Le vrai soi
Comment savoir si tu es sur ton vrai chemin ?
Le tien.
Celui que ton âme avait coché là-haut, avant de plonger dans ce corps qui, franchement, a pas trop mal vieilli.
La réponse ?
Elle tient en un mot : joie.
Oui, la joie.
Pas la joie calme et posée façon moine zen, non.
Je parle de celle qui te fait frétiller les tripes, qui te donne envie de danser dans ta cuisine à 7h du mat, qui te fait oublier l’heure, la faim, et même ton ex.
Ce qui te passionne.
Ce qui t’excite.
Ce qui fait briller tes yeux, active tous tes sens, et te fait te sentir vivant.
C’est ça ton chemin.
C’est là que ton âme t’attend.
Et parfois, ce sont même les projets les plus fous qui t’y ramènent.
Je le dis souvent, parce que je l’ai vécu vingt fois : les Cieux aiment les auda-cieux.
Quand tu te lâches, quand tu crées sans te soucier du “qu’en dira-t-on”, c’est comme si l’univers lui-même tirait les rideaux et t’ouvrait une autoroute cosmique.
Feu vert.
Tout passe.
Tout glisse.
Tout s’aligne.
Tu veux un signe ?
Le voici.
Quand c’est fluide, quand ça pétille, quand ça t’éclate : tu es au bon endroit.
Point.
SIMPLE, FLUIDE, FACILE.
Tels sont les signes que tu peux foncer, que tu es sur ta voie.
Et cette fameuse phrase : “Retrouver son âme d’enfant”…
On l’a tous entendue, hein.
Mais si c’était ça, justement, la sagesse ultime ?
Revenir à cette version de toi qui n’a pas peur, qui ose, qui rit sans se demander si c’est “approprié”…
Cette version de toi pure, vivante, indomptée.
Peut-être que vieillir, au fond, c’est pas devenir raisonnable.
C’est redevenir magique.
Agir avec intégrité
Agir avec la plus grande joie que l’on peut donner dans ce que l’on fait.
Et surtout, absolument ne rien attendre, aucun retour de quoi que ce soit sur ce que l’on fait.
C’est la clé.
Retrouver sa jeunesse
Et si le but ultime de la maturité… c’était de retrouver notre jeunesse ?
Pas celle des muscles fermes et de la peau lisse, mais celle de l’enfant libre, curieux, joyeux, pleinement ouvert à la vie.
On nous a vendu l’idée qu’il fallait « vieillir avec quelqu’un », comme si c’était un objectif en soi.
En réalité, cette image rassurante, deux vieux sur un banc qui se tiennent la main en attendant la fin, vient surtout de la peur.
La peur de finir seul.
La peur de la chaise vide.
La peur d’une mort froide et silencieuse.
Cette croyance est un produit du Système, qui nous conditionne à voir la vieillesse comme un déclin à gérer plutôt qu’une joie à cultiver.
Pourtant, si l’on retrouve cette joie retrouvée, celle qui jaillit quand nos sens sont à nouveau ouverts, que l’on goûte la vie sans se retenir, alors la fin de vie devient autre chose.
Elle devient un espace où l’on peut vivre encore, créer encore, rire encore… aimer encore.
Trop souvent, on imagine notre vieillesse avec un corps usé, souffrant, attendant la faucheuse.
Et il est vrai que beaucoup finissent ainsi : écrasés par le poids de leurs peurs, leurs désirs jamais assouvis, leurs rêves non réalisés, et une vie formatée par les attentes des autres.
Moi, je propose autre chose.
Une fin de vie lumineuse, avec l’Univers circulant toujours en nous, continuant à déposer des envies, des projets, des rencontres, des gens brillants sur notre chemin.
Et que notre compagne ou compagnon soit dans la même énergie.
Le but de la fin de vie ?
Marcher ensemble vers la lumière finale avec la plus grande légèreté possible.
Sans lourdeur, sans regrets… et avec ce même éclat dans les yeux qu’on avait enfant, mais en mieux : enrichi par toute une vie d’expériences.
Se débarrasser des émotions qu’on croit “saines”
On croit parfois briller.
Succès, reconnaissance, argent, notoriété…
Ça fait du bien à l’égo, ça gonfle le cœur, on se sent porté.
Mais attention : ces émotions, qu’on croit positives, peuvent être de sacrés pièges.
Elles nourrissent l’orgueil, flattent un égo en manque d’amour, entretiennent un besoin de paraître.
Et là, ce n’est plus une réussite… mais une illusion.
C’est ainsi que des gens talentueux deviennent des gourous mégalos, des dictateurs déguisés en sauveurs.
La lumière qu’ils projettent finit par aveugler au lieu d’éclairer.
À l’inverse, tomber dans l’échec, se retrouver anonyme, broyé par la vie, ce n’est pas mieux.
C’est un autre piège, mais du côté obscur : on se laisse aspirer par la loose, et on se convainc que c’est notre place.
La vérité ?
Ni l’un ni l’autre n’est “sain” en soi.
La vraie liberté, c’est de le savoir.
De rester debout au milieu, conscient, sans se laisser embarquer ni par l’illusion du succès, ni par le gouffre de l’échec.
Être libre, c’est briller pour de vrai… pas pour remplir un vide.
Rêver sa vie, et vivre ses rêves
On l’a tous entendu mille fois, cette phrase un peu cliché : « Il faut vivre ses rêves. ».
Sauf que, soyons honnêtes… Combien le font vraiment ?
Combien osent s’arrêter, se poser, fermer les yeux et se demander :
« Et moi, c’est quoi ma vraie vie rêvée ? »
Pas celle que tu crois devoir vivre.
Pas celle que la société ou tes parents voulaient pour toi.
La tienne.
