéologique.

Un filet serré de croyances, d’habitudes, de récits répétés depuis l’enfance.
Ces structures sont si ancrées qu’elles semblent naturelles.

Mais elles sont le fruit d’un conditionnement minutieux.
Le conditionnement d’un peuple à rester soumis, docile, obéissant.

L’illusion d’une liberté, quand tout est déjà décidé d’en haut.
« En haut ? », comme c’est intéressant…


Les médias : instruments de formatage massif

En 2020, une opération mondiale a exposé l’ampleur de la manipulation orchestrée par ceux qui tiennent les leviers du pouvoir.
Le COVID fut une épreuve pour tous, mais aussi un révélateur.

La peur de mourir, élément fondamental de notre psyché, a été utilisée comme un levier.
Les gouverne-ments, relayés par les médias, ont diffusé en boucle des messages anxiogènes.
Il fallait obéir, se conformer, accepter sans discuter.
Le journal télévisé devint une messe quotidienne, la vaccination un dogme, et toute dissidence un blasphème.

Pourtant, dès le départ, des signaux contradictoires étaient visibles.
Des témoignages circulaient, des chercheurs remettaient en question les chiffres, des médecins osaient parler.
Mais ces voix furent vite étouffées.
Bannies, censurées, moquées.


/
Les réseaux sociaux, parlons-en : qui les détient, au fond ?

Qui sont les véritables patrons de ces plateformes si controversées durant la pandémie ?
À qui doivent-ils rendre des comptes ?
À quels intérêts financiers sont-ils liés ?

Posez-vous cette vraie question :
Pourquoi certaines voix ont-elles été brutalement bannies ?.
Pourquoi tel médecin, tel chercheur, tel journaliste a-t-il été réduit au silence, diffamé, effacé des radars ?
Quel était leur message, leur ton, leur vérité dérangeante ?.

YouTube, au début, a tenté de résister.
Mais très vite, la pression fut trop forte.
Les censures sont tombées, les algorithmes ont été ajustés, les lignes rouges tracées..

Heureusement, il restait d’autres plateformes.
Des espaces alternatifs, souvent créés par des individus sans conflits d’intérêts, sans agenda caché.
Des lieux encore libres, où l’on pouvait entendre les cris, les doutes, les appels.
Où des spécialistes - des vrais - ont pu alerter..
Où des êtres courageux ont osé se montrer, s’exprimer, s’exposer.
Ces espaces n’ont peut-être pas eu l’écho des géants numériques…
Mais ils ont tenu.
Et ils ont permis à une certaine conscience collective de ne pas sombrer complètement dans l’amnésie imposée.

Il ne s’agissait pas seulement d’une crise sanitaire, mais d’un test mondial d’obéissance.

Les grands médias ne sont pas neutres.
Ils appartiennent à des groupes privés, eux-mêmes liés à des banques ou des conglomérats industriels.
Les rédacteurs en chef obéissent à une ligne éditoriale.
Les journalistes, à des consignes strictes.
Et quand une crise mondiale survient, les ordres viennent toujours d’en haut.
Mais qui est "en haut" ?

L’Organisation mondiale de la santé a donné le ton.
Mais qui la finance ?
Principalement des États... et des fondations privées.
Des intérêts croisés.
Des conflits d’intérêts à peine masqués.
Quand une entreprise vend les vaccins et finance en parallèle les organismes qui les recommandent, peut-on encore parler d’impartialité ?

Les masses, submergées de peur, ont suivi.
Non par bêtise, mais par fatigue, par besoin de certitudes, par conformisme aussi.
Le doute devenait insupportable.
Penser devenait dangereux.
Et alors, l’obéissance devint la voie de moindre résistance.


/
Prenez un instant pour y réfléchir :

Les chaînes de télévision, les stations de radio, les journaux…
Ce ne sont pas des institutions désintéressées.
Ce sont des entreprises.
Et ces entreprises appartiennent à des individus.
Des groupes.
Des puissances.

Et ces gens n’acquièrent pas des médias pour le plaisir.
Ils investissent des fortunes, avec des objectifs clairs.
Ce sont des leviers d’influence.
Des outils de diffusion.
Des vitrines, parfois maquillées en neutralité.

Leur but ? Promouvoir leurs intérêts.
Et souvent, leurs intérêts ne sont pas isolés : ils sont reliés à d’autres sphères de pouvoir, économiques, politiques, bancaires.
Certains appartiennent à des réseaux d’influence plus discrets, voire occultes, cachés.

Des groupes fermés, anciens, structurés, dont les décisions peuvent modifier le cours de l’histoire en quelques réunions confidentielles, dans des salons feutrés ou des sous-sols sacrés.

Même le directeur d’une grande chaîne de télévision n’est pas libre.
Il ne décide pas seul de ce qui sera diffusé.
Les lignes éditoriales sont imposées.
Les narratifs sont coordonnés.
Et plus un média est proche du pouvoir politique, surtout dans les chaînes nationales, plus ses marges de manœuvre sont étroites.

Les ordres viennent toujours d’en haut.
Mais alors… qui est « en haut » ?
Qui dicte la ligne d’un président de chaîne publique ?
Qui oriente les consignes sanitaires mondiales ?
Qui est au-dessus d’un chef d’État, si ce dernier n’est qu’un pion dans une partie d’échecs qui le dépasse ?

Pendant la crise du Covid, par exemple, des décisions majeures ont été prises à l’échelle planétaire, toutes alignées, toutes centralisées.
L’OMS diffusait ses directives, et les pays suivaient.
Mais qui donne ses instructions au patron de l’OMS ?
Qui peut influencer un organisme international au point d’uniformiser les mesures sanitaires de la planète entière ?

A votre avis ?

Quelques banques, et ceux qui les détiennent.


La peur, outil politique ancestral

La peur est l’outil le plus efficace pour contrôler un peuple.
Elle fait taire, elle divise, elle isole.

La peur de mourir, de perdre, de manquer.
La peur de penser différemment.
La peur d’être jugé.

Les médias n’informent plus.
Ils formatent.
Ils répètent des récits soigneusement construits pour maintenir les masses dans un état de stress chronique.
Chaque soir, des images de conflits, de drames, de catastrophes.
Et toujours les mêmes : Israël, Jérusalem, les attentats.

Pourquoi cette répétition ? Depuis si longtemps…

Parce qu’un peuple anxieux consomme.
Parce qu’un citoyen inquiet obéit.

Les chaînes de télévision ne sont pas là pour informer.
Elles sont des vitrines.
Elles promeuvent des produits, façonnent des opinions, orientent des votes.


/
Il y a une question qui me hante depuis des décennies :

Pourquoi, depuis que j’ai commencé à regarder la télévision, et je parle ici d’une observation constante, jour après jour, pendant plus de cinquante ans, le journal de 20h en France diffuse-t-il systématiquement des images de conflits, d’attentats, ou de tensions à Jérusalem, à Gaza, en Israël ?
Pourquoi tous les jours, depuis un demi-siècle, ce même récit, ce même drame ?
N’y a-t-il rien d’autre intéressant entre ce pays et la France ?
Est-ce que les seules nouvelles importantes du monde se jouent là-bas ?
Ou est-ce qu’il y a autre chose derrière cette répétition mécanique, presque hypnotique ?