Ta version libre, dingue, inspirée.
Parce qu’au fond, rêver, c’est pas fuir la réalité.
C’est l’inventer avant qu’elle n’existe.
C’est semer des graines dans l’invisible, et leur faire confiance.
C’est créer un plan vibratoire qui finira, tôt ou tard, par descendre dans la matière… si tu le laisses descendre.
Et attention : y’a une différence entre rêver sa vie, en mode canapé Netflix, et vivre ses rêves pour de bon.
La vraie magie, c’est de transformer un rêve en plan d’action.
En petites décisions alignées.
En prises de risques.
En sauts de foi.
En fous rires.
En sueur.
En doutes parfois.
Mais surtout : en joie d’avancer.
Quand j’ai commencé à vivre mes rêves, les vrais, pas les beaux PowerPoints, j’ai compris un truc :
L’univers, il t’aide quand tu te bouges.
Il adore te surprendre.
Mais surtout… il attend que tu avances, que tu fasses le premier pas !
Rêver ta vie, c’est poser la vision.
Vivre tes rêves, c’est marcher vers elle.
Même pieds nus.
Même dans le noir.
Même avec un peu la trouille au ventre.
Et tu ne peux compter que sur toi !

La vie est un mouvement constant, une succession de cycles qui invitent à recommencer, à transformer, à créer encore.
Que ces mots puissent vous rappeler que chacun porte en lui la force d’avancer, de se réinventer, de trouver sa propre lumière.
Ce n’est donc pas une conclusion, mais un commencement.
Une invitation à poursuivre, à écrire la suite — non pas seulement dans des pages, mais dans votre réalité.
Vivre léger, retrouver notre enfant intérieur
Et si la vieillesse, ce n’était pas le poids des années,
mais l’allègement de tout ce qu’on traîne depuis trop longtemps ?
Redevenir un enfant, ce n’est pas régresser.
C’est le vrai but de la maturité : avoir fait le tour, avoir compris son incarnation, digéré ses erreurs, ses chutes, ses conditionnements, et s’être enfin délesté du besoin de plaire, de réussir, de prouver.
On réalise alors que le but de la Vie n’est pas d’être un bon soldat, un esclave performant ou un robot discipliné.
Non.
Le but, c’est d’être libre.
Joyeux.
Créatif.
Vivant.
Alors on rit à nouveau.
On rêve à nouveau.
L’air est léger.
On s’étonne, on s’amuse, on sourit dans la rue pour rien.
Comme un môme.
Et on commence à se foutre royalement de ce que pensent les autres.
Mais attention, on ne redevient pas naïf.
On est un enfant… qui a compris.

Mon corps fin, longiligne, presque fragile…
Moi je voulais juste être fort, et qu’on me respecte.
Mais j’étais un rêveur dans un corps de danseur, et je ne le savais pas encore.
Il m’aura fallu du temps pour m’aimer comme j’étais.
20 ans.
Et c’est ça, redevenir un enfant : s’aimer sans filtre, sans condition, dans la joie d’être.
Alors, pourquoi ne pas rêver à nouveau ?
Rêver votre vie.
Et vivre vos rêves.
Parce qu’au fond, les “grands” qui rayonnent sont souvent ceux qui ont su rester des enfants.

Je pense à toutes les différentes versions de moi, avec leurs désirs, leurs rêves, leurs joies propres.
Au fil des années, j’ai dû retourner les voir, une par une : parfois pour les réconforter, parfois pour les cadrer, parfois simplement pour les écouter. Et peu à peu, de ces fragments éparpillés s’est créé un tout : une cohérence, une unité.
Aujourd’hui, mon enfant intérieur n’est plus une blessure à soigner, mais une présence qui me guide.
Je me sens connectée à la version de moi qu’elle rêvait de devenir dans ses projections les plus folles.
Ca… c’est une de mes plus grandes fiertés : avoir su honorer ses rêves, lui prouver que la vie qu’elle imaginait n’était pas une utopie, mais un chemin possible.
SIM-PLI-CI-TE
Un autre Maître mot
Soyez, restez simple !
Le vrai bonheur est lié à la simplicité.
Les gens simples vous mettent à l’aise.
Un luxe que tout le monde peut s’offrir.
Moins de choses, plus d’espace.
Un projet simple démarre plus vite.
La simplicité n’a rien à cacher, vous êtes donc léger.
Simple ne veut pas dire banal, ça veut dire vrai.
Ne plus s'empêcher de briller
C’est un classique.
Et tellement vrai.
Nelson Mandela l’a dit en sortant de prison :
“Vous ne devez pas vous empêcher de briller par peur de faire de l’ombre aux autres.”
Pendant longtemps, j’ai cru qu’il fallait se faire petit, modeste, discret.
Pas trop briller, pas trop rayonner, histoire de ne gêner personne.
Comme mes parents, quoi…
Mais à force de baisser la tête, on finit par oublier qu’on a une lumière.
Et qu’elle est là pour éclairer notre propre chemin.
Oui, parfois, si vous brillez trop fort, ça peut déranger.
Comme ces immenses arbres en Afrique, majestueux, au tronc large et imposant.
Rien ne pousse sous eux.
Leur ombre empêche les autres plantes de capter le soleil.
Mais est-ce la faute de l’arbre, ou celle de ceux qui s’installent trop près de son tronc ?
Brillez.
Pour vous.
Pas pour plaire, ni pour dominer.
Brillez parce que c’est naturel, parce que c’est votre énergie.
Brillez avec douceur, avec vérité, avec humilité.
Sans chercher à éblouir, mais simplement à rayonner ce que vous êtes.
Parce qu’en vérité…
le monde a besoin de lumière.
Pas de gens qui s’en cachent.