La seule réponse plausible que j’ai pu entrevoir est celle-ci :

Entretenir la peur.

Distiller, jour après jour, une forme d’angoisse sourde.
Rappeler en filigrane que le monde est dangereux, instable, menaçant.

Et pourquoi faire cela ?
Parce qu’un peuple anxieux consomme plus facilement.
Parce qu’un individu stressé devient dépendant, de son confort, de son écran, de ses certitudes.
Parce que des masses tenues dans un état de tension chronique deviennent plus dociles, plus obéissantes.

On finit alors par remercier pour le peu qu’on a.
On se contente.
On produit.
On consomme.
Et tout ça, avec le sourire.

C’est une technique subtile mais redoutablement efficace :
La manipulation par la peur.
Et tout cela, orchestré non pas pour informer… mais pour façonner l’être humain selon un programme précis.

Celui qu'ils ont conçu pour nous.

/
J’ai peut-être un avis moins radical que mon père sur ce sujet, car je ramène toujours le contexte à l’individu.
Je pense que ce qui est diffusé sur les écrans n’a pas seulement pour objectif de contrôler, mais avant tout de capter l’attention, et la peur est, de loin, l’émotion la plus efficace pour cela.
Elle active instantanément notre système nerveux, stimule l’amygdale cérébrale et court-circuite la raison.
C’est une émotion primaire, archaïque, qui nous empêche de détourner le regard.

Or, dans une économie où l’attention est devenue la ressource la plus convoitée, les grands groupes médiatiques ne poursuivent qu’un seul but : le profit.
Plus nous restons scotchés devant l’écran, plus nous consommons leurs contenus, et plus la publicité rapporte.
La peur est alors utilisée comme un hameçon, un crochet invisible.

Mais il y a quelque chose d’encore plus insidieux : la peur est addictive. Chaque soir, en recevant notre “dose” de catastrophes et de drames, notre corps sécrète un mélange d’adrénaline et de cortisol.
Le système nerveux s’habitue à ce shoot.
Le lendemain, inconsciemment, nous le recherchons à nouveau.
Comme une dépendance douce, invisible.

Ce cycle d’alimentation par la peur finit par façonner notre perception du monde.
Il nous fait croire que le danger est partout, que la menace est constante. Et plus nous vivons dans cette tension, plus nous cherchons des échappatoires : consommer, se divertir, s’anesthésier.
Exactement ce que les grands groupes attendent de nous.

Alors oui, il y a manipulation, mais elle n’est pas seulement politique ou idéologique, elle est avant tout économique.

Elle joue sur notre biologie la plus profonde, sur cette faille humaine qu’est la fascination pour le danger.
C’est une mécanique puissante, mais que nous pouvons désamorcer si nous reprenons conscience de notre responsabilité : celle de choisir ce que nous laissons entrer dans notre esprit, et de désapprendre à nous nourrir de la peur.

/
Comme vous l’avez compris en lisant ces dernières lignes, notre père nous a toujours appris à surmonter nos peurs.
Les petites, comme la peur des insectes ou celle d’aller demander du sel à la serveuse à six ans, mais aussi les plus grandes : la peur d’entreprendre un projet qui nous tient à cœur, la peur de l’échec, la peur du regard des autres…

Des peurs naturelles quand on grandit, mais qu’il nous a appris à affronter.
Et c’est, sans doute, l’une des plus belles choses qu’il nous ait transmises : apprendre à se détacher de ses peurs, à les observer de l’extérieur, sans qu’elles prennent le contrôle de notre vie.

Fun fact :
La peur et l’excitation activent les mêmes zones du cerveau, comme l’amygdale.
Elles provoquent même des réactions physiques identiques : cœur qui s’accélère, montée d’adrénaline, tension dans le corps.
La seule différence entre les deux, c’est notre interprétation.
Si l’on considère une situation comme une menace, on ressent de la peur. Mais si on la voit comme un défi stimulant, on peut transformer cette même énergie en excitation.

Et c’est ce que notre père nous a appris : à changer notre regard, pour faire de nos peurs des moteurs plutôt que des freins.


Le mensonge sous emballage publicitaire

La manipulation n’est pas toujours brutale.
Elle se glisse dans les détails.
Une boîte vide au packaging soigné.

Un slogan bien trouvé. Une image associée à un rêve.

On vend du sucre et des graisses à des enfants avec des dessins animés.
On vend la liberté avec des cigarettes.
On vend le bonheur avec des marques de luxe.
Et chaque objet devient une promesse.
Mais ces promesses sont creuses.
Elles nourrissent une quête sans fin.
Une dépendance.

Les professionnels du marketing ne vendent pas un produit, ils vendent un manque.
Et la solution à ce manque.
Encore et encore.

Et ceux qui dirigent ces entreprises, ceux qui détiennent les secrets de fabrication, consomment-ils ce qu’ils vendent ?
Bien souvent non.
Ils connaissent la toxicité.
Ils savent ce qu’ils font.
Mais l’essentiel est que la machine tourne.


/
Histoire de casser un peu plus certains mythes bien enracinés dans nos esprits endormis, observons les choses sous un autre angle.

Prenons la marque BMW, par exemple.
Je suis à peu près certain que les dirigeants de la marque roulent fièrement dans les voitures qu’ils produisent.
Et c’est logique.
Ils les connaissent, les apprécient, et peuvent se les procurer à bon prix. C’est cohérent.
C’est leur fierté.

Mais maintenant… imaginez la même logique appliquée à une entreprise comme Philip Morris, Camel ou Marlboro.
Croyez-vous sincèrement que les PDG, directeurs marketing ou cadres de ces géants du tabac fument leurs propres cigarettes, matin et soir, avec enthousiasme ?
Bien sûr que non.
Ils savent très bien ce qu’elles contiennent.
Ils connaissent les ravages.
Ils ne sont pas fous.

Et pourtant, ils les vendent avec une force de persuasion quasi militante.
Publicités léchées, images parfaites, slogans hypnotiques.
On vend le cool, la liberté, la virilité, la sensualité… à travers des poisons.
C’est habile.
Et cynique.

J’ai commencé à fumer à 17 ans à cause de la publicité télévisée Marlboro et le cowboy tellement libre et serein à côté de son feu…

Pire encore, il existe des métiers dont le but est précisément de rendre attrayants ces produits toxiques.
Designer les emballages.
Penser les slogans.
Créer le désir.
Une profession comme une autre ?
Peut-être…

Mais avec quel karma, au bout du compte ?