Jusqu’à la quarantaine, j’ai eu peur de me séparer du groupe, de perdre pied en quittant ce que je connaissais.
Rester « comme les autres » me semblait plus sûr que d’être pleinement moi.
Être différent isolé.
Quand on pense ou agit autrement, certains vous rejettent sans le vouloir.
J'en souffrais.
Je ressens beaucoup : les gens, les lieux, les mouvements invisibles.
Entrer dans un restaurant, c’était parfois trop.
Tous ces gens…
Toute ces énergies à emmagasiner, encaisser…
Alors j’ai commencé à éviter, à sortir moins.
La nature, elle, ne triche pas : elle accueille sans masque et ne déçoit pas.
Avec le temps, une distance s’est créée — avec les autres, et avec moi-même.
Cette distance n’existait que parce que je refusais de briller, par peur du regard, par peur d’être bien dans cet état-là.
Le jour où j’ai accepté ma sensibilité et ma différence, quelque chose s’est relâché.
J’ai cessé de lutter contre ce que je suis.
Et, doucement, tout est devenu plus simple : je peux être moi, sans m’excuser, et laisser ma lumière faire son travail.
Se protéger des énergies négatives et du bas astral
Dans le domaine spirituel, il existe de nombreux témoignages sur l’existence de plans plus subtils que notre réalité physique.
Parmi eux, ce que l’on appelle le bas astral : des dimensions plus denses où évoluent des formes d’énergie ou d’entités se nourrissant des émotions basses – peur, colère, jalousie, rancune, pulsions malsaines…
Le témoignage de Marc Auburn
À ce sujet, il est intéressant de mentionner le travail de Marc Auburn (à voir/lire sur Internet), figure incontournable pour qui s’intéresse aux voyages astraux.
Depuis son enfance, il vit des expériences de décorporation spontanées et a exploré à de nombreuses reprises ces autres dimensions.
Sur sa chaîne Tiktok, , il partage ses observations et explique avec clarté ce qu’il a pu voir et comprendre.
D’après ses récits, certaines entités du bas astral se nourrissent de nos énergies négatives. Lorsqu’une personne manipule, agit de façon malsaine ou entretient la rancune, elle produit une énergie que ces entités recherchent. Elles peuvent même, selon lui, inciter subtilement les individus à répéter ces comportements, afin de continuer à se nourrir de cette vibration.
Cette idée rejoint des traditions anciennes : les Esséniens, par exemple, parlaient de formes-pensées, de véritables parasites énergétiques qui s’accrochent à nos corps subtils et influencent nos émotions ou nos comportements sans que nous en ayons conscience.
Une méthode simple de protection
Heureusement, il existe des moyens accessibles pour se protéger de ces influences.
Une pratique simple consiste à visualiser une bulle de lumière autour de soi. Imaginez une sphère protectrice, comme une cloche de cristal (ou à fromage) entourant votre corps, empêchant toute intrusion d’énergies indésirables.
Visualisez cette bulle comme vous le souhaitez : cristalline, dorée, blanche, lumineuse, scintillante…
Grande comme vous le voulez.
3m autour de vous, 5m, à vous de voir…
Ressentez qu’elle agit comme une barrière infranchissable.
Ce qui voudrait y entrer ricoche simplement dessus.
Aucune énergie négative ne peut y entrer.
Un vrai bouclier énergétique protecteur, comme on le voit parfois dans des films de science-fiction au-dessus de villes.
Plus vous la renforcez par la pratique régulière, plus ce bouclier deviendra inviolable.
Au restaurant, en voiture, durant votre sieste ou votre sommeil, au boulot…
Toujours la cloche autour de vous.
Et plus protégé(e) vous serez.
Reprendre son pouvoir intérieur
Se protéger, ce n’est pas seulement se couper des énergies négatives, c’est aussi reprendre la maîtrise de son espace intérieur.
C’est choisir consciemment quelles énergies nous laissons entrer dans notre champ de conscience et quelles influences nous décidons de repousser.
La clé est simple : vigilance, clarté et confiance en votre pouvoir de création.
Porter des couleurs
Je ne le dirai jamais assez : les couleurs sont des vibrations.
Littéralement.
Chaque couleur possède une longueur d’onde spécifique, et c’est cette onde qui influe sur notre énergie, notre humeur et même nos interactions sociales.
La colorimétrie, discipline qui étudie la perception et la mesure des couleurs, démontre que notre œil capte ces ondes lumineuses et les traduit en signaux nerveux.
Ces signaux influencent alors notre système limbique, centre de nos émotions dans le cerveau.
Ce n’est pas un hasard si certaines couleurs nous apaisent, d’autres nous excitent ou nous dynamisent.
Du côté de la colorithérapie, une approche holistique issue de la naturopathie, on utilise ces mêmes propriétés vibratoires pour réharmoniser le corps et l’esprit :
- Le vert : couleur de l’équilibre et de l’harmonie. Il est utilisé pour calmer les émotions et réduire le stress. Portez du vert, et vous apporterez un sentiment de paix autour de vous.
- Le rouge : puissant activateur d’énergie. Il stimule la circulation, réveille la motivation, donne confiance. Un vêtement rouge, et tout votre champ magnétique s’intensifie.
- Le jaune : stimule le mental, favorise la clarté d’esprit et la communication. Il attire le regard, éveille la curiosité, rend plus solaire.
- Le rose : douceur et amour inconditionnel. Il renforce l’estime de soi, ouvre à la tendresse, guérit les blessures émotionnelles.
- Le bleu : symbole de vérité, de calme intérieur. Il ralentit le rythme cardiaque, régule la tension, apaise les peurs et favorise la communication sincère.
- Le blanc : pureté, clarté mentale. Couleur des commencements et de la paix intérieure.
- Le violet : enracinement et autorité. Ils renforcent la structure, la volonté, la présence.
Chaque jour, lorsque vous ouvrez votre dressing, c’est un dialogue silencieux avec vous-même.
Vous choisissez non seulement un style, mais une fréquence vibratoire.
Vous vous sentez puissant ?
Vous irez vers des teintes fortes.
Fatigué ?
Les tons doux vous appelleront.
En pleine négociation ?
Le bleu nuit, symbole de confiance et de communication, sera votre allié.
Et si vous commenciez à écouter les messages des couleurs autant que ceux de votre intuition ?
Vous verrez alors que vos vêtements ne seront plus de simples tissus, mais de véritables extensions énergétiques de votre état intérieur.
✦ Le ROUGE
- Emotion
- Énergie, passion
- Effets
- Stimule le cœur, la circulation, la vitalité
- A utiliser
- Jour de challenge, de leadership
✦ Le JAUNE
- Emotion
- Joie, clarté mentale
- Effets
- Éveille l’intellect, attire l’attention
- A utiliser
- Communication, prise de parole
✦ Le VERT
- Emotion
- Équilibre, apaisement
- Effets
- Harmonise les émotions, renforce le calme
- A utiliser
- Stress, besoin de recentrage
✦ Le BLEU
- Emotion
- Confiance, sérénité
- Effets
- Ralentit le rythme cardiaque, favorise l’écoute
- A utiliser
- Réunions importantes, négociations
✦ Le VIOLET
- Emotion
- Intuition, transformation
- Effets
- Ouvre à la spiritualité, à l’introspection
- A utiliser
- Temps de recul, créativité profonde
✦ Le BLANC
- Emotion
- Clarté, paix intérieure
- Effets
- Nettoie les charges mentales, neutralité
- A utiliser
- Signature, renouveau, entretiens
✦ Le NOIR
- Emotion
- Protection, mystère
- Effets
- Accentue l’autorité, structure le menta
- A utiliser
- Moments solennels, affirmation de soi
✦ Le ROSE
- Emotion
- Douceur, amour de soi
- Effets
- Active l’ouverture du cœur
- A utiliser
- Besoin de réconfort, moments tendres

Personnellement, je m’attriste de constater qu’au fil des années, les rues, les bureaux, les métros, et même les plages du monde deviennent des tableaux désaturés.
Du noir, du gris, du bleu ou vert marine, parfois brun.
L’industrie du textile, surtout pour les hommes, semble s’être alignée sur cette demande, fabriquant des collections dans des teintes que même la météo hésiterait à adopter.
Mais est-ce vraiment une demande ?
Ou simplement un reflet d’une société qui perd l’envie de briller ?
Un monde où le rêve s’éteint à petit feu, où l’espoir est devenu un luxe, et où l’on n’ose plus porter la couleur par peur d’être remarqué.
Car la couleur, c’est la vie.
C’est notre signature émotionnelle.
Avez-vous déjà vu un enfant choisir un manteau noir ? Non.
Placez 50 enfants dans une boutique de vêtements et vous verrez des arcs-en-ciel s’animer.
Du rose fuchsia, du jaune soleil, du vert pomme.
Parce que l’enfance est instinctive et connectée à la joie, à l’envie de vivre et d’exister.
Le noir, c’est pour les adultes.
Ceux qui veulent s’effacer, se fondre, se conformer.
Marcher à l’ombre.
Le noir, c’est parfois l’abandon.
La résignation.
L’injonction silencieuse à ne pas déranger.
Il n’est donc pas étonnant que l’on dise en médecine : « reprendre des couleurs », lorsque l’on revient à la vie.
La couleur est un signal vital, un langage non verbal qui dit : « Je suis là. Je vibre encore. »
Faites un test simple :
La prochaine fois que vous prenez l’avion, observez.
Les salles d’attente sont remplies de gris foncé, de noir, de marine.
La peur de l’ailleurs, la tension du départ, l’anonymat rassurant de l’uniformité.
Dans les villes pluvieuses, au petit matin, on s’habille pour disparaître dans l’ombre.
Moi, vivant au bord des plus belles plages du monde, je vois pourtant ces jeunes de 30 ans marcher tout de noir vêtus, sur des sables dorés…
Des croques-morts et des veuves...
Et le soir, c’est encore plus frappant.
Comme si la lumière elle-même leur brûlait la peau.
Tristesse.
Mais rien n’est figé.
Il suffit d’oser.
Un haut jaune.
Des baskets rouges.
Un sac turquoise.
Peu importe.
Un geste de rébellion lumineuse.
Un acte de vie contre la grisaille imposée.
Vos intentions façonnent votre futur
C’est aussi simple que ça : tout ce que vous pensez, vous le projetez.
Dans l’éther, l’astral, les champs quantiques, l’invisible, la lumière… appelez ça comme vous voulez.
Chaque pensée, chaque émotion, est une onde.
Et cette onde va bosser pour vous.
Un peu comme un petit ouvrier de l’univers qui prend vos idées, vos peurs, vos envies, et les balance dans le grand atelier cosmique en disant :
« Voilà votre prochain chantier ! »
Donc si vous avez peur, devinez quoi ?
Cette peur va se mettre au boulot.
Elle va chercher à se réaliser.
Si vous vibrez la joie, le plaisir, l’amour… alors c’est ça que vous allez aimanter.
C’est ça qui va revenir à vous.
Le boomerang cosmique ne fait pas de sentiment.
Il ramène ce que vous envoyez.
Alors posez des intentions claires.
Pensez en conscience.
Ressentez déjà ce que vous voulez vivre, comme si c’était déjà là.
Et souvenez-vous :
L’Univers ne comprend pas le “je ne veux pas”, il capte uniquement l’énergie que vous dégagez.