Et que dire des campagnes sanitaires lors du Covid ?
On a imposé, conseillé, répété, souvent avec une ferveur presque religieuse, l’acte de se faire vacciner.
Mais observons les faits : de nombreux hauts dirigeants ne l’ont pas fait eux-mêmes.
Ceux qui savaient, ceux qui étaient aux premières loges, ont souvent évité de se prêter à l’exercice.
Pour ne pas recevoir dans le sang ces composants discutés, controversés, parfois soupçonnés de contenir de l’oxyde de graphène ?
Ils ne sont pas fous.
Ils ne se mettent pas en danger.

Nos hymnes nationaux

Ahhh, les chansons hurlées par tout un peuple, des millions de gens heureux de chanter leur hymne nationale…
Les chansons représentant l’État, une nation soi-disant unie par son peuple…
Quelle manipulation.
Quelle illusion d’une union !

Prenez l’hymne national français :
Les paroles, chantées à pleins poumons lors des matchs de foot ou du 14 juillet, glorifient la haine de l’autre, la guerre, le sang versé et coulant dans les caniveaux de nos villes.

Refrain :
« Aux armes, citoyens !
Formez vos bataillons !
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur…
Abreuve nos sillons ! »


Ouch… dur à encaisser ça aujourd’hui, non ?

Couplet :
« Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras
Égorger vos fils, vos compagnes… »


Voyons, en 2025 ?
Comment est-ce encore possible ?
N’y a-t-il pas, quelque part, un conseil de « sages » qui se dirait : « OK, on va en trouver une autre, parce qu’on n’est plus au Moyen Âge » ?
Mais non.
Ça reste là.
Ça nourrit encore et toujours la peur et la haine.
Ça galvanise les foules avec des images de sang et de guerre.

On en est encore là ?
Vraiment ?
Et la France n’est pas un cas isolé.

Prenez l’hymne américain : « The Star-Spangled Banner ».
On l’imagine comme une ode à la liberté ?
Écoutez bien :
« And the rockets’ red glare, the bombs bursting in air… »
Des bombes, des fusées, des explosions…
L’apologie de la victoire militaire, des champs de bataille, des drapeaux qui flottent au-dessus des cadavres.

Regardez la Turquie, avec son hymne qui promet aux ennemis qu’ils seront « ensevelis » :
« Laissez rugir la tempête ! Que cette tempête vous ensevelisse ! »

Et que dire de l’Italie ?
« Fratelli d’Italia », le bel hymne qui évoque la soif de combat et l’union sous le drapeau, prêt à verser le sang pour libérer la patrie.
Des mots de feu, des images de mort, partout les mêmes refrains : « combattez », « mourez », « saignez », « vengeons-nous ».

De la Pologne à la Corée du Sud, de l’Algérie à la Russie, rares sont les hymnes qui chantent la paix ou la fraternité universelle.
On se rassure comme on peut : ce n’est qu’un symbole, disent-ils.
Mais que symbolise vraiment un chant qui appelle à tuer l’autre ?
À brandir les armes ?

Peut-être qu’un jour, on écrira un nouvel hymne : pas pour diviser ou haïr, mais pour unir ce qu’il reste de bon en nous.


Les religions : dogmes et soumission

L’histoire des religions est complexe et passionnante.
Au départ, elles furent des quêtes de sens.
Des tentatives sincères de relier l’homme à quelque chose de plus grand.
Mais très vite, elles furent récupérées.

L’Église, par exemple, s’est alliée aux pouvoirs politiques pour contrôler les masses.
Les femmes, les sages, les guérisseurs furent éliminés.
Dire que même les chats furent brûlés une certaine année maudite !
Les livres interdits.
Les paroles transformées.

Les religions ont instauré des rituels de soumission.
Des postures humiliantes.
Des prières qui renforcent le manque plutôt que la plénitude.
Et toujours cette idée que l’homme est pécheur, qu’il doit se repentir, qu’il n’est pas digne.


/
Je ne sais pas vous…
Mais moi qui ai tendance à regarder le monde un peu de travers, ou peut-être simplement plus lucidement que d'autres, j'avoue avoir une drôle d’opinion sur certaines postures que nous imposent les religions.

Allez, rigolons un peu, ça fait du bien.

Prenons un moment solennel dans le christianisme :
celui où l'on s’agenouille pour recevoir l’hostie, la bouche ouverte, la langue sortie…
À la hauteur du bassin du prêtre.
Alors oui, je sais, ce n’est pas très « catholique » de le dire comme ça…
Mais franchement ?
Comment ne pas y voir une image un brin… déplacée ?
Ou peut-être suis-je juste un peu trop coquin, allez savoir…

En tout cas, ça me fait rire, à force d’être aussi énorme.

Et ensuite, on s’étonne des scandales, des abus, des affaires sordides dans les zones d’ombre de certains représentants religieux chrétiens…?

Et les musulmans ?
Autre rituel, autre image.
Toucher le sol du front, plusieurs fois par jour, dans une position où le postérieur devient l’élément central du tableau…
Personne ne trouve ça étrange ?
Sérieusement ?

Non, je ne me moque pas.
Je questionne.

Car quand les gestes rituels deviennent des soumissions corporelles inconscientes, il n’est pas surprenant que des dérives apparaissent.
Et quand on infantilise les corps, quand on impose des postures sans conscience, alors le pouvoir, le vrai, le malsain, se glisse dans les interstices.
Et l’histoire, malheureusement, nous en a déjà fourni trop d'exemples.

La femme, quant à elle, est restée dans l’ombre.
Inexistante ou soumise.
Inaudible.
Grande oubliée des religions… depuis toujours

Depuis des millénaires, et tout particulièrement au cours des deux derniers siècles, les femmes ont été reléguées au second plan dans la plupart des grandes religions.
Non pas parce qu’elles manquaient de sagesse, d’amour ou de profondeur spirituelle, mais parce qu’elles étaient… des femmes.


/
Je pense que plus qu’être reléguées au second plan, les femmes ont été littéralement réduites au silence.
Tuées.
Au sens de taire, mais aussi de tuer.
Parce qu’elles portaient en elles une connexion instinctive au divin, à l’abstrait, à l’inconnu, à l’indompté, bref, au sacré.
Et c’est précisément ce que les religions institutionnalisées ne pouvaient pas tolérer : un lien direct avec le mystère, sans intermédiaire, sans prêtre, sans dogme.

Il existe une histoire que j’aime glisser dans les conversations : saviez-vous que la première femme du jardin d’Eden n’était pas Ève, mais Lilith ?
Une femme libre, sûre d’elle, sensuelle, insoumise.
Elle refusait de se coucher dans la poussière, refusait la domination d’Adam, parce qu’elle se savait son égale.
Mais une femme de ce genre ne pouvait devenir l’archétype proposé à des millions d’autres.
Alors on a effacé Lilith.
On l’a envoyée au démon, on l’a peinte comme sorcière, succube, incarnation du mal.
Puis, on a introduit Ève : douce, docile, aimante, dépendante.
Le modèle parfait pour façonner des générations de femmes disciplinées.