Alors si vous vibrez peur, il entend : peur.
Si vous vibrez amour, il entend : amour.
Et comme toujours, il répondra dans votre sens.
OSER FAIRE
Faire le premier pas…
Sortir de l’attente.
L’action brise la procrastination.
L’Univers aime le mouvement.
Il ouvre les portes à ceux qui avancent.
Celui qui ose, vit.
Celui qui attend, s’use.
Agir malgré la peur.
C’est ça, le vrai courage.
Tes idéaux et tes actes.
Sans cohérence, ce ne sont que de beaux discours.
La cohérence apaise.
Elle enlève le doute.
Un pas aujourd’hui vaut mieux qu’un rêve demain.
Ecouter son corps
On l’a déjà abordé, mais en fin de compte, vivre heureux, c’est aussi vivre à l’écoute de soi.
Et qui mieux que votre propre corps peut vous dire ce dont vous avez vraiment besoin ?
Pas votre montre.
Pas votre agenda.
Pas votre coach.
Pas votre appli santé.
Juste… votre corps.
Envie de manger ? Mangez.
Pas faim ? Ne mangez pas.
Fatigué ? Faites une sieste, ou levez le pied.
Envie de bouger ? Sortez, marchez, dansez, transpirez !
Et surtout, ne laissez plus votre mental vous dicter un programme militaire.
On n’est pas des machines.
On est des flux, des vagues, des souffles.
Apprenez à dire “oui” à votre corps et “ta gueule” à votre mental quand il commence à ramener sa logique rigide du genre :
“Il est 12h30, il FAUT manger.”
Ou
“Tu dois dormir à 23h, pas à 20h, voyons !”
La liberté commence là :
faire ce qu’on veut, quand on le sent, parce qu’on le sent.
C’est ça, la vraie écoute.
Et là, ça change tout.

Comme je l’ai dit au début de mes témoignages, la critique est souvent le plus beau signe que nous sommes authentiques.
Quand vous vous couchez le soir, à qui ou à quoi pensez-vous ?
À vous-même, non ?
Et bien, pour les autres, c’est exactement pareil.
Vous êtes le centre de VOTRE vie ; arrêtez de croire que vous êtes indispensable dans celle des autres et que leur jugement a plus de poids que le vôtre.
La réalité, c’est qu’ils pensent à eux-mêmes, tout comme vous.
Quand quelqu’un pense à vous, cela ne représente souvent que quelques minutes dans sa journée.
Alors, lorsque vous avez peur de faire quelque chose par crainte d’être jugé, posez-vous cette question : qui sont réellement ces juges dans votre tête ?
Maintenant que vous savez, voulez-vous vraiment leur laisser ce pouvoir sur vous ?
J’espère que non.
Reprenez votre force, faites un pas en avant et libérez vous.

Je méditais des heures, je mangeais végétarien, je suivais des stages spirituels, j’ai même pratiqué l’abstinence plusieurs années.
Mon but ?
M’élever, flotter presque, retrouver un état de conscience éthéré.
Sauf qu’un jour… je me suis cognée contre un mur.
Plus de déclics, plus de “wouahou” intérieurs, plus de preuves que j’avançais.
Et ça me frustrait terriblement.
Alors j’ai décidé de prendre le chemin inverse.
Après tout, retourner à l’éther, ça viendra bien assez tôt, je me disais…
Mais aujourd’hui, je suis ici. Incarnée.
En chair, en os, en sensations.
Alors j’ai recommencé à manger de la viande, non par besoin mais pour accepter la dualité de la vie et de la mort, au lieu de la nier.
J’ai laissé place à mes désirs charnels.
J’ai repris goût à la vie humaine, avec son intensité, ses saveurs, ses contradictions.
Et c’est là que j’ai compris : mon corps n’est pas un obstacle à ma spiritualité.
Il est son temple.
Il est son ancrage.
Aujourd’hui, je l’écoute.
Je respecte sa sagesse autant que celle de mon esprit.
Et c’est dans cette alliance que je trouve ma vraie évolution.
Etre aligné avec soi-même
Qu’est-ce qui se passe quand on commence vraiment à vivre en cohérence avec soi-même ?
Quand nos pensées, nos actes, nos choix, notre énergie… sont en accord avec qui on est profondément ?
Un truc magique.
L’Univers s’ouvre.
Il recommence à circuler en nous.
Tout devient plus fluide. Plus simple.
Les événements arrivent “par hasard”, mais en fait, on sait bien que ce n’est plus du hasard.
Ce sont des synchronicités.
Des clins d’œil de la Vie.
Des coups de pouce du ciel qui nous disent : “Oui, c’est là. Tu es sur ton chemin.”
C’est comme si une rivière s’était débouchée en nous.
Un courant d’énergie douce, constante, qui coule naturellement.
Plus de résistances.
Plus d'efforts acharnés pour tout faire “comme il faut”.
Les choses se placent.
Les bonnes personnes arrivent.
Les bonnes opportunités aussi.
Et tout cela, sans même forcer.
Juste parce qu’on est enfin aligné avec notre vibration intérieure.
Avec ce que notre âme veut vraiment vivre.
Et c’est là que la vie devient belle, légère, pleine de sens.
Sans drame, sans lutte, sans pression.
Juste… vivante.
Et vraie.
Devenir Incontrôlable
Quand vous retrouvez votre vraie énergie, celle qui vibre au fond de vous depuis toujours, mais qu’on avait ensevelie sous les devoirs, les masques, les blessures, alors plus rien ni personne ne peut vous contrôler.
Plus les regards.
Plus les attentes.
Plus les opinions.
Même pas vos propres peurs.
Car vous les avez traversées.