Lilith et Ève coexistent pourtant.
L’une n’est pas plus vraie que l’autre.
Elles sont les deux faces d’un féminin scindé.
Et toute l’histoire religieuse patriarcale n’a été qu’une entreprise pour nous faire oublier Lilith, pour nous faire croire qu’Ève était la seule possible.

Mais voilà : Lilith n’a jamais disparu.
Elle est restée dans les marges, dans les contes, dans les peurs, dans les rêves, dans le désir.
Elle attend que nous la rappelions, que nous réintégrions sa force.

Et peut-être que la véritable réconciliation du sacré passe par là : redonner voix à ce féminin sauvage, sensuel, insoumis, qui n’a jamais cessé d’exister malgré les flammes des bûchers et le poids des dogmes.

Le patriarcat sacré a frappé fort.
Dans le christianisme, par exemple, la femme fut longtemps associée à la tentation (merci Ève), au péché, à l’obéissance.
L’image de Marie, pure et silencieuse, est venue imposer un modèle impossible : être mère sans sexe, aimante sans revendication, sainte sans pouvoir.

Il est bon de rappeler qu’il a fallu attendre… 1944 pour que les femmes aient le droit de vote en France.
Mais savez-vous quand elles ont eu le droit d’être servantes d’autel dans l’Église catholique ? 1994.
Soit cinquante ans après le droit de vote.
Une éternité en jupe longue.

Quant aux femmes prêtres, elles ne sont toujours pas les bienvenues.
Dieu parle, semble-t-il, avec une voix grave exclusivement masculine.

Dans l’islam, les femmes peuvent prier… mais derrière les hommes.
Et dans certaines mosquées, elles sont carrément reléguées dans une pièce à part, derrière une vitre ou un rideau.
On invoque la pudeur, le respect.
Mais dans les faits, c’est surtout l’invisibilité qui est recherchée.

Le Coran, pourtant, contient des versets pleins de sagesse sur le respect mutuel.
Mais l’interprétation des textes par les hommes, toujours les hommes, a souvent été biaisée, instrumentalisée.
Et l’on a vu naître des codes vestimentaires, des interdits, des normes comportementales qui ont confiné la femme à un rôle de gardienne du foyer et de la vertu… en silence.

Dans le judaïsme orthodoxe, même scénario : la Torah n’est lue publiquement que par des hommes.
Les femmes peuvent étudier… mais pas diriger.
Pas dans la synagogue.
Pas dans les textes.
Leur voix est souvent perçue comme source de distraction pendant la prière.
Ah, cette voix féminine… trop sensuelle, trop dangereuse.


/
Et papa, tu as oublié une religion : même dans le bouddhisme, les femmes ne peuvent pas devenir moines, ou du moins, pas dans tous les pays.
Dans certaines traditions, leur ordination complète n’est tout simplement pas reconnue.
C’est quand même fou comme la majorité des religions institutionnelles ont toujours été construites autour de l’homme, de sa place, de son autorité.
Comme si la spiritualité n’était accessible qu’à travers lui.
Je ne parle pas de la foi en elle-même, mais de la manière dont les religions ont été pensées, codifiées, et transmises, toujours par des hommes, pour des hommes.

Mais ne soyons pas trop sérieux.
Voici une anecdote savoureuse :

Dans un couvent, une sœur demande un jour à son supérieur pourquoi Dieu n’a pas appelé de femmes parmi les douze apôtres.
Il lui répond, avec un sourire un peu gêné :
« Parce qu’il fallait que le dernier repas soit prêt à l’heure. »
Rires gênés.
Malaise dans l’assemblée.
Et pourtant, cette blague a été entendue dans de vraies institutions religieuses.
C’est dire si le sexisme peut se faire passer pour de l’humour bon enfant…

Aujourd’hui, bien des femmes restent spirituellement puissantes, mais toujours dans l’ombre.
Elles soignent, elles enseignent, elles prient, elles accompagnent.
Mais elles n’ont que rarement la parole, le micro ou le titre.

La vérité ?

Le sacré n’a pas de sexe.
Mais les religions, elles, ont souvent eu un problème avec le féminin.

Heureusement, le vent tourne.
Lentement, mais sûrement.
Et il est temps que la sagesse féminine retrouve sa place.
Pas à côté.
Pas derrière.
Mais au cœur de la transformation spirituelle qui s’amorce.

Aujourd’hui, il est temps de reprendre le pouvoir sur sa foi.
De réinventer la prière.
Non pas comme une supplication, mais comme une proclamation.
Non pas pour demander, mais pour remercier.
Non pas pour quémander l’abondance, mais pour incarner déjà l’abondance.


/
Allez, encore une anecdote bien croustillante, cette fois sur la religion.

Je me suis marié trois fois.
Oui, trois.
Et chaque mariage a été une étape dans mon éveil… ou mon désendormissement.

Le premier, j’étais encore bien plongé dans le Système.
Le conditionnement classique : mariage à l’église, devant le prêtre, la messe et son sermon soporifique.
Pourquoi ?
Parce que c’était “normal”.
Parce qu’on m’avait appris que c’était comme ça depuis gamin.
Alors j’ai obéi, j’ai suivi la marche.
Résultat ? Ça ne m’a rien apporté.
Rien du tout.

Le deuxième, j’étais un peu moins robotisé.
La conscience commençait à s’ouvrir.
Cette fois, c’était juste à la mairie.
Toujours pour rester dans les clous du Système, dans ses fichiers bien carrés, son petit casier civil.
Une formalité.

Et puis, le troisième… là, j’avais commencé à piger.
Pas d’église, pas de mairie, pas de registres à remplir.
On s’est marié dehors, sous la lune.
Face aux visages rieurs et bienveillants des Dieux invisibles, ceux qui eux ne demandent rien, si ce n’est d’être sincère.

Et là… oui, là, ça avait du sens.
Tout le reste était inutile.

Repenser la prière

Dans les dogmes religieux, on nous apprend à prier selon des formules toutes faites.
Des mots appris par cœur, souvent récités mécaniquement, comme si la répétition elle-même avait une vertu magique.
Mais qu’y a-t-il réellement derrière ces paroles ?
Très souvent, une vibration de manque, de supplication, de dépendance.
Combien de fois entendons-nous des prières comme :

« Seigneur, je souffre, viens à mon secours… »
« Mon Dieu, fais en sorte que je trouve du travail… »
« Je t’en supplie, accorde-moi l’abondance… »


Mais quelle énergie émet-on réellement en priant ainsi ?

Une énergie de vide.
De carence.
De peur.


Or, l’univers, ou ce que certains appellent le champ quantique, ne juge pas.
Il ne filtre pas.
Il amplifie simplement ce qui est émis.
Et si votre prière vibre le manque, alors le manque se renforce.
Si vous priez en vous sentant pauvre, l’univers ne comprend pas vos mots.
Il ressent votre fréquence.
Et il amplifie cette fréquence.

Autrement dit : prier dans le manque, c’est valider et prolonger ce manque.
Et si l’on osait inverser la perspective ?
Et si l’on réapprenait à prier non plus pour demander ce que l’on n’a pas, mais pour incarner ce que l’on souhaite vivre ?