Vous avez plongé dans les abysses, regardé vos schémas, compris vos émotions, débusqué vos traumas cachés dans les coins sombres de votre ventre.
Vous avez vu clair dans les mécanismes humains : les manipulations déguisées en gentillesse, les jeux de pouvoir planqués derrière les sourires polis, les séductions chargées de manque.
Et tout à coup, le voile se lève.
Tout devient évident.
Les rôles, les masques, les systèmes.
Vous ne les subissez plus : vous les voyez.
Et quand on voit, on ne peut plus être pris au piège.
Vous devenez inatteignable.
Non pas dur, mais libre.
Non pas froid, mais maître de votre feu intérieur.
Non pas arrogant, mais ancré dans une paix que rien ne peut secouer.
Et vous continuez à sourire.
Pas un sourire pour plaire.
Un sourire tranquille, rayonnant, celui de quelqu’un qui n’a plus besoin de convaincre.
Parce qu’il est revenu chez lui.
Et c’est là que vous devenez incontrôlable.
Pas incontrôlable comme une menace.
Incontrôlable comme un soleil.
Ça brille, c’est là, et personne ne peut l’éteindre.
MANTRAS
L’attitude la plus saine à avoir
pour tout événement qui se présente à vous :
Et puis quoi ?
(so what ?)
Hum, pourquoi pas ?
(Why not…)
OK, intéressant…
Conseils & astuces
100% vécus sur le terrain :

Simple : parce que ces pays sont à la fois "pauvres" et profondément spirituels.
Et la vie y est simple.
Et moi, j'aime les endroits où les gens prient plus qu'ils ne consomment, où la simplicité remplace l'arrogance, et où la chaleur humaine ne dépend pas du Wi-Fi.
➤ Quelques pépites glanées au fil des années
Pays bouddhiste (sauf le sud, plutôt musulman… mais soft, peace & love). Ici, les gens aiment trois choses : les Bahts (la monnaie locale), leur famille et sourire. Et pour nous autres étrangers, c’est le paradis de la logistique : 50 ans d’expérience touristique, tout est fluide, facile, sans prise de tête. 7/11 partout,, massage, smoothie coco, et coucher de soleil… tout ça en une après-midi.
Un pays majoritairement musulman, très vert, très vivant. Si vous aimez la jungle qui vous caresse les mollets et les singes qui vous piquent votre banane, direction Bornéo, côté malaisien. C’est brut, sauvage, magique. (Et parfois humide, très humide.)
Encore un pays musulman, mais ici, dès qu’on quitte Bali vers l’Est, l’ambiance devient... zen. Les gens sont doux, accueillants, sincèrement gentils. Un sourire suffit à déclencher une conversation, une noix de coco suffit à déclencher une amitié. Et puis, l’Indonésie, c’est des volcans, des temples, des scooters, et des « Hello Mister ! » toute la journée. Fatigant ? Non. Vivifiant.
Ici, on est chez les chrétiens ultra-dévots. Les petits villages diffusent la Bible en continu par haut-parleurs, comme si Jésus animait une émission matinale. Et malgré les églises sonores, il règne une paix impressionnante. Pas de vols, beaucoup de respect, et une gentillesse rare. La famille, la communauté, la foi… c’est sacré. Tu sens que les gens ont encore une colonne vertébrale morale. Et ça fait du bien.
Pas de stress. Ici, tu peux encore vivre avec peu. Un bungalow sur la plage pour le prix d’un apéro à Paris. Des fruits frais, un hamac, le chant des geckos… et une paix intérieure qui commence enfin à s’installer.
(sans e-visa au préalable, sans complications et sans argent)
- Thailande : 2 mois, renouvelables 1 mois.
Ensuite envoyer son passeport en Birmanie (via agence de voyage) et de retour le lendemain, vous avez à nouveau 2 mois. - Malaisie : 3 mois.
Puis sortir du pays et entrer à nouveau pour 3 mois supplémentaires. - Indonésie : 2 mois, renouvelables en 1 mois, puis encore une fois pour 2 mois. Total 4 mois.
- Philippines : 1 mois renouvelable, puis extension possible de plusieurs mois.
- Laos : 30 jours, puis extension de 2 mois.
- Cambodge : 30 jours, puis extension de 30 jours supplémentaires.
- Vietnam : 45 jours, puis sortir du pays et re-rentrer.
➤ Travailler en ligne, ou à distance
Pour qui ?
Rédacteurs, développeurs, graphistes, traducteurs, marketeurs, etc.
- Sites : Upwork, Malt, Freelancer, Fiverr
- Avantages : tu choisis tes clients, tes tarifs, ton temps
- Nécessite : un bon portfolio, de la constance, et une auto-discipline
Exemples : création de sites web, retouches photos, rédaction SEO, montage vidéo, pub Facebook…
Pour qui ?
Ceux qui veulent partager un savoir, un message ou une passion
- Supports : YouTube, TikTok, cours sur Teachable, Gumroad, Udemy
- Modèle : monétisation via pub, formations, dons, produits numériques
- Avantages : scalable, créatif, profondement aligné si c’est bien ciblé
Exemples : méditation, yoga, développement personnel, programmation, langues, musique…
Pour qui ?
Les experts d’un domaine qui peuvent accompagner d’autres (pro ou perso)
- Créneaux : coaching de vie, santé, business, relations, spiritualité…
- Outils : Zoom, Calendly, Google Meet
- Modèle : sessions individuelles, forfaits mensuels, suivi régulier
Astuce : une bonne présence en ligne (site + témoignages) booste la crédibilité
Pour qui ?