Plutôt que de dire :
« Je prie pour devenir riche »,

pourquoi ne pas énoncer avec puissance :
« Merci pour cette abondance que je vis chaque jour. Merci pour tout ce que je reçois, pour cette énergie de prospérité qui m’habite et me nourrit. Dieu que j’adore ça… »

Ce n’est plus une demande, c’est une affirmation vibratoire.
Ce n’est plus une plainte, c’est une proclamation intérieure.


/
Je crois qu’il est essentiel de rappeler que prier en affirmant l’abondance ne suffit pas si, au fond de nous, une part intime n’y croit pas.
On peut répéter mille fois « je suis riche », mais si une voix intérieure continue de murmurer « je ne mérite pas », alors c’est ce murmure qui vibre dans l’univers.
Avant d’affirmer, il est donc nécessaire de plonger en soi et d’oser se demander : quelle part de moi doute encore de sa valeur ?
Quelle mémoire, quelle blessure me maintient dans la croyance du manque ?

Car c’est souvent là que tout commence : dans ce dialogue intérieur où l’on choisit enfin de reconnaître ses propres blocages.
Non pas pour s’y enfermer, mais pour les illuminer de conscience.

Et puis, la gratitude devient la grande transformatrice.
Remercier pour ce qui est déjà là, c’est cultiver l’énergie de l’avoir plutôt que du manque.
Là où l’attention se pose, la vie s’épanouit.
Lorsque je vois la beauté, même infime, de ce que je possède déjà, je me mets en résonance avec l’abondance.
Lorsque je regarde seulement ce qui me manque, je n’aperçois plus que le vide.

Ainsi, prier ne devrait pas être une supplication tournée vers l’extérieur, mais un rappel intérieur : je mérite, je reçois, je suis déjà porteur de ce que je cherche.

La prière n’est pas qu’un acte mystique.
C’est une émission d’ondes, un signal électromagnétique.

Et ce signal entre en résonance avec les structures invisibles de la réalité.
Il s’agit de comprendre la prière non plus comme une demande à un Dieu extérieur, mais comme un acte créateur dans notre univers intérieur.

Et là encore, les dogmes religieux vous regardent avec méfiance.
Si vous ne priez pas à telle heure, dans telle posture, avec telle tenue, dans tel lieu sacré… vous êtes considérés comme « égaré ».
Mais qui est réellement perdu ?
Celui qui pense par lui-même et expérimente avec conscience ?
Ou celui qui obéit aveuglément à des règles figées depuis des millénaires, parfois absurdes, souvent déconnectées de la réalité actuelle ?

Doit-on vraiment croire que la Source de toute vie est si fragile, si susceptible, qu’elle ne daignerait pas écouter une prière si elle est faite sans se tourner vers l’Est, ou sans avoir lavé ses mains comme prescrit dans un manuel vieux de deux mille ans ?

Doit-on croire que l’Amour universel se fâcherait parce que l’on a porté un vêtement en coton mélangé à du polyester ?
Sérieusement ?

On finit par adorer le rituel, au lieu de ce qu’il est censé incarner.
On prie un Dieu extérieur… alors que tout commence à l’intérieur.
Ceux qui jugent et pointent du doigt ceux qui s’éveillent, ceux qui osent dire « je crée ma réalité » ou « je ressens ma propre vérité »… ne sont pas dans la foi. Ils sont dans la peur de sortir du rang.
Et souvent, ceux qui accusent les autres d’être égarés sont simplement ceux qui n’ont jamais vraiment osé se chercher.


/
Je suis né dans une famille chrétienne.
Ou plutôt… crétine-chrétienne, pour être précis.
Chez nous, l’amour du prochain, l’hospitalité, la charité… c’était surtout dans les livres.
Pas souvent dans l’assiette.
Et sûrement pas dans les regards.

Ma mère nous traînait à l’église – qui, par chance (ou malchance), se trouvait juste à côté de notre immeuble.
Pourquoi ?
Par foi ?
Non, par paraître.
Il fallait bien sauver les apparences, jouer le rôle de la bonne chrétienne devant les voisines, se montrer pieuse entre deux ragots de palier.

Un jour, je me suis même retrouvé affublé d’un pagne de gueux, une bougie à la main, au beau milieu d’une église, pour faire ma “confirmation”.
Confirmer quoi ?
Mystère.
Peut-être ma capacité à avoir honte publiquement, sans poser de questions.

Heureusement, la famille était là.
Pas vraiment pour prier, mais pour se remplir l’estomac à l’œil et picoler à volonté à la maison.
Ambiance très… divine, disons.

À la maison ?
Mon père frappait ma mère, probablement inspiré par l’esprit saint.
Ma mère pleurait – sans doute des larmes de compassion.
Et moi, j’écoutais tout ça depuis mon lit, dans la douleur silencieuse d’un enfant qui découvre le vrai visage de la foi... version domestique.

Des années plus tard, j’ai mis les pieds en Thaïlande.
Et là, boum : choc spirituel.
Le bouddhisme.
L’humilité.
Le sourire.
Le silence.
Le respect.
Des enseignements simples, doux, sans fioritures ni menaces de flammes éternelles.
Une religion sans hurlements.
Sans culpabilité.
Sans spectacle.

Un souffle frais sur mon âme.
Je ne vais même pas m’aventurer à parler du Coran.
Pas pour manquer de respect, mais simplement parce que certaines dérives sont trop visibles pour être ignorées.
Des textes sacrés suivis à la lettre, sans recul, dans une obéissance rigide et… parfois destructrice.
Notamment pour les femmes.
Notamment pour la liberté.
Notamment pour la vie.

Bien sûr, il existe des croyants magnifiques, de toutes les confessions.
Des cœurs purs.
Des âmes élevées.
Des exceptions lumineuses.
À eux, je dis : merci.

Mais entre nous…
Il serait peut-être temps de sortir du moule, non ?
De se poser une vraie question :
Et si je n’étais pas venu sur Terre pour obéir, mais pour vivre libre ?

Parce qu’on peut vivre en esclave, même avec la foi la plus sincère.
Et ce serait un gâchis.
Un immense gâchis.


Sortir des croyances emprisonnantes

La vraie foi ne repose pas sur des textes anciens ou des rites imposés.
Elle naît du cœur.
Elle s’exprime librement.
Elle est relation intime avec l’invisible.
Elle ne craint pas l’hérésie, car elle est vivante.

Croire, ce n’est pas répéter.
C’est ressentir.

Refuser de suivre aveuglément, ce n’est pas blasphémer.
C’est honorer son intelligence.
C’est sortir du troupeau, même si cela coûte la solitude.
C’est choisir d’aimer librement, de penser par soi-même, de chercher par soi-même.


L'état, les impôts : illusion de protection (Où va l'argent du peuple?)

Dès notre premier bulletin de salaire, un pourcentage est prélevé.
On nous dit que cela sert à financer l’éducation, les routes, les hôpitaux, la sécurité.

En somme : le bien commun.
Mais si l’on gratte un peu, que découvre-t-on ?
Une machine bureaucratique gigantesque, complexe, inefficace, où l’argent se dilue dans des circuits opaques, souvent loin de nos préoccupations réelles.

Qui dirige vraiment l'État ?

Les figures visibles du pouvoir sont rarement les véritables décideurs.
Un Président ? Un ministre ?
Ce sont des pions, interchangeables.
Ceux qui détiennent les leviers sont ailleurs : dans les conseils d’administration, dans les « think tanks », dans les hautes sphères financières et bancaires.
Ils ne sont jamais élus.
Ils sont cooptés.

Et à leur sommet, ce sont souvent les mêmes noms, les mêmes familles, les mêmes écoles.

ENA, Sciences Po, HEC (France) : ce ne sont pas des lieux de formation au service du peuple, mais des usines à reproduire le système.
L’entre-soi règne.

La corruption institutionnalisée

Bien sûr, on nous parle de transparence, d’éthique, de contrôles.
Mais comment croire que ces contrôles soient efficaces, quand ceux qui les mettent en place appartiennent eux-mêmes au même réseau ?

Il suffit de regarder les scandales financiers de ces dernières décennies.
Des milliards détournés.
Des marchés publics truqués.
Des contrats signés dans l’opacité.
Et, presque toujours : aucune condamnation réelle.
Au pire, un blâme.
Parfois une nomination… ailleurs.

La dette, un mensonge organisé

Autre mystère : l’État est toujours endetté.
Malgré les impôts colossaux collectés chaque année.
Malgré la productivité croissante.
Pourquoi ?

Parce que les États ne créent plus leur monnaie.
Ils l’empruntent à des banques privées.
Et ces banques facturent des intérêts.
C’est une absurdité, une prison financière organisée.

Un État souverain pourrait créer sa monnaie sans intérêt.
Mais cela est devenu illégal, grâce à des traités signés sans consulter les peuples. La France, par exemple, a perdu ce pouvoir en 1973.
Depuis, la dette s’envole, l’argent du contribuable part rembourser… des intérêts.

Le peuple comme variable d'ajustement

Pendant ce temps, les services publics se dégradent.
Les hôpitaux manquent de personnel.
Les enseignants sont sous-payés.
Les routes tombent en ruine.
Et on nous dit qu’il faut “se serrer la ceinture”, “réformer”, “réduire les dépenses”.
Mais les grandes entreprises, elles, bénéficient de crédits d’impôts.
Certaines ne paient presque rien.
Amazon, Total, Google… ces géants ont des armées de fiscalistes qui contournent légalement les lois.

Ceux qui portent le système sont ceux qui en profitent le moins.

Petite magouille entre amis

Les grands projets d’État ?
Très souvent des cadeaux déguisés à des amis de longue date.
Un ministre de la Santé qui devient consultant pour un laboratoire.
Un ancien président qui rejoint le conseil d’une multinationale.
Un préfet qui “pantoufle” dans le privé.

Rien d’illégal.
Mais tout est immoral.


/
Quand je suis rentrée en école de commerce à 19 ans, c’était un peu par défaut.
Je ne savais pas vraiment où aller, j’étais paumée, influençable.
Et je me souviens très bien de ce qu’on m’a dit à l’époque : « Ici, tu paies pour le réseau.
Pour les contacts.
Pour les gens qui, plus tard, seront bien placés et pourront t’ouvrir des portes. »

Autrement dit, on ne venait pas apprendre à penser, à créer, à servir le monde.
On achetait une place dans un cercle fermé.
Une promesse de piston, de cooptation, de coups de fil qui remplacent les compétences.

Avec le recul, je trouve ça glaçant.
Parce que c’est exactement le reflet de ce qui se passe à l’échelle de l’État : une élite qui se serre les coudes, se reproduit entre elle, et verrouille le système.
On nous fait croire à la méritocratie, mais en réalité, ce qui compte ce n’est pas ce que tu sais faire, c’est qui tu connais.

Et tant que ce modèle-là persiste, l’illusion de l’égalité restera une jolie vitrine pour cacher les petites magouilles entre amis.

J’y ai passé 6 mois avant de décider de partir voyager.

/
Et c’est là que tu t’es vraiment révélée…
Et réveillée.

Je t’ai vu grandir, devenir ado, te perdre dans des facettes de toi-même, poussée par des amies qui se cherchaient aussi elle-même, rentrer dans le moule des études supérieures, et j’étais fier car tu étais vraiment douée dans tes études.

Et quand tu m’as annoncé que tu voulais stopper tes études dans lesquelles tu brillais, tout de suite, je n’ai pas compris.
Mais en tant que voyageur moi-même, je n’ai vu aucun inconvénient à ce que tu partes découvrir le monde.

Du coup, c’est vraiment le meilleur conseil que je donne maintenant à des parents qui ont des ados et qui cherchent une voie pour eux !
Qu’ils partent à l’aventure… d’eux-même !

Car ma grande fierté est ce que vous devenez, mes amours, depuis que vous êtes sur votre propre chemin lumineux !

À qui profite le crime

Posez-vous toujours la même question : “Qui gagne ?”.

Lorsqu’une décision est prise, lorsqu’une loi est votée, lorsqu’un décret est signé… cherchez à qui cela profite.
La réponse vous mènera souvent vers les mêmes cercles.

L'argent comme outil de contrôle

Ce n’est plus un secret : l’argent est devenu un moyen de contrôler les masses.

Moins tu en as, plus tu dépends du système.
Moins tu en as, plus tu dois t’aligner sur les règles.
Et plus tu en as, plus tu peux t’en affranchir.

L'éveil populaire, une menace pour l'élite

Ce que redoutent les élites, ce n’est pas la violence.
Ce n’est pas la révolte.

C’est l’éveil.

Quand le peuple commence à poser les bonnes questions.
Quand les citoyens arrêtent de croire naïvement à ce qu’on leur sert chaque soir au JT.
Quand ils commencent à se regrouper, à mutualiser leurs ressources, à créer leurs propres modèles économiques.

Là, ça fait peur.


Comment reprendre le pouvoir

  • En se réappropriant son pouvoir d’achat localement.
  • En refusant certains produits, certaines marques, certaines banques.
  • En favorisant le troc, l’échange, les circuits courts.
  • En développant une économie parallèle, éthique, consciente.
  • En s’informant autrement.
  • En apprenant à lire entre les lignes.
  • En osant poser la question : "Et si je me libérais de tout ça ?"

La souveraineté intérieure comme ultime résistance

Le but n’est pas la révolte. Ce serait un piège.
Le but est la souveraineté.
Intérieure, d’abord.
Refuser de vivre dans la peur.
Refuser de croire que “c’est comme ça”.
Refuser de se soumettre au chantage économique.