Ceux qui aiment créer, vendre, automatiser
- Produits numériques : eBooks, templates, méditations audio, guides PDF…
- Produits physiques : via dropshipping, print-on-demand (T-shirts, livres, bijoux…)
- Plateformes : Etsy, Shopify, Amazon KDP, RedBubble…
Atout : automatisation des ventes possible, revenus passifs
Pour qui ?
Ceux qui veulent vivre léger, voyager, et générer juste ce qu’il faut
- Activités : assistant virtuel, gestion de réseaux sociaux, modération de forums, saisie de données
- Nécessite peu de qualifications au début, mais du sérieux
- Peut se coupler avec des missions en ligne ponctuelles ou locales (woofing, retraites, etc.)
Exemple typique : vivre à Bali ou Chiang Mai avec 800€/mois, en faisant 10-15h/semaine
➤ Apprendre quelque chose de nouveau pour votre futur
Celui-là, c’est une bombe atomique pour ton cerveau :
👉 OpenClassrooms (www.openclassrooms.com)
Un site blindé de cours gratuits, clairs, bien faits… et surtout accessibles à tous.
Programmation, graphisme, réseaux sociaux, marketing digital, développement web, bureautique, gestion de projet… bref, si tu veux apprendre un truc utile et concret, c’est là que ça se passe.
Tu peux littéralement passer de « Je pige rien à tout ça » à « J’ai refait mon site et lancé mon business en ligne » en quelques semaines.
Plus d’excuses.
Tu veux apprendre, progresser, te réinventer ?
Tout est là.
Gratuit.
Alors vas-y !
Plus d’excuses…
Forme-toi.
Et fais péter tes limites.
➤ Devenir indépendant
Oui, il en faut.
Des règles.
Des repères.
Un cadre.
Même souple.
Parce que sinon… oh là là.
Qu’il est facile de se perdre.
Trois jours à traîner.
Une visite imprévue d’amis.
Une semaine off à cause des lunes (ou d’un trop-plein émotionnel, ou hormonal, ou existentiel).
Et hop ! On décroche. On perd le fil.
Le projet qui avançait bien ? Il attend.
La motivation ? Elle est partie faire un tour.
Et vous ? Vous vous retrouvez là, à scroller sans but ou à ranger vos chaussettes par couleur pour "vous remettre dedans".
Quand on est libre, vraiment libre, sans patron, sans planning imposé, sans alarme à 6h30, on n’a qu’une seule chose pour avancer : soi-même.
Et crois-moi, après 20 ans de vie nomade à travers le monde, j’ai appris que ces deux règles simples te permettront de rester sur ta route sans te perdre.
Dans tes projets.
Pas besoin de gravir l’Everest tous les matins.
Mais juste un petit pas. Une action. Une ligne. Un mail. Un geste.
Certains jours, tu feras des bonds de 1 mètre.
Et d’autres, ce sera juste une pensée notée dans ton carnet.
Mais chaque jour, on nourrit la flamme.
Sinon, elle s’éteint.
Tout doucement.
Et on ne s’en rend même pas compte.
Pas besoin de devenir yogi acrobatique ou marathonien.
Mais juste bouger.
Marcher. Nager. Sauter. Danser. Porter des trucs. Respirer fort.
Parce que quand tu bouges ton corps, ton mental s’apaise.
Les pensées s’ordonnent.
Les priorités reviennent au bon endroit.
Et tu retrouves cette sensation magique : "Je suis vivant."
Ces deux règles, elles paraissent simples.
Et pourtant, elles sont puissantes.
Elles sont ta boussole quand tout le reste devient flou.
Parce que se lancer dans une aventure, pro, perso, spirituelle ou sauvage, tout le monde peut le faire.
Mais tenir dans le temps, garder le cap, rester aligné, avec cohérence et ténacité, surt un long terme ?!?
C’est là que le vrai jeu commence.
Et ces deux petites règles, crois-moi, peuvent faire toute la différence.
➤ S’expatrier… ou juste appuyer sur Pause
Prendre une année sabbatique ?
Changer d’air ?
Faire un vrai reset ?
Moi, je dis : fonce !
Carrément.
Et si tu me demandes combien ça coûte de vivre en Asie du Sud-Est, voilà ma réponse, testée, approuvée, vécue :
- Thailande : Environ 1'500€ par mois, tout compris.
Petit bungalow face à la mer ? Check.
Repas local pour 4-5€ ? Check.
Scooter à 5€/jour pour aller chercher ta papaye mûre ? Check.
Le tout, avec des couchers de soleil qui soignent les neurones. - Malaisie ou Indonésie : Pareil. Même gamme de prix.
Même douceur de vivre.
Avec en bonus : plus de jungle ou plus de volcans, et une autre mer, à toi de choisir ton décor. - Philippines : Encore moins cher !
Parfois presque la moitié.
Et tu as la mer turquoise, les enfants qui jouent partout, les sourires comme monnaie locale.
Pas besoin de crypto ici : un regard sincère suffit.
Crois-moi, en une seule année sabbatique là-bas, tu changes.
Pas seulement ton teint de peau ou ton taux de vitamine D.
Tu changes en dedans.
Tu redeviens toi-même.
Libre. Joyeux. Vivant.
Et dans ce nouvel espace intérieur, de grandes choses peuvent émerger.
Des idées, des évidences, des décisions qui traînaient depuis 10 ans dans un coin de ta tête.
Un an pour changer de vie ?
Parfois, il suffit d’un billet d’avion et d’un peu de courage.
Le reste… se fait tout seul.
➤ Le chemin de Saint-Jacques de Compostelle
Ahhh, ça c’est du costaud !
Si tu veux vraiment te retrouver, mets tes baskets, charge ton sac, et en route.
Marcher pendant des semaines sur des paysages magnifiques, entouré de gens qui, comme toi, trimballent leur sac à dos mais surtout leur sac invisible de galères, de traumas et de questionnements existentiels… ça, c’est le Chemin.