Être souverain, c'est :
  • Choisir ce que l’on consomme.
  • Choisir ce que l’on soutient.
  • Choisir à quoi l’on donne son énergie, son attention, son temps.


/
Rien qu’en lisant ça, je ressens déjà un apaisement.
Plus besoin de couper la tête au roi : ce ne serait que le remplacer par un autre, pris dans les mêmes travers.
La véritable révolution est intérieure.
Elle ne se joue pas contre un ennemi extérieur, mais pour soi, pour sa liberté, pour sa souveraineté intime.

Devenir conscient de son attention et de ses intentions, c’est là que réside le vrai pouvoir.
Car à l’échelle du grand échiquier, le pion qui sait où il se place, qui sait pourquoi il avance, n’est plus manipulable.
Et encore une fois, il ne s’agit pas d’être en guerre contre “l’élite”, comme aime le dire mon père.
Mais de choisir, chaque jour, de reprendre ses rênes : sur ce que je consomme, sur ce que je soutiens, sur là où je mets mon énergie.

C’est un combat silencieux, mais redoutablement puissant : celui de refuser l’asservissement en incarnant déjà sa propre liberté.


Réinventer la contribution

Plutôt que de financer un système opaque, pourquoi ne pas contribuer directement à la vie locale, à l’humanité réelle ?
Laisser un billet à la femme de chambre.
Offrir un pourboire généreux à un serveur.
Aider un commerçant de quartier.

Ces gestes simples redonnent un sens à l’échange.
Ils restaurent la justice directe.
Ils reconnectent à l’essentiel : l’humain.


/
Je n’ai jamais vraiment cru à la manière dont l’État gère l’argent qu’il prélève.
Les impôts, nous dit-on, servent à financer les écoles, les hôpitaux, les routes, les services d’urgence, le tissu de la société en somme.
Et sur le papier, cette idée tient debout.
Mais dans la réalité ?
C’est une tout autre histoire.

Trop souvent, cet argent atterrit dans des projets absurdes, des travaux aux coûts astronomiques mal gérés, des salaires de hauts fonctionnaires déconnectés de toute utilité concrète, ou encore dans les budgets militaires.

Ah oui, l’armée.
Des milliards pour perfectionner des engins de mort, pour améliorer la précision d’un missile ou la létalité d’un drone.
Est-ce vraiment cela, le progrès ?
Investir notre sueur, notre énergie, notre contribution dans l'art de mieux tuer ?

What the fuck ?!

Alors à mon échelle, j’ai choisi un autre mode de redistribution.
Plus direct.
Plus humain.
Là où je vais, je laisse toujours un billet qui, en général, fait du bien à quelqu’un.

Dans un hôtel, je ne pars jamais sans en avoir laissé un bien visible sur le lit.
Ce n’est pas un geste anodin : il est pour cette femme invisible, silencieuse, qui nettoie des dizaines de chambres par jour sans jamais être remerciée.
Dans les restaurants, c’est pareil. Je pense aux serveuses, à leurs longues journées, à leurs faux sourires pour de vrais clients parfois désagréables. Elles méritent bien plus que ce que leur patron leur verse.
Alors je laisse.
Et je souris intérieurement.
Toujours un pourboire, ou donner plus.

Pour moi, ces gestes sont politiques.
Ce ne sont pas de simples pourboires : ce sont des actes de redistribution consciente.
Des actes de confiance envers les petites mains, envers ceux qu’on ne voit jamais dans les discours politiques mais qui font tourner le monde.

Je préfère donner à celles et ceux qui travaillent avec leur cœur et leurs bras, plutôt qu’à des structures lointaines, inefficaces, parfois corrompues, souvent aveugles à la réalité du terrain.

Je sais, on me dira qu’il faut bien financer les infrastructures, les routes, les écoles.
Mais soyons honnêtes : que reste-t-il de ces promesses dans un monde où les autoroutes sont privatisées, où les hôpitaux manquent de lits, et où l’école devient un désert de moyens ?

Ce que je donne, je veux qu’il serve ici et maintenant, à une personne réelle, avec un prénom, un visage, une histoire.
Et quelque part, je crois que c’est ça, être citoyen :
Pas seulement suivre aveuglément un système, mais choisir délibérément à qui l’on confie notre énergie.


L'énergie de l'argent

L’argent n’est pas une fin en soi.
Ce ne sont que des morceaux de papier imprimés ou des chiffres sur un écran. Leur valeur ne réside pas dans l’objet, mais dans l’énergie qu’ils représentent et dans ce qu’ils permettent de réaliser.
En réalité, ce qui procure de la satisfaction n’est pas le billet en lui-même, mais l’expérience ou la possibilité qu’il ouvre : se nourrir, voyager, créer un projet, offrir un cadeau.

L’argent comme énergie fluide

L’argent est avant tout une énergie.
Comme toute énergie, il doit circuler.
Lorsqu’il stagne, il perd de sa force.
Lorsque l’on bloque sa circulation par peur ou par excès de contrôle, il devient source de tension et non de croissance.

On connaît tous des personnes très économes, parfois jusqu’à l’extrême.
Genre “cactus dans la poche”, ouille… ça fait mal quand ils y mettent la main.
Leur argent reste “immobile”.
Mais ce blocage ne crée pas plus d’abondance, au contraire.
Une énergie trop tendue, comme un élastique trop serré, finit par se rompre ou par ne rien produire.

Donner et recevoir

L’équilibre se trouve dans la circulation : aimer donner, aimer recevoir.
Lorsque l’argent est investi, partagé ou utilisé avec conscience, il génère un mouvement qui revient sous une autre forme.
Plus l’énergie circule, plus elle crée de nouvelles opportunités.

Cette idée est ancienne et partagée par de nombreuses traditions spirituelles et religieuses.

  • Dans le bouddhisme, il est conseillé de donner une part de ses revenus (souvent 10 %) en offrande ou en soutien à la communauté.
  • Dans l’islam, la zakat, pilier de la foi, prescrit de faire circuler une partie de ses richesses au profit des plus démunis. L’argent ne doit pas stagner sur le compte en banque.
  • Dans le judaïsme, la tsedaka insiste sur l’importance du don comme acte juste et équilibrant.
  • Dans le christianisme, la notion de dîme incite également à redistribuer une part de ses biens.

Toutes ces traditions convergent : l’argent n’est pas fait pour dormir.
Il doit passer de main en main, activer d’autres projets, soutenir d’autres vies, faire circuler l’énergie créatrice.

L’illusion du “compte en banque”

Focaliser uniquement sur le montant stocké sur son compte bancaire est une illusion.
Ce blocage entretient la peur du manque et limite la capacité à recevoir davantage.
L’abondance n’est pas une accumulation statique, mais un flux dynamique.

Celui qui comprend que l’argent est énergie, et qu’il doit être utilisé avec fluidité, ouvre la voie à plus d’harmonie et de prospérité dans sa vie personnelle comme professionnelle.


/
Expérience personnelle sur ce sujet:

J’ai vendu ma voiture à un gars, il y a quelques années.
Comme je suis un type sympa (trop, parfois), j’ai accepté qu’il me paie en plusieurs mensualités. Deux ans.

Sauf qu’au bout de quatre ans… le compte n’était toujours pas soldé.
Il me devait encore des bouts de mensualités.
À chaque fois que je lui demandais ce qui coinçait, il me sortait le refrain habituel :
“Le business est dur, j’ai pas de chance, attends encore un peu…”

Et moi, j’écoutais, mi-poli, mi-agacé.
Mais devinez quoi ?
Bien sûr que ça ne va pas pour lui financièrement.
Comment ça pourrait aller ?

Il peine mentalement et émotionnellement à me rembourser ce qu’il me doit.
Son énergie est bloquée.
Son rapport à l’argent est crispé.
Alors… comment voulez-vous que l’Univers, dans sa grande générosité, lui envoie des tonnes d’abondance ?
Ça ne marche pas comme ça.

/
Allez, une autre croustillante :

Un de mes amis tient un restaurant.
Depuis que je le connais, jamais il ne m’a offert quoi que ce soit.
Jamais.

J’ai dû manger cinquante fois chez lui, on est devenus potes, et pas une seule fois un petit geste sympa, genre :
« Tiens mon ami, ce pastis est pour moi ! »
Rien. Nada. Zéro.

Par contre, à chaque repas, il insiste lourdement pour que je prenne une entrée ou un dessert.
Même quand je lui dis que je n’ai pas faim.
Là, ça commence à être chelou, non ?

Un jour, il me sort fièrement qu’il aime avant tout… « gagner ».
Gagner des clients, des tables, des couverts, des grosses additions.

Moi, perso, je crois surtout qu’il aime par-dessus tout… l’argent.
Et qu’il est profondément grippe-sous.
Le pingre de compétition.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là.
Le plus croustillant arrive...

Il me raconte qu’il a beaucoup d’argent, dans plusieurs banques en Europe.
Des millions, soi-disant.
Sauf que voilà : impossible de les retirer.
Les banques lui trouvent toujours des excuses bidon pour bloquer ses virements.
Bref, ses millions sont coincés.

Et là… vous voyez le truc venir ?
C’est tellement drôle.
Et tellement puissant.

Le mec est tellement tendu sur chaque billet qui rentre dans sa poche, tellement crispé énergétiquement sur son besoin de garder, d’amasser, qu’il a bloqué son propre flux.
Résultat : son argent, ailleurs, est bloqué aussi.

C’est mécanique. Cosmique. Vibratoire.
Il suffit qu’il détende un peu son élastique — tendu à bloc — pour que tout se décoince.
Mais ça, évidemment, je ne peux pas lui dire.
Il ne comprendrait pas.
Et en plus, ça viendrait taper trop fort dans son schéma de « pingre ».
Et ça, il ne va pas aimer !

Conclusion : désobéir pour vivre libre

Sortir du système, c’est d’abord sortir de l’hypnose.
C’est oser regarder la réalité en face, sans filtre.
C’est prendre conscience de ses conditionnements.
Et ensuite, choisir autrement.

Cela ne demande pas d’aller vivre en ermite, mais d’agir avec lucidité.
De consommer autrement.
De croire autrement.
De s’informer autrement.

Ce chapitre n’a pas pour but de convaincre, mais d’éveiller.
De secouer.
De rappeler que chacun est responsable de sa conscience.
Et que tant que l’ignorance est choisie, la soumission est volontaire.

Le réveil est douloureux, mais il est vital.
C’est le seul chemin vers la souveraineté intérieure.


/
By the way…
Tu regardes encore la télé ?
Alors, il est vraiment temps d’arrêter !

Pourquoi continuer à boire ce bouillon toxique de peur, d’angoisses, de mauvaises nouvelles, soigneusement orchestré pour t’abaisser, t’anesthésier et te maintenir bien docile ?

Mieux vaut choisir toi-même ce que tu veux mettre dans ton esprit, non ?

YouTube, un bon film, un documentaire inspirant, du sport…
Même des vidéos débiles où tu rigoles bêtement « hi hi hi, ha ha ha » valent mieux que cette perfusion constante de négativité que les chaînes d’info balancent jour et nuit.

Alors hop, on coupe les chaînes étatiques, les talk-shows sans âme, les émissions stupides pour robots, et on se crée un nouveau conditionnement.
Mais cette fois-ci : un conditionnement choisi.
Le tien.

/
Récemment, j’ai passé du temps dans une famille où la coutume veut que l’on regarde le Journal Télévisé à l’heure des repas.
Et je n’ai pu m’empêcher de réfléchir à toutes ces heures perdues à écouter ce qu’il “se passe ailleurs”, plutôt qu’à être pleinement présent ici.

Le JT donne l’illusion d’avoir un œil partout, de faire partie d’un tout, de garder une forme de contrôle parce que l’on “sait”.
Mais en réalité, ce que l’on consomme, ce sont des récits vides de sens, calibrés, répétés, aseptisés.
C’est une consommation passive, qui remplit le vide mais n’élève pas l’esprit.

Alors qu’à cette même table, il y avait une richesse infiniment plus précieuse : les histoires intimes, les questions profondes, les émotions vraies de ceux qui étaient là, vivants, tangibles.
Et pourtant, elles restaient dans l’ombre du bruit médiatique.

Je crois que c’est cela, l’éveil : détourner son attention de l’écran vers l’humain.
Choisir de nourrir des échanges vrais plutôt que des récits imposés.
Oser se questionner non pas sur ce que “le monde” veut nous montrer, mais sur ce qui a une valeur réelle, ici et maintenant, dans la vie des gens que l’on peut toucher, aimer, impacter directement.

C’est peut-être là le geste le plus révolutionnaire : remplacer la consommation passive d’informations par la consommation consciente de présence.



── ⋆⋅☆⋅⋆ ── ⋆⋅☆⋅⋆ ── ── ⋆⋅☆⋅⋆ ── ── ⋆⋅☆⋅⋆

Prenez le temps.

Vraiment.


Ces mots, ces idées, ces vérités parfois dérangeantes, ne cherchent pas à être consommées comme un fast-food spirituel.
Laissez-les reposer.

Comme une pâte qui lève doucement.
Comme un vin qui mûrit dans le silence d’une cave.

Ne tentez pas d’absorber tout d’un bloc.
Ce livre n’est pas un exercice de compréhension mentale, mais un chemin d’alignement intérieur.

Offrez à votre esprit l’espace nécessaire.
Offrez à votre cœur la patience qu’il mérite.
Laissez faire.
Laissez infuser.

Et si ce que vous venez de lire a résonné, même légèrement, même sans mot pour l’expliquer…
Alors c’est que vous êtes déjà en chemin.

Rappelez-vous :
Un changement profond ne s’impose pas, il se laisse vivre.
Laissez le soufflé retomber.

Hydratez-vous.
Marchez.
Rêvez.
Dormez.
Puis revenez quand votre âme vous y invitera.




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