Au fil des jours, tu lâches des petits poids que tu ne savais même pas porter. Comme si chaque kilomètre te grignotait un vieux schéma, une peur, un bout de passé qui ne sert plus à rien.
On y va en se disant : « Bon, c’est une marche sportive-spirituelle, sympa pour les mollets et pour l’âme ».
Et en fait… c’est bien plus que ça.
D’abord, ce chemin est respecté comme un trésor par les Espagnols.
Là-bas, chaque pèlerin est sacré, peu importe ton âge, ta tête ou ta nationalité (perso j’ai croisé 24 nationalités différentes en 6 semaines).
Résultat : une sécurité et un respect incroyables.
J’ai vu plein de jeunes femmes marcher seules, parfois camper faute de budget… Jamais une seule n’a eu à se plaindre d’un souci.
Le Chemin, c’est protégé. Presque béni.
Et puis, chaque jour, tu laisses un truc derrière toi.
Ton passé, tes colères, tes frustrations, tes émotions lourdes.
Tu avances plus léger, à l’extérieur comme à l’intérieur.
C’est une retraite qui se fait en mouvement, un dépouillement progressif où tu réalises que tu n’as pas besoin d’autant que tu le pensais.
Et l’arrivée à Compostelle… wouah.
Tout le monde explose de joie, de larmes, de rires.
C’est vibratoire.
Car au fond, chacun a atteint quelque chose : une version plus simple, plus claire, plus légère de lui-même.
Le Chemin, c’est pas juste une rando.
C’est un voyage intérieur, puissant et libérateur.
Une expérience à vivre une fois dans sa vie… ou plusieurs.
Moi, je l’ai fait. Et j’en ai fait plusieurs vidéos sur YouTube.
Si ça te parle, voici le lien :
👉 Chemin de Compostelle, El Camino del norte, 2023, 45 jours et 900 km au pays Basque.
https://www.youtube.com/watch?v=2c1e_8TLZU4 (1ère vidéo, sur 7)

Une petite aventure mi-sportive, mi-spirituelle.
Avant de partir, passage obligé chez Décathlon : mini-matériel de camping, réchaud, hamac, tout le kit du parfait pèlerin.
Parce que j’avais peur de ne pas trouver où dormir.
J’ai même acheté des chaussettes spéciales pour la marche.
Parce que j’avais peur d’avoir mal aux pieds.
Mon sac pesait 16 kg.
Parce que j’avais peur de manquer de quelque chose.
Le premier jour, je suis parti avec 1,5 litre d’eau en plus — soit 1,5 kg de plus sur le dos — parce que j’avais peur d’avoir soif.
Vous voyez où je veux en venir ?
Le pèlerin part avec le poids de toutes ses peurs.
Il porte son fardeau invisible sur ses épaules : ses craintes, ses croyances, ses habitudes.
Et même si on se dit fort, confiant, sûr de soi… le mental, lui, n’en a rien à faire.
Les peurs les plus basiques resurgissent, et certains pèlerins avancent réellement courbés, écrasés par le poids de leur vie.
Le premier jour, j’ai abandonné 3 ou 4 kilos d’équipement flambant neuf, directement sur le bord du chemin.
Je suppose que les promeneurs avec leur chien ont dû halluciner en voyant un réchaud et un hamac tout neufs laissés là.
Mais mes épaules, elles, criaient trop fort : j’étais fou de partir aussi chargé.
Les jours suivants ont été une bataille entre mes peurs et la réalité.
Et la réalité, c’est que je n’avais besoin de presque rien.
Jour après jour, je laissais derrière moi un t-shirt, un jean, une paire de tongs, un câble, dans les gîtes où je passais.
Au final, j’ai terminé le chemin avec 8 kg sur le dos… sans avoir manqué de quoi que ce soit.
👉 À faire impérativement.
➤ Toujours faire le + simple possible
Pour monter votre business le plus simplement possible, il ne faut pas avoir peur du Système.
Vous précipiter vers le Fisc de votre Etat pour lui dire que vous commencez à gagner de l’argent n’est pas une bonne idée.
Et de toute façon, ils vont certainement vous dire de prendre votre temps, ils savent qu’au début, il faut donner du temps à l’entrepreneur en herbe pour façonner son business. C’est le cas en Suisse, toujours bienveillante et aidante.
Mais dans les autres pays… mamma mia, tout nouveau poulet est bon à plumer !
Et puis, on l’a vu plus haut, votre argent ne va pas toujours où il le faudrait, alors… se précipiter pour annoncer qu’on rentre de l’argent, n’est-ce pas un peu stupide ?
N’ayez crainte, tant que vos montants sont petits, aucune alarme ne se déclenchera dans les systèmes informatique des banques. Car tout est contrôlé par les ordinateurs maintenant.
Donc, voici une règle simple pour passer sous les radars :
- Toujours virer des petits montants sur votre compte bancaire.
Les gros montants allument les lampes rouges dans les systèmes informatiques et votre banquier va vous poser des questions.
Donc ne virez pas 10’000€ ou vous allez devoir répondre à des questions.
Virez plutôt plusieurs virements de 2’500€, 1’500€, ça passera tout seul. - En utilisant Wise, Paypal ou ces plateformes de paiement, il est souvent facile de ne rien déclarer, car cela échappe parfois aux réglementations et vérifications des états. Ça devient compliqué pour eux de vérifier.
N’ayez crainte, tout le monde se fiche des petits montants, faut simplement ne pas allumer les lampes rouges informatiques.
Pour les gros montants, les personnes intelligentes se dirigeront vers des sociétés offshore, comme l’Ile Maurice ou les Seychelles, facilement montables depuis l’Europe, à distance.